Pour faire ses premiers pas dans la science-fiction. Une oeuvre tout à fait honnête et généralement appréciée.
Les vaisseaux du temps
le 13/01/2006 : Par l'infini et au dela
Près de 600 pages vertigineuses. Tour de force d’une maîtrise exceptionnelle, je viens de lâcher les dernières pages, je suis en déséquilibre et manque de tomber.
J’ai touché du doigt l’éternité, conseillé ce livre à mon moi passé pour ne pas oublier de le lire aujourd’hui. Dès demain, Baxter écrira ce livre, mais déjà vous l’aurez lu. C’est une histoire de kidnapping, le livre vous séquestre hors de votre temps et ne vous restitue jamais.
Désormais, errant de la multiplicité, je regarde autour de moi, rien à changé, et pourtant, je ne vois plus le monde la même façon.
Marche ou crève
Cold Hand le 06/01/2006 : Très prenant !
Un excellent livre que nous avons là ! Cette angoisse qui naît d'autre chose que d'un phénomène surnaturel n'en est que plus prenante, plus "réelle". Et puis, très rapidement, le lecteur comprend : aussi longue soit la Marche, aussi attachants soient les personnages, cette histoire ne peut avoir qu'une issue fatale.
Lu à un autre niveau, cette histoire est une exceptionnelle allégorie de la vie (si si, relisez-le) : la jeunesse, enjouée et insouciante, les premiers amours, les premiers amis qui nous quittent, pour se terminer par l'inéluctable...
Du très bon !
L'appel du mordant (1) - Le miroir de ses rêves
milie le 01/01/2006 : à lire!!!
ce livre est très bien. Sans cesse de nouveaux rebondissements et des personnages attachants! L'intrigue est bien menée et les pages filent sans que l'on s'en rende compte. En résumé un très bon livre de SF...
Cycle La Guerre éternelle (1) - La guerre éternelle
Jeanjean le 30/12/2005 : On ne peut le nier!
L'auteur est un vétéran du Vietnam: ça se sent dans ce roman. La guerre à l'echelon universel est présente et bien présente! Livre agréable, sans surprise... Il paraît que la suite n'en vaut pas la peine (?)
Les monades urbaines
le 22/12/2005 : Babel
Silverberg, fantasme, dessine nos bien étranges vies au travers de ses tours. C'est puissant, jouissif, ça se consomme et ça se réfléchi. C'est un petit Opéra de folie en apesenteur. C'est bon et parfois délicieux.
Le fils de l'homme
le 22/12/2005 : Un Big Bang entre mes mains
Overdose de sublimation, le livre explose littéralement entre mes mains. Vertige de poesie. Voici ce que la SF peut créer parfois au détour d'un créateur, c'est Grand, c'est immense, c'est un puit de lumière, un espace au delà des espaces, un Tout au dessus du Tout. Mais une main la bien écrite, je referme le livre, il est là, collé, c'est bien un livre, un petit objet de rien du tout. Et pourtant, ça, cette chose, là, est bien vivante.
Cycle de Fondation (1) - Fondation
le 22/12/2005 : Sous l'univers, ses fondations...
Asimov, architecte d'Univers de par toute les galaxies installe des bases solides. Non le livre ne s'écroulera pas entre vos mains. Belle théorie des masses prévalant sur l'individu, étrange anticipation de l'ère contemporaine par bien des cotés. Si vous cherchez encore la fondation sachez qu'elle, vous à déjà trouvée. Vous êtes de ses statistiques, vous faites parti du shéma cosmologique, ne partez pas !. Asseyez-vous et lisez, oui vous êtes sur la fin du tome 5, oui votre histoire s'achève bientôt, car vous le saviez déjà, la psychohistoire l'avait écrit.
Le monde inverti
le 22/12/2005 : Grand. Portez le monde dans vos mains, il n'est pas si lourd...
Un livre qui laisse des traces, autant que cette ville se déplace. Des hommes rivés à leur idées autant que le lecteur à ses préjugés jusqu'à la dernière page, la dernière ligne où nous basculons irémédiablement, vers cette sensation de voltige, un vertige effleurant le merveilleux, mais dont Priest à la grandeur de le rendre réel et ce, de façon imparrable.
Les derniers hommes
LUCAS Pierre le 22/12/2005 : Une leçon d'humanisme
Pierre Bordage nous tient en haleine d’un bout à l’autre de ce roman. Riches en personnages mémorables et en rebondissements haletants, ce livre est un chef d’œuvre d’humanisme !
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(total : 1807 commentaires)
Pour faire ses premiers pas dans la science-fiction. Une oeuvre tout à fait honnête et généralement appréciée.
Près de 600 pages vertigineuses. Tour de force d’une maîtrise exceptionnelle, je viens de lâcher les dernières pages, je suis en déséquilibre et manque de tomber.
J’ai touché du doigt l’éternité, conseillé ce livre à mon moi passé pour ne pas oublier de le lire aujourd’hui. Dès demain, Baxter écrira ce livre, mais déjà vous l’aurez lu. C’est une histoire de kidnapping, le livre vous séquestre hors de votre temps et ne vous restitue jamais.
Désormais, errant de la multiplicité, je regarde autour de moi, rien à changé, et pourtant, je ne vois plus le monde la même façon.
Un excellent livre que nous avons là ! Cette angoisse qui naît d'autre chose que d'un phénomène surnaturel n'en est que plus prenante, plus "réelle". Et puis, très rapidement, le lecteur comprend : aussi longue soit la Marche, aussi attachants soient les personnages, cette histoire ne peut avoir qu'une issue fatale.
Lu à un autre niveau, cette histoire est une exceptionnelle allégorie de la vie (si si, relisez-le) : la jeunesse, enjouée et insouciante, les premiers amours, les premiers amis qui nous quittent, pour se terminer par l'inéluctable...
Du très bon !
ce livre est très bien. Sans cesse de nouveaux rebondissements et des personnages attachants! L'intrigue est bien menée et les pages filent sans que l'on s'en rende compte. En résumé un très bon livre de SF...
L'auteur est un vétéran du Vietnam: ça se sent dans ce roman. La guerre à l'echelon universel est présente et bien présente! Livre agréable, sans surprise... Il paraît que la suite n'en vaut pas la peine (?)
Silverberg, fantasme, dessine nos bien étranges vies au travers de ses tours. C'est puissant, jouissif, ça se consomme et ça se réfléchi. C'est un petit Opéra de folie en apesenteur. C'est bon et parfois délicieux.
Overdose de sublimation, le livre explose littéralement entre mes mains. Vertige de poesie. Voici ce que la SF peut créer parfois au détour d'un créateur, c'est Grand, c'est immense, c'est un puit de lumière, un espace au delà des espaces, un Tout au dessus du Tout. Mais une main la bien écrite, je referme le livre, il est là, collé, c'est bien un livre, un petit objet de rien du tout. Et pourtant, ça, cette chose, là, est bien vivante.
Asimov, architecte d'Univers de par toute les galaxies installe des bases solides. Non le livre ne s'écroulera pas entre vos mains. Belle théorie des masses prévalant sur l'individu, étrange anticipation de l'ère contemporaine par bien des cotés. Si vous cherchez encore la fondation sachez qu'elle, vous à déjà trouvée. Vous êtes de ses statistiques, vous faites parti du shéma cosmologique, ne partez pas !. Asseyez-vous et lisez, oui vous êtes sur la fin du tome 5, oui votre histoire s'achève bientôt, car vous le saviez déjà, la psychohistoire l'avait écrit.
Un livre qui laisse des traces, autant que cette ville se déplace. Des hommes rivés à leur idées autant que le lecteur à ses préjugés jusqu'à la dernière page, la dernière ligne où nous basculons irémédiablement, vers cette sensation de voltige, un vertige effleurant le merveilleux, mais dont Priest à la grandeur de le rendre réel et ce, de façon imparrable.
Pierre Bordage nous tient en haleine d’un bout à l’autre de ce roman. Riches en personnages mémorables et en rebondissements haletants, ce livre est un chef d’œuvre d’humanisme !