Livres de poche de Science-Fiction, Fantasy, Horreur et Fantastique
News, Parutions, Bibliographies, éditeurs, Top
Science-Fiction
Fantasy
Horreur
Fantastique
Liste des auteurs
RECHERCHE PAR TITRE    


 


Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


Hypérion (1) - Les Cantos d'Hypérion (t1)
Incontournable marie le 20/11/2009 :

je l ai decouvert par hasard et j en suis devenue accro(je les ai lus 3 fois).C est que du bonheur



Cycle d'Elric (7) - L'Épée noire
Très bien  le 15/11/2009 : La fin approche...

L’on revient enfin, avec ce septième tome du cycle d’Elric, au fondement même de la saga avec des textes prenant place après ceux d’Elric le Nécromancien, et si le style, forcement, et fort différent de celui de la Revanche de la Rose, l’intrigue en elle-même n’en est pas moins intéressante, bien au contraire. Il est clair que ce n’est pas toujours évidant de lire ce cycle vu que les différents tomes ont été écrits sur des décennies et dans le désordre, mais bon, au final, la qualité est présente et même si tous les volumes ne sont pas forcement égaux, ils ont tous leur importance et ce qui est sur, c’est que cette Epée Noire, sans atteindre des sommets, n’en est pas moins un bon cru du cycle, incontestablement.

Composé de quatre nouvelles, liées entre elles sauf la dernière où Elric n’apparaît pas, l’Epée noire permet au lecteur de retrouver le prince albinos, accompagné de son compagnon Tristelune, aux prises avec son ennemi mortel, le sombre sorcier de Pan Tang, Theleb K'aarna, ses retrouvailles avec les derniers représentants de son peuple en exil, sa rencontre avec celle qui deviendra son épouse, la jeune Zarozinia, le faisant croire pendant un temps en une paix définitive et sa lutte désespérée contre des hordes implacables venant de l’est fortement inspirées par les Mongols et les Huns. Ces trois nouvelles, Le Voleur d'âmes, Les Rois oubliés et Les Porteurs de flammes, de bonne facture, sont certes courtes, dans la lignée des premiers textes du cycle, mais suffisamment passionnantes pour tenir en haleine le lecteur de bout en bout. D’ailleurs, celles-ci sont bien la preuve qu’il n’est nul besoin de pondre des monstruosités de dix tomes et de 700 pages par volume, où le superflu est bien trop présent : la description de la sombre forêt de Troos, dans Les Rois oubliés, sur quelques lignes, retranscrit parfaitement l’ambiance maléfique de celle-ci ainsi que toute la crainte que l’on pourrait ressentir à la traversée, bien plus en tout cas que des descriptions équivalentes, dans d’autres romans, mais qui se prolongeraient sur deux ou trois pages pour un résultat pas forcement autant réussis ; j’avais déjà, il y a longtemps, ressentis la même chose en découvrant Lovecraft et en le comparant avec Stephen King et le résultat fut que depuis, je ne lis plus le second.

Dans le Voleur d’âmes, le duel final entre Elric et Theleb K'aarna, sa némésis pendant quelques volumes, à lieu, et, fatalement, dans un affrontement apocalyptique, le sorcier de Pan Tang, finit par succomber, mais la victoire, comme souvent dans ce superbe cycle, est forcement amère puisque le Prince albinos perdra l’un de ses vieux compagnons. Encore et toujours le Destin, implacable, qui ne peut être dévié et qui donne une ambiance fataliste à la saga qui en fait tout son charme. Le lecteur pourra être un peu perplexe devant la rapidité avec laquelle Elric succombe à l’amour dans Les Rois oubliés, deuxième nouvelle de l’œuvre, mais celle-ci n’en est pas moins l’un des grands moments de ce septième volume. Personnellement, cette histoire de Rois, l’actuel, celui qui perdit son trône et le dernier, celui qui dort sous la colline, m’a captivé : même dans les pires des situations, les ennemis du Loup blanc, dans ce cas, les habitants d’un royaume décadent d’un coté et de l’autre, une espèce de momie et ses goules, ont du soucis à se faire, et le massacre final est à glacer le sang. La troisième nouvelle, Les Porteurs de flammes, possède un final tout autant sanglant, mais cette fois ci, la menace, moins surnaturelle, n’en est pas moins dangereuse, au contraire : cette horde d’envahisseurs venu de l’est, dont la ressemblance avec les mongols est plus qu’évidente, qui écrase tout sur son passage, force Elric, qui pensait avoir trouver la paix, à reprendre du service et nous montre bien que, malgré toute sa volonté, son destin est tracé et que son lien à Stormbringer ne disparaîtra jamais. Trois nouvelles donc assez semblables à la fois dans le fond et la forme, où Elric et ses alliés ont à faire a chaque fois à des armées, où les affrontements pilulent et où le sang ne cesse de couler ; trois nouvelles où l’action prime plus que la réflexion mais où celle-ci n’est pas entièrement absente, et où la mélancolie et le fatalisme des protagonistes principaux, ainsi que leur sort, l’emporte sur tout le reste.

Un peu à part, la dernière nouvelle, Sauver Tanelorn, clôt ce septième volume du Cycle d’Elric et si celui-ci en est absent, l’on retrouve avec plaisir Rackir, l'archer rouge, qui se lance dans une redoutable course contre la montre afin de sauver la citée mythique, menacée par les forces du Chaos. Et si j’aime bien ce personnage et que j’ai apprécier les divers mondes décrits dans sa recherche d’alliés, il est incontestable que l’on a là le point faible du roman, vu que les événements se bousculent trop rapidement sans que l’on s’y attarde et cette nouvelle aurait mérité d’être un peu plus développée. Mais bon, malgré cette petite déception finale, l’Epée noire n’en reste pas moins un bon tome du Cycle d’Elric qui saura ravir les amateurs de la série.



Cycle d'Elric (8) - Stormbringer
Incontournable  le 15/11/2009 : Phénoménal !! !

Aurais je put pensé, en me lançant dans la lecture du cycle d’Elric que j’allais en sortir complètement bouleversé, stupéfait et ébloui par ce que je dois bien reconnaître comme étant l’une des œuvres qui m’aura le plus marqué dans mon existence ? Sincèrement, non. Comme je vous le disais lors de la critique du premier tome, Elric des Dragons, je connaissais celui-ci depuis plus de deux décennies, mais bon, quel véritable amateur de fantasy ne peut ne pas le connaître, sans avoir jamais eu l’occasion de le lire ; de même, j’avais entendu moult louanges à l’égard de l’œuvre de Michael Moorcock et le personnage même d’Elric, sombre et torturé à souhait ne pouvait que me plaire. Bref, j’avais de grandes chances d’être conquis, d’ailleurs, je n’en doutais pas le moins du monde et les premiers tomes de la saga me confortèrent rapidement dans mes prédictions. Mais là, avec cet extraordinaire huitième volume, Stormbringer, on atteint tout simplement des sommets rarement atteints dans la littérature fantastique, un véritable nirvana pour les amateurs et la démonstration, la confirmation même, de l’importance donnée au cycle d’Elric depuis plus de quarante ans. Quel choc mes aïeux ! Franchement, j’en suis encore tout retourné quelques heures après avoir lu les dernières lignes et je ne peut souhaiter (vainement, je ne le sais que trop bien) ; ah, si toutes mes lectures pouvaient être ainsi !

Car Stormbringer est tout bonnement grandiose, inoubliable, parfait de bout en bout : cette fois ci, il n’y a rien à jeter, ce qui, dans les tomes précédents, ne fut pas toujours le cas (et oui, il faut aussi reconnaître les faiblesses du cycle). Mais dans ce huitième volume, composé de quatre vraies fausses nouvelles, Le Retour du dieu mort, Les Frères de l'épée noire, Le Bouclier du géant triste et Le Trépas du seigneur condamné, les événements se bousculent à cent à l’heure, liant celles-ci les unes aux autres dans ce qu’il faut bel et bien appeler un roman. Car, de la première à la dernière page, le lecteur avance, aux cotés du Prince albinos et de son fidèle compagnon Tristelune, dans une véritable descente aux enfers de l’horreur, où les forces du Chaos, se lancent à la conquête du monde, ravageant tout sur leurs passages, écrasant les nations, modifiant la réalité, de façon inéluctable et enchaînant victoires sur victoires tant leur supériorité est incontestable. Sincèrement, en quelques décennies, j’ai put en lire des romans, des Bd ou voir des films de fantasy, SF ou de fantastique, mais de mémoire, je n’ai jamais vu une armée aussi monumentale, quasiment invincible, et qui ferait passer les hordes de Sauron (vous savez dans quelle œuvre bien évidemment) pour des joyeux drilles ou presque ! Et face à eux, un homme, une épée, un destin : Elric, Stormbringer, bien évidement, quand au destin, on se doute bien que c’est de s’opposer aux forces du Chaos et de les vaincre. Mais comme tout n’est pas aussi simple dans le cycle d’Elric (ce genre de choses qui en font tout son charme et toute la différence avec 90% de la production habituelle du genre), ne vous attendez donc pas à que le monde doive être sauver, car il ne le sera pas. Ou, du moins, pas le monde que l’on à accompagner jusqu’à ce huitième tome…

Car tout trouve une fin dans ce tome, le monde d’Elric, vous l’avez déjà compris, ses royaumes, les peuples qui les peuplent et tous les protagonistes auxquels l’on s’était habitué, les uns après les autres, que cela soit par le biais de combats ou, de façon de plus en plus récurrente, par Stormbringer, l’épée maudite, la dévoreuse d’âme qui se révèle cependant nécessaire pour vaincre le Chaos d’où elle est issue : encore une fois, ennemis et amis du dernier Souverain de Melniboné tombent sous ses coups, ses derniers sans que celui-ci puisse y faire grand-chose ; destin maudit que celui d’Elric, qui voit périr ses proches les uns après les autres par sa faute, qui ne trouve jamais la paix et qui, en tant qu’avatar du Champion Eternel, lute pour accomplir une destinée imposée et auquel il ne peut se soustraire. Le destin, élément principal de ce huitième tome, contre lesquels hommes et Dieux en personne ne peuvent rien, malgré tous leurs efforts et qui donne l’une des scènes les plus marquantes du roman (qui en possède un tas pourtant) lorsque Tristelune part assassiner le Géant triste alors qu’Elric lui avait laissé la vie sauve, uniquement pour que le destin tracé suive son cours. Cette destinée que nos héros, même s’ils savent qu’elle leur sera fatale, suivront jusqu’au bout, afin qu’une nouvelle ère puisse naître dans les cendres de la précédente, la leur, où tout sera oublier, y compris leurs noms et leurs exploits. Ce destin inéluctable qui donne une mélancolie à l’ensemble, une profonde tristesse à des protagonistes certes dépassés par les événements mais qui, malgré la promesse d’une mort certaine, poursuivent leur lute jusqu’au bout, tombant les uns après les autres. Ah ces morts dans Stormbringer, si semblables à celles que l’on peut voir dans le chef d’œuvre de Kurosawa, Les sept Samouraïs ; ici, pas le temps de s’attarder ou de s’apitoyer plus que nécessaire sur les drames et de nombreux décès n’ont droit qu’a quelques lignes à peine, comme, pour vous citer un exemple concret : « ainsi péri Rackir, l'archer rouge, dont la renommée en Orient etc… ». Et l’on passe à autre chose sans s’éterniser de façon larmoyante et par certains cotés hollywoodienne pendant trois ou quatre pages, et ce, jusqu’au bout, avec Tristelune, bien évidement, mais aussi et surtout Elric, qui finit tué par sa propre épée, la maudite Stormbringer après avoir accomplis sa destinée funeste… Un final qui en déroutera probablement plus d’un, non pas par le fait qu’Elric meure par son épée, mais par la façon brusque et rapide où cela arrive. Mais une scène final que, même si je savais par avance ce qui allait arriver, j’ai personnellement trouvé grandiose et d’une intensité rarement égalée et qui vient clore une saga tout bonnement époustouflante.

Stormbringer, vous l’avez compris, est tout simplement exceptionnel et clôt un cycle entré depuis dans la légende du genre, même si, au bout de quatre décennies après sa parution, le grand public lui ait préféré des œuvres bien plus consensuelles. Ce qui est un peu dommage puisque le Cycle d’Elric, de part ses innombrables qualités, ses idées sur la lute de la Loi et du Chaos, ses protagonistes et surtout, pour son personnage principal, tout simplement l’un des plus charismatique qui ait été inventé dans le monde de la fantasy, mérite amplement d’être lu. Mais tout n’est pas vraiment fini puisque un neuvième tome, Elric à la fin des temps, nous permettra de retrouver le Prince albinos dans une toute dernière nouvelle. Mais ceci est une autre histoire et il est temps que je me plonge dans sa lecture…



Cycle d'Elric (9) - Elric à la fin des temps
Pas terrible !  le 15/11/2009 : A eviter...

Je dois reconnaître que j’étais plus que perplexe avant de me lancer dans la lecture de ce neuvième tome du Cycle d’Elric, après tout, la saga ne s’était elle pas achevée par la mort de celui-ci dans Stormbringer ? Une fin parfaite pour une œuvre inoubliable dont on pouvait douter de l’intérêt de prolonger celle-ci par un neuvième volume pas forcement indispensable et qui ressemblait plus à un fourre tout hétéroclite qu’à un véritable ouvrage. Bref, la méfiance était de rigueur de prime abord mais bon, d’un autre coté, je me disais que les nouvelles proposées dans cet Elric à la fin des temps pouvaient être de bonne facture et permettraient, à défaut d’être indispensable, au minimum de passer un agréable moment et de quitter l’univers du Prince albinos sous une bonne note. Forcement, ce fut loin d’être le cas, et, en toute objectivité, et avant de développer mes arguments, le lecteur qui se sera passionner pour la saga dans son intégralité pourra faire l’impasse sur ce dernier volume, plus que dispensable même si tout n’est pas à jeter, non plus.

Ne tournons pas autour du pot, Elric à la fin des temps est ce que l’on appelle un bon moyen pour un éditeur de se faire un peu d’argent en prolongeant de façon pas forcement utile, un cycle déjà conséquent à la base (huit volumes avant celui-ci) ; mais bon, d’un autre coté, le lecteur averti ne pourra pas crier au loup et se renseignera avant de l’acheter, après tout, je savais pertinemment où je mettais les pieds (à l’heure actuelle, avec Internet, difficile de ne pas se renseigner si on le souhaite vraiment) : deux nouvelles avec Elric, et deux autres, dont un gros pavé et un pastiche, sans lui. Voila. Mais bon, comme j’aime bien aller jusqu’aux bouts des choses et que, sans les lires, je ne pouvais juger de la valeur de ces dites nouvelles, je me lançais hier soir dans ce vrais faux dernier tome d’un cycle qui m’aura accompagner et fait rêver ses derniers mois. D’ailleurs, quelques heures auront suffit pour en venir à bout, mais pas vraiment parce que celui-ci était si passionnant que je n’ai pas put décrocher, le contraire serait plus juste et je voulais en finir vite et passer à autre chose…

Pourtant, ça commençais bien avec la première nouvelle, Elric à la fin des temps, qui donna son nom à l’ouvrage, où l’on voit le dernier descendant des Empereurs de Melniboné projeté à la fin des temps dans un univers décrit par Moorcock dans un autre de ses cycles : Les danseurs de la fin des temps, que je compte bien découvrir un jour. Le contraste entre ces fameux habitants de la fin des temps qui tels des Dieux enfantins ne pensent qu’à l’amusement et Elric, est saisissant, mais pas à l’avantage de celui-ci qui apparaît plutôt ridicule et primaire devant ceux-ci en ne pensant que par la dualité Loi/Chaos et son sérieux habituel. Une bonne nouvelle, plutôt amusante et qui mérite à elle seule l’achat de ce neuvième tome, ne serait ce que pour voir Elric passer un peu pour un imbécile.

Malheureusement la suite est d’un autre niveau, bien moins intéressant d’ailleurs. Le Dernier Enchantement, écrite au tout début du cycle pour être, à la base, la toute dernière aventure d’Elric est tout simplement l’histoire la plus mauvaise qu’il m’est été donné de lire à son sujet ; a vite oublier donc. De même, le gros pavé de l’œuvre, Sojan, est très loin d’être indispensable : ici, nul Elric, mais un mercenaire louant ses services et vivant des aventures dans un monde médiéval fantastique où l’on retrouve des éléments semi-Steampunk, mais dont le style d’écriture et de narration, plus que daté (l’une des toutes premières œuvres de Moorcock, datant de 1957/58) nuit beaucoup à l’intérêt de la chose. D’un point de vu historique, cela pourra intéresser les fanatiques de l’écrivain britannique qui voudront tout lire de lui, mais d’un point de vu littéraire, autant passer son chemin, Moorcock à fait beaucoup mieux par la suite. Mais le meilleur est peut être pour la fin finalement avec la très courte nouvelle, La Chose de pierre, où l’auteur se parodie magnifiquement lui-même et qui mérite largement le détour. D’ailleurs, sur ce point, je la connaissais pour l’avoir découvert pour la première fois dans l’un des premiers numéros de Dragon Magazine (revue depuis longtemps éteinte) et plus précisément le numéro 7, datant de septembre/octobre 1992, page 39 à 41. Ainsi, ce fut une agréable surprise de la redécouvrir quelques années plus tard, de façon inattendue…

Bref, vous l’avez compris, Elric à la fin des temps, est plus que dispensable, et le lecteur qui souhaitera s’en tenir au cycle en lui-même pourra s’arrêter à Stormbringer, véritable fin de la saga. Maintenant, ceux qui voudront aller plus loin ne perdront pas forcement leurs temps à la lecture de cet ouvrage, tout en ayant conscience que l’on est très loin, cette fois ci, de la qualité intrésèque du cycle lui-même. Le cycle d’Elric, une œuvre que j’aurais finalement lu sur le tard mais qui aura largement été à la hauteur de mes espérances, sans aucun doute. Inoubliable et grandiose, tout simplement.



La mort à la traine
Très bien  le 15/11/2009 : roman efficace

J'ai beaucoup aimé l'impression qui est donnée à la lecture, car il est très facile de se projeter à l'intérieur de la voiture à la place des deux héros, avec le sentiment que les mots défilent aussi rapidement que les kilomètres parcourus. De la même façon, lorsqu'il passe des scènes d'action aux moments de suspense, Dean Koontz parvient à créer une atmosphère très pesante et le lecteur se retrouve au cœur du livre, en ayant le sentiment de regarder un très bon film. Une des forces de ce livre est d'ailleurs de ne pas pouvoir le refermer à la fin de chaque chapitre car la cadence imposée par l'auteur est vraiment infernale. Mais Dean Koontz a justement eu "La Mort à la traîne", le premier livre que je lis de cet auteur, m'a donné envie de renouveler l'expérience. C'est un roman que j'ai trouvé efficace et qui devrait figurer dans toute bonne bibliothèque



Cycle Terre vampire (1) - La Voie du loup
Très bien Patrick Dumas le 14/11/2009 : Suite des volumes

J'aime bien l'intrigue et le personnage de Valentine est attachant.



Cycle d'Elric (3) - Le navigateur sur les mers du destin
Très bien dakeyras le 08/11/2009 : dans le vif du sujet

On entre enfin dans le vif du sujet avec 3 nouvelles qui se suivent dans l'ordre chronologique.
La 1ère est certainement la meilleure des trois, avec l'apparition de Hawkmoon, d'Ereköse et de Corum. Mais il est franchement dommage que la nouvelle soit si courte et qu'on en apprenne pas plus.
Bref, le livre reste génial mais laisse un goût amer à la fin de la lecture.



L'arc du rêve
Très bien hokmahz le 05/11/2009 : Similitudes

Avec ce livre on replonge un peu dans "Les Plus qu'Humains" de Sturgeon avec cette équipe d'enfants qui s'organisent comme une gestalt.



Les danseurs de la fin des temps (1) - Une chaleur venue d'ailleurs
Très bien  le 03/11/2009 :

Je ne suis pas un inconditionnel de Moorcock comme il y en a tant. Loin de mépriser l'auteur (je compte bien continuer la série et lire d'autres romans de lui), je n'ai pas commencé cet ouvrage sans appréhension, parce que du cycle d'Elric, je n'ai vraiment aimé que le premier.
Ici, l'écriture de Moorcock est légèrement vieillote, et on sent les années qui nous séparent de la création du roman. Elle n'en demeure pas moins élégante, justement de cette élégance un peu surannée qui permet au scénario de Moorcock de prendre toute son ampleur.
Car l'idée de Moorcock est d'une originalité peu commune : l'action se passe à la fin des temps. Les personnages, humains tout puissants, ne recherchent que l'amusement et ont perdu les valeurs que nous avons, un million d'années avant eux. Ils recherchent donc de nouveaux amusements, et une esthètique particulière.
La seconde idée de Moorcock est de confronter leur époque et la nôtre, ou plus précisement le XIXème siècle avec une histoire de voyage dans le temps.
J'ai apprécié ce décalage et recommande ce livre.



Cycle Drenaï (02) - Le Roi sur le seuil
Bien dakeyras le 30/10/2009 : pas mal

Gemmell a dit lui même que ce livre était son moins abouti. En effet, il lui restait une semaine pour rendre son manuscrit quand son ordinateur l'a laché. Il a dû tout réécrire en très peu de temps.
On garde le rythme éffréné qu'on connaît à toute l'oevre de Gemmell, mais l'histoire n'est pas au rendez-vous.





Revenir en haut de la page




Accueil | Collections | Auteurs | Science-Fiction | Fantasy | Fantastique | Horreur
| Admin | Infos | Info légales
©2004-2025 PocheSF.com