Exit Burton, bienvenu Mark Twain ! Mais il s'agit d'un Mark Twain bien moins subtil et plein d'humour que ses écrits nous ont laissé entrevoir... Ce n'est plus qu'un amoureux transi et constructeur monomaniaque...
Ah, et l'on rencontre un prince Jean à la hauteur de sa réputation (sûrement le personnage le plus intéressant de ce tome).
A part ça, après un début très accrocheur, il n'est plus question que de la construction d'un bateau...
Et c'est tout...
On ne s'approche pas beaucoup de la Tour Noire aux sources du fleuve... Espérons que la suite sera plus prenante !

n'etant pas un super fan du cycle de dune, bien que le 1er tome soit excellent, le 2e "le messie de dune " absolument soporifique, j'ai failli abandonner, et ainsi de suite jusqu 'au bout , donc a mon avi tres inconstant; nous avons ici un roman tres space opera comme ne l'etait pas particulierement le cycle de frank herbert, (changement de planete, action, cliffhanger a chaque fin de chapitre, aventure) donc en bref sans que ce cycle soit absolument grandiose on ne s'ennui pas un seul instant.Ce qui m'ammene a l'auteur "Kevin j. Anderson"; j'au lu quelque temps avant "Dune la genèse", le cycle "La saga des 7 soleils" et je le conseil a tout fan de space opera, un fois commencer impossible de quitter ce cycle du grand SP de la grande SF .

voici un livre unique en son genre ,a l'imagination scientifique débordante mais néanmoins proche du possible dans sa cohérence incommensurable et titanesque.
il faut évidemment un minimum de connaissances mathématiques et scientifiques pour appréhender certains passages meme si l'imagination les transcende exagéremment de facon bienvenue . de plus , les extraterrestres sont bien réussis et parviennent a nous surprendre dans leurs comportements souvent innatendus ;les scènes d'action sont aussi tres convainquantes.

Il y a quelques années je l'avais lu. L'histoire m'avait paru un classique. L'amitié entre un dragon et un homme m'avait donné un mauvais goût de déjà vu. Cela m'avait pensé a croc-blanc et tous ces récits qui racontaient les émouvantes amitiés entre un animal et un personnage humain. En résumé je ne l'avais apprécié mais sans plus. Récemment je l'ai relu. Ma vision a bien changé. D'abord c'est l'époque napoléonienne. Époque peu exploitée pour plonger le lecteur dans un récit aussi épique. Puis vient les recherches que l'auteur a fait. Incroyable. Je n'ai pas d'autres mots. Enfin la relation entre un dragon et un humain est bien différente avec celle d'un chien ou un tout autre animal. Surtout s'il est doué de la parole et de la réflexion. Dés lors tout change. Dans l'ensemble un bon roman où l'histoire prend son cours un peu comme le vol a dos de dragon, a la fois lent puis a pleine vitesse.

Derrière un titre et des couvertures pas toujours attractives se cache un véritable chef d'oeuvre de la science-fiction.
Il est à noté que le titre original 'cities' est tout aussi déroutant, puisqu'il ne mentionne pas les chiens.
Le roman est composé de 8 contes traitant de l'homme, chacun de ces contes étant précédés et suivis de notes des chiens.
Chaque conte se suffit à lui même et les notes forment une identité globale au roman.
Une fois que l'on rentre dans le premier conte, les transitions entre contes et notes se font naturellement.
Ce roman a été écrit en 1952 et curieusement il reste encore très actuel.
Vraiment à lire !!!

La lecture de ce roman s'aborde comme la lecture d'un recueil de nouvelles.
Ces nouvelles commencent dans un univers médiéval, pour donner finalement place à un véritable univers de space opéra.
Au fil des différentes nouvelles, on voit toute la complexe économie de marché qu'il a été nécessaire de mettre en oeuvre pour ces tapis, le problème de temps lié aux voyages spatiaux dans les relations entre les planètes et notamment pour la circulation de l'information.
Et très rapidement, l'intrigue principal nous prend : Mais à quoi peuvent bien servir ces milliards de tapis de cheveux ???

Rarement on m'avait autant conseillé un cycle de SF que celui du Fleuve de l'Eternité... Pourtant, après avoir fini ce premier tome, j'avoue rester un peu sur ma fin.. Ca commence pourtant pas mal, avec un bonne idée - bien que suivre la vie de personnes ayant déjà existé ne me satsifasse pas totalement (et qu'en outre je préfère la "Alice" du Lost Girls d'Alan Moore) - mais quand le personnage principal commence à utiliser à tout va le "Suicide Express", l'histoire perd un peu d'intérêt, surtout que ça n'avance pas des masse vers la source et que l'on peine à s'attacher aux personnages

Je viens de finir ce livre, qui recueille tant de commentaires élogieux des internautes sur différents sites.
Pour ma part, j'ai un sentiment plutôt mitigé sur cette lecture. L'histoire est classique, le style littéraire n'est pas des plus foudroyant, peut-être dû à la traduction de Daniel Lemoine qui m'a semblé un peu défaillante, le scénario un peu lent et la psychologie des personnages plutôt figée. Certaines scènes m'ont paru trop peu vraisemblables.
Et puis, que le Pacte de Varsovie existe toujours dans un futur aussi lointain donne un aspect dépassé à l'histoire qu'on a sous les yeux.
Si politiquement, Card n'a pas su sortir des schémas politiques alors en place lorsqu'il a écrit son histoire, il faut reconnaître qu'il a fait preuve d'un vrai don d'anticipation en décrivant des réseaux sociaux et des forums d'échanges, qui ressemblent furieusement à ce qu'on connaît maintenant ! De même, pour les bureaux, qui sont les Ipad d'aujourd'hui. Chapeau bas à l'auteur pour ces coups de génie !
Malgré tout, l'histoire se laisse lire agréablement et on arrive quand même à la fin, qui peut surprendre ou pas, selon la perspicacité du lecteur !
Mais assurément pas le chef d'oeuvre tant vanté, et par rapport à l'attente, j'ai eu de la déception. Je ne suis pas sûr d'avoir envie de lire les tomes suivants du cycle d'Ender. Peut-être jamais en fait.

Ce fut un régal de suivre les aventures de Daniel dans cette aventure. Le style est clairement daté, mais il participe au charme du livre. Enfin les passages sur le chat Petronius le Sage m'ont vraiment plu et amusé.

Aldiss d'écrit un monde en se focalisant sur un village, une tribu. J'ai eu un mal fou à m'attacher aux personnages, à m'intéresser à l'archaïsme des traditions décrites, tandis que les intrigues qui font figurent d'anecdotes dans le cycle de la planète.Bof.