«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
Hypérion (2) - La chute d'Hypérion (t1)
Popol Wul le 16/07/2008 :
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
Hypérion (1) - Les Cantos d'Hypérion (t2)
Popol Wul le 16/07/2008 :
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
Hypérion (1) - Les Cantos d'Hypérion (t1)
Popol Wul le 16/07/2008 :
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
Kirinyaga
Jarlath le 16/07/2008 : Un chef d'oeuvre !!!!!
Rien à rajouter...Lisez-le !! C'est vraiment un des tout bon livre de SF !! Je le conseille à tout le monde !
L'oreille interne
Popol Wul le 15/07/2008 :
Quelque part entre SF et comédie de mœurs, un constat désabusé de l’après révolution sexuelle.
Chroniques des vampires (1) - Entretien avec un vampire
Popol Wul le 15/07/2008 :
Une excellente histoire de vampires qui prend le parti d’aborder le thème du point de vue du vampire lui-même dans un style qui renoue avec le classicisme romantique. De l’art de faire du neuf avec du vieux.
Le monde inverti
Popol Wul le 15/07/2008 :
Une inventivité vertigineuse sous haute influence dickienne. Certainement le meilleur roman SF des années 70.
Les voies d'Anubis
Popol Wul le 15/07/2008 :
Une histoire ultra-tordue, un florilège d’idées géniales et un ton léger qui font de ce chef-d’œuvre steampunk l’un des romans SF plus originaux des années 80.
Histoires extraordinaires
Popol Wul le 15/07/2008 :
Une œuvre tourmentée et poétique, fleuron noir de la littérature romantique (même si toutes les nouvelles de ce recueil ne sont pas des chefs-d’œuvre). Sans remettre en cause l’importance de Poe dans le fantastique moderne, on pourraitt lui préférer aujourd’hui l’immédiateté d’un R.L. Stevenson ou d’un Henry James.
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«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
Rien à rajouter...Lisez-le !! C'est vraiment un des tout bon livre de SF !! Je le conseille à tout le monde !
Quelque part entre SF et comédie de mœurs, un constat désabusé de l’après révolution sexuelle.
Une excellente histoire de vampires qui prend le parti d’aborder le thème du point de vue du vampire lui-même dans un style qui renoue avec le classicisme romantique. De l’art de faire du neuf avec du vieux.
Une inventivité vertigineuse sous haute influence dickienne. Certainement le meilleur roman SF des années 70.
Une histoire ultra-tordue, un florilège d’idées géniales et un ton léger qui font de ce chef-d’œuvre steampunk l’un des romans SF plus originaux des années 80.
Une œuvre tourmentée et poétique, fleuron noir de la littérature romantique (même si toutes les nouvelles de ce recueil ne sont pas des chefs-d’œuvre). Sans remettre en cause l’importance de Poe dans le fantastique moderne, on pourraitt lui préférer aujourd’hui l’immédiateté d’un R.L. Stevenson ou d’un Henry James.