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Cycle Drenaï (04) - Druss la légende
Moyen dakeyras le 21/05/2010 : Mouais

J'ai maintenant tous les livres de Gemmell traduits en français, à part le 3ème opus des aventures de Jon Shadow, complètement à part dans l'oeuvre de Gemmell.
Celui-ci fait partie de ceux qui m'ont laissé la moins grande impression. Une histoire qui sera divertissante pour les fans de Conan. Mais comparé à Legende, à Rigante ou à Troie (le chef-d'oeuvre), il ne fait pas le poids, histoire simple, bataille sans grandes nouveautés par rapport à ce à quoi Gemmell est capable.
Heuresement, Sieben est là pour nous faire hurler de rire, quel culot quand même!



L'oeuf du dragon
Incontournable ash le 18/05/2010 : J'A-DO-RE

Enfin une histoire de science-fiction qui pose le problème d'une rencontre du troisième type avec autre chose qu'une vague créature que l'on pourrait retrouver sur Terre (soit des humanoïdes, soit des créatures tentaculaires) : "Comment est-il possible de communiquer avec une espèce qui vit un millions de fois plus vite que nous ?" La réponse dans le livre...



Trois coeurs, trois lions / Deux regrets
Moyen  le 09/05/2010 : Franchement, je suis décu.

Depuis septembre dernier, j’étais plongé dans l’œuvre de Moorcock, la lisant presque dans son intégralité (il me manque deux, trois petits « trucs » mais je ressentais le besoin de souffler et il sera toujours temps, dans l’avenir, de revenir dessus) et, je m’étais alors dit, alors que j’achevais les dernières pages de Gloriana, que la meilleur transition possible pour un autre auteur serait de faire un petit tour du coté de Poul Anderson et plus particulièrement, son célèbre Trois cœurs, trois lions que l’amateur de Fantasy ne peut ignorer (par contre, pour ce qui est de le lire, c’est une autre affaire). Mais alors, pourquoi ce livre plus qu’un autre en fait ? Tout simplement pour ses nombreux points communs avec le Cycle du Champion Eternel de Moorcock : lute entre la Loi et le Chaos, mondes parallèles, une espèce de Champion sur de multiples plans d’existence, visiblement, le lecteur fan d’Elric et consorts se trouve en terrain connu même si les différences existent néanmoins. Ici, c’est la lute entre le Ciel (la Loi) et l’Enfer (le Chaos) qui est mis au premier plan ; quant aux mondes parallèles, ils existent, incontestablement, mais l’auteur ne les approfondis pas spécialement. Et pour ce qui est du héros, Holger Carlsen, on pourrait en faire un avatar correct du Champion Eternel ne serais-ce son, euh, comment dire, manque de charisme flagrant ?! Car oui, je dois reconnaître qu’après coup, je suis loin d’avoir garder un souvenir impérissable de ce Trois cœurs, trois lions.

Tout d’abord, un petit aparté sur les deux nouvelles qui concluent le récit principal (et oui, pour une fois, commençons par la fin). Celles-ci n’ont leur place dans cet ouvrage que par le fait que l’auteur, a deux reprises, soit revenu sur cet univers particulier où une auberge, donnant sur une multitude de mondes parallèles, voit la rencontre, chaque soir et chaque nuit, entre diverses figures historiques. Le postulat de base est d’ailleurs, sur ce point, fort intéressant et bien trouvé, rappelant la tour qui voyageait à travers les plans dans Elric et Corum. Cependant, si la première nouvelle, L’auberge hors du temps, est assez intéressante par le fait que ses rencontres, aussi incroyables soient-elles, n’en restent pas moins frustrantes pour leurs protagonistes, la seconde, La ballade des perdants est franchement, de mon point de vu, quelconque.

Trois cœurs, trois lions, le texte principal, lui, est décevant au final, et ce, malgré de bonnes idées, comme donc, ces mondes parallèles et cette lutte entre Loi et Chaos. Mais tout cela, il est évidant que Moorcock fera bien mieux par la suite et il est incontestable que, cette œuvre de Poul Anderson, auteur américain d’origine danoise pour la petite histoire, pèche beaucoup trop par son âge et ce qui en ressort, au final, est que ce roman a bien mal vieilli. Franchement, des les premiers chapitres, j’avais compris que j’allais être déçu, et surtout, a cause de ce héros, Holger Carlsen qui était peut être bien en phase avec son époque, mais qui au jour d’aujourd’hui, apparaît comme niais, sans saveur, voir même détestable : un type comme lui pouvait me plaire lorsque j’avais 12 ou 13 ans, de même, cela aurait été le cas avec cette l’histoire en elle-même, pleine de grands sentiments, de vierge effarouchée, d’amour souvent niais, de méchants vraiment méchants et de gentils tout beaux tout propres. Mais là, franchement, après des décennies de lecture, de films, de jeux etc. Comment cela peut-il passer sans être un peu ridicule sur les bords ? J’ai pourtant le sentiment qu’à la base, Trois cœurs, trois lions est loin d’être mauvais, qu’il fourmille de bonnes idées, un peu comme l’univers utilisé, le Carolingien, qui nous change largement du celtique, utilisé 9 fois sur 10, voir plus, et nous offre du coup, une bouffée d’oxygène. Et puis, par certains cotés, cette candeur que je critique possède parfois un petit coté attachant, et quelques moments de l’intrigue sont loin d’être déplaisants. Mais à chaque fois, il faut qu’un dialogue niais, ou un comportement que l’on ne croyait plus voir chez un personnage digne de ce nom refait surface et vient gâcher l’ensemble. Alors bien sur, cette œuvre est parue il y a 50 ans. Mais quand même, ceci n’excuse pas tout.

J’ai peut être été trop dur avec ce livre, cependant, c’est un fait, malgré ces qualités que je n’occulte pas, Trois cœurs, trois lions m’a déçu, indéniablement. Cependant, vu qu’il n’est pas très long, il mérite que l’on s’y attarde, ne serais ce que pour se faire sa propre idée de la chose, mais aussi, pour voir d’où Moorcock a put tirer quelques petites idées. Dommage simplement qu’il ait si mal vieilli…



Gloriana ou la reine inassouvie
Incontournable  le 09/05/2010 : Le meilleur de Moorcock

Et si, contre toute attente, et malgré un monument de l’Heroic Fantasy qu’est Elric, ce Gloriana ou la Reine inassouvie était tout simplement le meilleur roman de Michael Moorcock ? Cela se pourrait bien à bien y réfléchir et, sincèrement, alors que je viens tout juste de finir de le lire, il y a quelques jours, cette impression ne me quitte pas. Mais mettons les choses au point tout de suite : incontestablement, il est évidant que la saga d’Elric, dans son ensemble, est supérieure à toute autre production de Moorcock ; de part la classe et le charisme de son personnage principal, de part son cruel et triste destin, de part le simple fait que le cycle du prince albinos est depuis ses débuts, entré dans la légende de la littérature fantastique. Mais Elric souffre aussi de son écriture, écrite sur plusieurs décennies, où le meilleur, voir le sublime, côtoie le moyen, et le lecteur, lors de sa lecture, peu en être perturber. Quelque part, Corum n’en est pas loin également de la perfection, surtout que cet autre avatar du Champion Eternel, lui, est exempt des défauts de son glorieux et célèbre ainé. Mais Gloriana, sans atteindre le souffle épique des divers cycles consacrés au Champion Eternel, n’en possède pas moins une force, une cohésion, une intensité rarement atteint, tant chez Moorcock, qu’en règle générale. Car sans aucune discussion possible, avec Gloriana ou la Reine inassouvie, l’auteur britannique tient là presque son chef d’œuvre, un petit bijou comme on n’en voit que trop rarement.

Cette fois ci, finis le « format » nouvelles et les cycles en x volumes, avec Gloriana, Michael Moorcock nous offre un roman qui se suffit à lui seul, flirtant bon avec la bonne vieille Uchronie des familles, même si, d’un point de vue stricte du terme, ce n’en est pas vraiment une : en effet, ici, point d’élément perturbateur dans la trame du temps qui aurait fait que l’Histoire ait déviée ; car si la Reine Gloriana ressemble par beaucoup à Elisabeth, par l’époque, proche de la renaissance, c’est plus par ses différences d’avec la « Reine Vierge », comme on la surnommait, aux antipodes de celle-ci : Gloriana, autant inassouvie dans ses désirs, malgré ses gargantuesques appétits sexuels, n’en a pas moins une fort nombreuse progéniture. De même, faut-il le souligner, Albion n’est pas l’Angleterre. Non, cet univers, à la fois si semblable au notre malgré ses différences, tient infiniment plus de la cosmologie Moorcockienne du multivers que de l’Uchronie ; ainsi, a la lecture, comment ne pas noter, pour le connaisseur, les multiples clins d’œil a d’autres œuvres du maitre ? Ces personnages qui jurent en utilisant des noms de Dieux du Chaos, comme Arioch ou Xiombarg, ces références subtiles a ce passé, fort lointain, où ces Dieux existaient réellement avant de disparaître ne nous rappellent-elles pas les dernières pages du Cycle d’Elric, lorsqu’un nouveau monde, une nouvelle humanité fait table rase du passé ? Ainsi, malgré son originalité, Gloriana fait partie intégrante du multivers de Moorcock et même si la traditionnelle lute entre le Chaos et la Loi n’est pas flagrante de prime abord, celle-ci, de façon détournée (mais l’œil aguerri du lecteur le notera), n’en existe pas moins.

Mais ce qui fait la grande force de ce Gloriana ou la Reine inassouvie, c’est bien évidement son intrigue, son histoire, captivante au possible, que l’on dévore d’un trait ou presque, presque par surprise étant donné qu’au début, l’on peut être dubitatif devant un roman dont l’action se déroule à 95% dans le palais royal ou ses alentours et qui s’attarde quasi exclusivement sur les dialogues entre les nombreux protagonistes. Car que les amateurs d’action et de grandes épopées passent leur chemin, ici, c’est d’intrigues, de psychologie, de désirs (inassouvies pour la plupart, cela va de soit), de paraboles entre une Reine et son Royaume, de poésie (et oui), de sentiments et d’ambitions que l’on va parler, et de la meilleur des façons. Et c’est là la grande force de Moorcock, incontestablement : par le biais de ses personnages, de leurs ambitions, de leurs forces et de leurs faiblesses, l’écrivain britannique nous entraine dans une fantastique histoire, qui semble calme et posée de prime abord, où les apparences sont bien souvent trompeuses et où l’on s’aperçoit que le moindre petit grain de sable (dans le cas présent, le charismatique et ténébreux Quire, vexé que l’on ne reconnaisse pas son « art », et accessoirement, l’un des personnages les plus intéressants de Moorcock) peut venir faire dérailler les plans de toute une vie, ceux du Chancelier Montfalcon, et l’apparente gloire d’un Empire, celui d’Albion. Alors, au gré des pages, tant le royaume que sa Reine, sa sublime mais triste Gloriana, commencent leur chute, inéluctable vers un abyme insoupçonné, tel un navire en perdition, même si la fin, ressemble presque à un happy-end. J’ai bien dit, presque…

En toute franchise, et le Cycle d’Elric mis a part pour des raisons évidentes, Gloriana ou la Reine inassouvie est fort probablement la plus grande réussite de Michael Moorcock, presque son chef d’œuvre, tant dans le fond que par la forme. Du moins, c’est ce que j’ai ressentis a sa lecture et personnellement, celui-ci est surement l’un des meilleurs ouvrages qu’il m’ait été donné de lire depuis longtemps, incontestablement. Une véritable perle, a ne pas manquer sans aucun prétexte.



Les dieux eux-mêmes
Bien Memnoch le 02/05/2010 : A lire absolument !

Un des meilleurs romans d'Isaac Asimov, au niveau du cycle Fondation. Un chef d'oeuvre d'inventivité et un classique trop méconnu.



Le voyageur imprudent
Très bien Memnoch le 02/05/2010 : Un classique à la française

Très bon roman d'un des précurseurs et maître de la science-fiction française. Même si le thème du paradoxe temporel évoqué ici parait peu original, il faut replacer ce livre à son époque (écrit dans les années 40). On ne peut qu'admirer le génie créatif de René Barjavel. A lire pour tous ceux qui ne l'ont toujours pas lu.



Cycle L'Étoile de Pandore (4) - Judas démasqué
Incontournable Roswell le 01/05/2010 : Toujours aussi Bien

Ce Dernier Tome est vraiment concentré sur l'histoire. Toujours aussi prenante malgré pour selon moi une bataille finale un peu décevante.



De bons présages
Très bien Valérie le 24/04/2010 :

Une vision des anges très originale et hilarante. A lire absolument



Niourk
Incontournable Inventeur le 20/04/2010 : Un excellent roman

Roman excellent qui nous fait découvrir tout le talent de Stefan Wul. L'histoire de ces hommes et de l'enfant noir qui découvre la ville mythique de Niourk, est passionnante. Un roman à posséder à tout prix !



Cycle L'Étoile de Pandore (3) - Judas déchaîné
Très bien Roswell le 18/04/2010 : Encore mieux

Toujours pareil, ce tome est mieux que le 2ieme car il commence enfin à rentrer dans l'histoire. Toujours un peu de regret concernant l'histoire principale.





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