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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


Ma douce Audrina
Très bien Esther le 04/03/2011 : Un livre incontournable !

C'est vraiment le livre qui ma marqué et lequel je peux lire et relire ! Moi qui pensé que c'était un livre d'horreur et bien appart quelque passage assez dur il ne ma pas trop ammaucher .Jai même pleuré vèrs la fin tellement il m'avait bouleversée mais ce n'ai pas étonnent ;je suis si sensible :D ! Je pensais que la vérité aller être surnaturel mais non juste une histoire qui a mal tournée !Cela reste mon livre préférer !!



Etoiles, garde-à-vous !
Moyen  le 03/03/2011 : platitude spastial

Un mauvais roman. Son idéologie est absurde; seul les anciens soldats ont le droit de voté. donc, tout les intellectuels doivent aller risqué leurs vies pour pouvoir voté. et le narrateurs dit lui-même que la plupart des soldats sont des idiots. je n'insulte aucun militaire mais c'était comme ça à l'époque. mais robert passe deux-cent pages pour nous parler de l'entrainement et de la philosophie d'un combattent. je donne deux étoile parce-que la bataille final était bien fait.



Les conjurés de Florence
Bien  le 02/03/2011 : Ça partait pourtant si bien...

Uchronie, Steampunk ? Quand on sait que cette dernière, en quelque sorte, pour exister, est forcement la première également, les choses deviennent a la fois simples et compliquées a la fois, en particulier pour tous ceux qui ne vivent que dans la classification a tout va… et encore, j’éviterais d’ajouter que le Steampunk, c’est un petit peu de la Fantasy a vapeur. Mais quoi qu’il en soit, et je pense que tous les amateurs de ce genre seront d’accord avec moi, c’est que, quand on pense Steampunk, nous vient immédiatement a l’esprit l’Angleterre victorienne, le dix neuvième siècle, les chapeaux haut de forme etc. Or là, et c’est le premier point positif de ces Conjurés de Florence, un petit saut dans le temps s’impose jusqu'à la Renaissance italienne. Changement de lieu, changement d’époque et, Uchronie oblige (comme je suis d’humeur taquine), le point de divergence suivant : Leonard de Vinci abandonnant la peinture se consacre uniquement aux machines et donne a Florence sa révolution industrielle, et, accessoirement, en change la face du monde.


Les conjurés de Florence démarrait avec un postulat de base, ma fois, assez prometteur et cela faisait quelques temps que je m’étais promis de m’y attaquer. Que cela soit de part son univers, cette Florence industrielle avec ses airs de Steampunk, ces rapports entièrement différents avec le continent américain d’où les espagnols sont absents et où des liens se sont établis, du coup, avec l’Empire Aztèque et les autres peuples du continent (ce qui est par ailleurs une idée assez judicieuse en y réfléchissant un peu : l’Espagne avait cette volonté de conquête et de conversion, un état plus commercial comme celui de Florence est plus intéresser par les profits des échanges commerciaux), mais aussi, et ce n’est pas négligeable, les protagonistes du roman où l’on croise bon nombre de figures historiques comme Machiavel, Michel Ange, Raphaël, Leonard de Vinci, Copernic ou Cortez, mon enthousiasme allait bon train dans les premières pages de ce roman de Paul McAuley, un auteur que, je dois avouer, était un parfait inconnu a mes yeux avant coup. Ainsi, assez rapidement, je fut pris, en suivant les traces du jeune peintre Pasquale, dans les méandres de ce qu’il faut bel et bien appeler un polar, celui-ci secondant un Machiavel autrefois tomber en disgrâce et aujourd’hui journaliste tout simplement parfait dans le rôle du vieux mentor roublard et parfait connaisseur de la chose. Par ailleurs, j’abonde dans le sens des éditions Folio SF qui, sur le quatrième de couverture, osaient la comparaison tout de même excessive avec Le nom de la rose, surtout au vu de la qualité de celui-ci. Mais bon, toutes proportions gardées, les similitudes existaient entre les deux œuvres : le coté enquête policière dans un milieu clos, ici les peintres, les rapports entre maitre et élève, vieux et jeune, parfaitement retranscris avec Machiavel et Pasquale, mais aussi et surtout, la part ludique du roman car, aussi incroyable que cela puisse paraître, l’on apprend pas mal de choses sur la peinture en lisant Les conjurés de Florence. Par contre, et là, je ne peux le nier, je n’ai pas compris la deuxième comparaison entre cette œuvre et Perdido Street Station ; j’ai eu beau chercher, je ne vois pas vraiment, mais bon, cela n’enlevais rien a mon enthousiasme.


Mais hélas, mille fois hélas, c’était trop beau pour durer. Si la première partie des Conjurés de Florence était tout bonnement passionnante, ensuite, cela se gatte rapidement et a aucun moment, et ce, jusqu’au final, l’auteur ne parvient à redresser la barre de son récit. Est-ce la succession de coups de théâtre toutes les deux ou trois pages, l’ampleur des complots auxquels on manque de se perdre dans le jeu des alliances et des trahisons, est ce aussi le fait qu’assez rapidement, l’enquête est tout bonnement délaissée pour l’action a proprement parlée, que Machiavel, figure indispensable au récit ne fasse plus que des apparitions éparses, ou bien alors, est ce que je n’ai pas trop accrocher avec le coté « magique » (même si tout est explicable scientifiquement, reste la magie des indiens du nouveau monde) qui fait son apparition ? Je ne sais pas, un peu de tout cela a la fois. Et au fait, le fameux ange que souhaitait peindre Pasquale, on n’en apprend pas plus sur le sujet, comme, malheureusement, pas mal d’autres événements qui restent un peu trop dans le flou. Et alors, forcement, tout ce qui faisait la force de ces Conjurés de Florence, tout ce qui émoustillait le lecteur dans la première partie du roman disparaît petit à petit et si, n’exagérons pas, la suite n’est pas mauvaise en soit, cela reste bien trop moyen et largement inférieur, et on va jusqu’au bout plus avec un certain dépit, au point que l’on puisse parler de déception, tout simplement.


Donc, indéniablement, Les conjurés de Florence ne peuvent que décevoir, et ce, surtout en raison d’une déception que je qualifierais de monumentale, au vu du postulat de départ et de la première partie, qui sincèrement, nous faisait parfois penser a ce fameux Nom de la rose. Du coup, ce qui aurait put être exceptionnel, ou du moins, très bon, s’en retrouve grandement déprécier au point que l’on peut parler d’œuvre un peu bancal au vu de sa construction et des différences d’intérêt une fois arriver environ a la moitié du roman. Bon, malgré cela, Les conjurés de Florence restent un agréable divertissement qui plaira probablement a certains, mais le lecteur exigeant que je suis en attendait bien plus.


Par contre, les éditions Folio SF ont eu la très bonne idée d’inclure à la fin de l’ouvrage une courte nouvelle du même auteur intitulé La tentation du docteur Stein, récit qui se déroule dans le même univers mais dix ans auparavant et qui, en mêlant le mythe du Golem et celui de la créature de Frankenstein réussit le tour de force de redonner le sourire au lecteur déçu par le récit principal. C’est court, c’est loin d’être original mais c’est du tout bon, croyez moi !



Oms en série
Incontournable Jacques le 01/03/2011 : Chapeau

Voila un très bon roman. Réécriture sans fioriture inutile de l'histoire de Spartacus, conjuguée à de l'anticipation c'est un chef d'oeuvre que j'aime à redévorer.
Certains passages sont néanmoins parfois assez longs.
Mais ce livre est un vrai chef d'oeuvre!



Chroniques martiennes
Très bien Jacques le 01/03/2011 : Super!

Un très bon receuil de nouvelles! Celles ci sont bien ficelées. Comme dans les romans de P.Dick, on oscille toujours entre "est ce vraiment réel" ou 'est ce mon imagination qui me joue des tours", entre la réalité et la folie.
Pas de technobabillage. Certaines nouvelles sont néanmoins plus ardues à lire que d'autres.



Le secret de Ji (1)
Très bien Jacques le 01/03/2011 : Chapeau!

Un excellent livre!
L'univers est bien construit. Les annexes (cartes et glossaire) permettent de ne pas se perdre. Les détails sont toujours pertinants, rendant les personnages vivants.
Un bijou de la fantasy made in france!



Le meilleur des mondes
Incontournable Jacques le 01/03/2011 : Un bijou!

Voila un excellent roman d'anticipation!
Des personnages recherchés, un univers rose en apparence mais cauchemardesque sous la surface, une ironie corrosive et qui vole très haut (les références à Shakespeare et Leibnitz sont bien choisies et bien employées!). Le malaise de John suinte littéralement les pages, avant même son apparition.

Petit bémol, les passages dans la Réserve à "Sauvages" sont un peu trop longues et un peu ennuyantes.
Néanmoins une perle!



Le seigneur des anneaux (1) - La communauté de l'anneau
Bien Jacques le 01/03/2011 : Un bon livre mais......

Je vais me faire l'avocat du diable mais, bien que j'admire le travail d'imagination de Tolkien, qui à pour dire posé les bases de la fantasy moderne, je trouve son style assez peu attractif. Ses descriptions dithyrambiques rappellent les didascalies des pièces de S.Beckett et ne laissent peu ou prou de place à l'imagination. Un peu l'exact opposé de la phrase "tout est suggéré rien n'est imposé".
Néanmoins, le premier Tome et l'oeuvre de Tolkien en général sont excellents



La nuit des temps
Pas terrible ! Jacques le 01/03/2011 : Vade Retro

J'ai véritablement été dégouté par ce livre.
Au départ quand je l'ai reçu en cadeau je me suis dit "chouette de la SF française, c'est rare" et me suis donc plongé dans le roman.
Mais comme dit, j'ai très très vite déchanté par l'espèce de babillage philosophico-sentimentaliste qu'est ce livre, en particulier à partir du moment ou Eléa et Paikan entrent en scène.
"Le grand mythe des amants légendaires": Au départ ce passage de la 4ème de couverture me rappellait un peu Marc Antoine et Cléopâtre, ou Pâris et Hélène. Deux amants plongés dans une guerre meurtrière, ou ils périssent épiquement (pour M-Antoine et Cléopâtre)ou s'échappent pour vivre leur amour comme dans Manon Lescaut.
Mais hélas il n'en a rien été

En conclusion, je pense que le titre de mon commentaire résume bien mon avis sur ce livre.



Cycle de Gor (11) - Les esclaves de Gor
Très bien  le 01/03/2011 : je le cherche

Bonsoir,

Je suis à la recherche des tomes suivants du "Cycle de Gor" de John Norman.
» Les Esclaves de Gor (1982)
» Les Chasseurs de Gor (1983)
» Les Maraudeurs de Gor (1983)
» La Captive de Gor (1985)
» Les Monstres de Gor (1997)
» Les Explorateurs de Gor (1986)
» Le Champion de Gor (1986)
» Le Forban de Gor (1986)


si vous en avez, contactez-moi !





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