Un recueil de nouvelles ayant en commun un monde en guerre, mais où le conflit passe en second plan derrière les histoires des ces hommes et femmes perdus, tourmentés, a recherche de quelque chose. Comme a l'habitude de Priest, les fins n'en sont pas vraiment, ce qui peux frustrer, mais donne toute sa force aux récits, qui sont des brides de vie ... ou de rêve ? Des nouvelles exellentes, entre le réel et l'illusion, qui réservent quelques surprises.
Saga des Hommes-Dieux (1) - Le faiseur d'univers
Erato le 14/04/2011 : La vie n'est pas un long fleuve tranquille
La saga du fleuve, elle était distrayante. Du coup, j'ai acheté cette autre saga de Farmer. Que de longueurs, que d'ennui. Le 1er tome aurait été largement suffisant.
Demain les chiens
Erato le 14/04/2011 : Quelle histoire !
Brrr... J'en reviens pas ! Voici une histoire visionnaire en diable où l'homme déserte son berceau, non pas confiant, mais délaissant la planète "Monde" à son fidèle compagnon, seul capable "d'expédier les affaires courantes". Quant au personnage qui ne choisit pas entre la vie et la mort, optant pour un sommeil éternel, c'est au fond bien lui le plus inquiétant... Pour avoir lu plusieurs fois ce roman, la dernière remontant à plus de 20 ans, l'empreinte qu'il m'a laissée est profonde. C'est intelligent, sans doute prophétique, et l'écriture souple de S. Simak ont été pour moi une invitation à lire la totalité de ses romans SF.
Les Univers multiples (1) - Temps
Vince le 05/04/2011 : Time opera avec des calmars
Malenfant est un héros américain moderne : un ex de la NASA qui crée sa riche société de ses mains, et qui décide de partir dans l'espace, parce que monsieur a décidé que le futur de l'humanité se ferait dans les étoiles. Alors voilà, au début du livre, on est un peu agacé par ces personnages typiquement américain et le style assez banal.
Seulement voilà, Baxter a une histoire a raconter. Et elle est passionnante ! On voyage dans l'espace, dans le temps, dans des univers différents, dans des vaisseaux, dans des portails, avec des enfants surdoués venus du futur, un mathématicien obsédé par la fin du monde, ou des personnages complètement largués, voir même des calmars très intelligents.
Alors des fois on se dit que c'est un peu n’importe quoi et que ça tient pas debout, mais peu importe, ça scotche. Une bien belle histoire.
La guerre des mondes
Vince le 05/04/2011 : Invasion alien : la base.
Après avoir vraiment adoré "La machine a remonter le temps", je me lance dans l'autre grand classique de Wells. Et bien voilà, celui là est moins bien : il a vieillit, le rythme s’essouffle parfois, et nos yeux du 21eme siècle sont un peu blasés de ce genre de scénario d'invasion.
Et pour cause : dans le genre invasion alien, il n'y a pas eu beaucoup de progrès depuis Wells.
A lire, pour saluer le génie de cet auteur qui a donner naissance a un genre voici bientôt 115 ans.
Tous à Zanzibar (t1)
Vince le 05/04/2011 : foisonnement
Un livre assez dur a aborder, il m'a bien fallu 150 pages pour comprendre le style narratif, m'imprégner de l'univers et identifier les personnages. Mais une fois qu'on y est, c'est un vrai plaisir, et il est très dur de se détacher de la plume cynique de Brunner, et du foisonnement de détails qui donne vie a cette vision d'un futur aussi déprimant que passionnant.
A la poursuite des Slans
Butch le 03/04/2011 : pas mal
Voici une aventure plaisante, sans temps morts et avec un style très facile d'accès. L'auteur ne se préoccupe pas beaucoup de la psychologie de ses personnages et les soixante ans du texte sont très marqués. Mais l'histoire reste sympa, même si les personnages sont assez simplistes.
Darwin (1) - L'échelle de Darwin
Jérémy le 30/03/2011 : Fascinant
Livre très intéressant qui nous permet de plonger dans le monde de la génétique avec des mots simples. Les pages sont faciles à lire et l'on y prend facilement goût.
Le Livre de Mars (1) - L'épée de Rhiannon
le 29/03/2011 : Du bien et du moins bien...
Je ne comprends pas pourquoi on classe ce livre comme étant un classique du genre.
Il est vrai qu'il y a une réelle touche d'imagination, un monde avec des créatures qui lui sont propres mais pour moi l'histoire se déroule bien trop vite. L'auteur veut raconter l'histoire d'un monde et d'une époque en à peine 200 pages, du coup les personnages et les lieux manquent de crédibilité. Tout va beaucoup trop vite à mon goût.
La compagnie noire (01) - La compagnie noire
le 29/03/2011 : Original
Je trouvais un gouffre entre toutes les critiques sur cette série, c'était soit tout rose, soit tout noir, et j'ai compris pourquoi.
Le style de Cook est assez particulier, du coup il faut un petit temps d'adaptation pour l'apprécier.
Je dois avouer que les 100 premières pages sont assez pénibles, les discours sont mal formulés, on a du mal à distinguer qui parle, et il y a beaucoup de parlotte qui ne sert pas vraiment à l'avancée du récit.
Cependant passé ces 100 premières pages, la lecture devient de plus en plus fluide jusqu'à nous donner envie de continuer tout de suite avec le tome 2 !
Je le recommande.
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Un recueil de nouvelles ayant en commun un monde en guerre, mais où le conflit passe en second plan derrière les histoires des ces hommes et femmes perdus, tourmentés, a recherche de quelque chose. Comme a l'habitude de Priest, les fins n'en sont pas vraiment, ce qui peux frustrer, mais donne toute sa force aux récits, qui sont des brides de vie ... ou de rêve ? Des nouvelles exellentes, entre le réel et l'illusion, qui réservent quelques surprises.
La saga du fleuve, elle était distrayante. Du coup, j'ai acheté cette autre saga de Farmer. Que de longueurs, que d'ennui. Le 1er tome aurait été largement suffisant.
Brrr... J'en reviens pas ! Voici une histoire visionnaire en diable où l'homme déserte son berceau, non pas confiant, mais délaissant la planète "Monde" à son fidèle compagnon, seul capable "d'expédier les affaires courantes". Quant au personnage qui ne choisit pas entre la vie et la mort, optant pour un sommeil éternel, c'est au fond bien lui le plus inquiétant... Pour avoir lu plusieurs fois ce roman, la dernière remontant à plus de 20 ans, l'empreinte qu'il m'a laissée est profonde. C'est intelligent, sans doute prophétique, et l'écriture souple de S. Simak ont été pour moi une invitation à lire la totalité de ses romans SF.
Malenfant est un héros américain moderne : un ex de la NASA qui crée sa riche société de ses mains, et qui décide de partir dans l'espace, parce que monsieur a décidé que le futur de l'humanité se ferait dans les étoiles. Alors voilà, au début du livre, on est un peu agacé par ces personnages typiquement américain et le style assez banal.
Seulement voilà, Baxter a une histoire a raconter. Et elle est passionnante ! On voyage dans l'espace, dans le temps, dans des univers différents, dans des vaisseaux, dans des portails, avec des enfants surdoués venus du futur, un mathématicien obsédé par la fin du monde, ou des personnages complètement largués, voir même des calmars très intelligents.
Alors des fois on se dit que c'est un peu n’importe quoi et que ça tient pas debout, mais peu importe, ça scotche. Une bien belle histoire.
Après avoir vraiment adoré "La machine a remonter le temps", je me lance dans l'autre grand classique de Wells. Et bien voilà, celui là est moins bien : il a vieillit, le rythme s’essouffle parfois, et nos yeux du 21eme siècle sont un peu blasés de ce genre de scénario d'invasion.
Et pour cause : dans le genre invasion alien, il n'y a pas eu beaucoup de progrès depuis Wells.
A lire, pour saluer le génie de cet auteur qui a donner naissance a un genre voici bientôt 115 ans.
Un livre assez dur a aborder, il m'a bien fallu 150 pages pour comprendre le style narratif, m'imprégner de l'univers et identifier les personnages. Mais une fois qu'on y est, c'est un vrai plaisir, et il est très dur de se détacher de la plume cynique de Brunner, et du foisonnement de détails qui donne vie a cette vision d'un futur aussi déprimant que passionnant.
Voici une aventure plaisante, sans temps morts et avec un style très facile d'accès. L'auteur ne se préoccupe pas beaucoup de la psychologie de ses personnages et les soixante ans du texte sont très marqués. Mais l'histoire reste sympa, même si les personnages sont assez simplistes.
Livre très intéressant qui nous permet de plonger dans le monde de la génétique avec des mots simples. Les pages sont faciles à lire et l'on y prend facilement goût.
Je ne comprends pas pourquoi on classe ce livre comme étant un classique du genre.
Il est vrai qu'il y a une réelle touche d'imagination, un monde avec des créatures qui lui sont propres mais pour moi l'histoire se déroule bien trop vite. L'auteur veut raconter l'histoire d'un monde et d'une époque en à peine 200 pages, du coup les personnages et les lieux manquent de crédibilité. Tout va beaucoup trop vite à mon goût.
Je trouvais un gouffre entre toutes les critiques sur cette série, c'était soit tout rose, soit tout noir, et j'ai compris pourquoi.
Le style de Cook est assez particulier, du coup il faut un petit temps d'adaptation pour l'apprécier.
Je dois avouer que les 100 premières pages sont assez pénibles, les discours sont mal formulés, on a du mal à distinguer qui parle, et il y a beaucoup de parlotte qui ne sert pas vraiment à l'avancée du récit.
Cependant passé ces 100 premières pages, la lecture devient de plus en plus fluide jusqu'à nous donner envie de continuer tout de suite avec le tome 2 !
Je le recommande.