L'épée de vérité (1) - La première règle du magicien (t2)
Popol Wul le 05/07/2008 :
S’il n’y en avait qu’un à lire, ça serait celui-là. Un monde de high fantasy tout neuf, c'est-à-dire sans elfes, nains, trolls, gobelins et autres créatures échappées du monde de Tolkien. L’histoire est haletante, les héros sont attachants, les méchants sont très méchants (on est bien content quand ils meurent) et les codes du genre sont réinventés. Que demander de plus ?
L'épée de vérité (1) - La première règle du magicien (t1)
Popol Wul le 05/07/2008 :
S’il n’y en avait qu’un à lire, ça serait celui-là. Un monde de high fantasy tout neuf, c'est-à-dire sans elfes, nains, trolls, gobelins et autres créatures échappées du monde de Tolkien. L’histoire est haletante, les héros sont attachants, les méchants sont très méchants (on est bien content quand ils meurent) et les codes du genre sont réinventés. Que demander de plus ?
Simulacron 3
Popol Wul le 05/07/2008 :
Aussi bon que Philip K. Dick dans le même registre, Daniel F. Galouye s’interroge sur les mondes virtuels et les différents niveaux de réalités perceptibles. La littérature cyberpunk et les films qui en découlent, comme « Matrix » et « Avalon », doivent beaucoup à ce classique encore trop méconnu de la SF.
L'invasion des profanateurs
Popol Wul le 05/07/2008 :
Une histoire d’invasion extraterrestre bien ficelée, dans le style horrifique de Richard Matheson, fortement ancrée dans les idéologies américaines de son époque.
2010 : odyssée deux
Popol Wul le 05/07/2008 :
Pour prolonger le plaisir de ceux qui n’ont pas décroché des mystérieux monolithes noirs.
2001 : L'odyssée de l'espace
Popol Wul le 05/07/2008 :
Ce n’est pas une injure à Arthur C. Clarke que de dire que cette novellisation du classique du cinéma qu’il a écrit avec Stanley Kubrick n’est pas le sommet de son oeuvre. En revanche, il éclaire énormément sur la compréhension du film.
Le festin nu
Popol Wul le 05/07/2008 :
Texte le plus connu de William S. Burroughs, figure phare de la Beat Generation. « Le Festin nu » n’a qu’un mince rapport avec la SF (je serais même tenté de dire qu’il n’en a aucun à part l’éventuelle influence qu’il a pu exercé sur des auteurs fascinés par les perceptions de la réalité). On est plus proche des surréalistes dans cette descente aux Enfers d’un junky à multiples personnalités. Pas d’intrigue mais juste des chapitres hallucinatoires, écrits sous l’emprise de différentes drogues dures sur des feuilles volantes dans un taudis parisien (Burroughs peut remercier Kerouac et Ginsberg pour le travail de remise en forme de son texte). On aime ou on déteste.
Tous à Zanzibar (t2)
Popol Wul le 05/07/2008 :
Une œuvre difficile mais impressionnante par la richesse des évènements relatés, la justesse de son anticipation et sa frénésie verbale. Il s’agit d’un thriller géopolitique dans lequel s’entremêlent des courts récits indépendants, des textes sociologiques et des expérimentations littéraires. Au final, un portrait hypnotique et cubiste d’un monde moderne prêt à imploser qui préfigure le mouvement cyberpunk à venir.
Tous à Zanzibar (t1)
Popol Wul le 05/07/2008 :
Une œuvre difficile mais impressionnante par la richesse des évènements relatés, la justesse de son anticipation et sa frénésie verbale. Il s’agit d’un thriller géopolitique dans lequel s’entremêlent des courts récits indépendants, des textes sociologiques et des expérimentations littéraires. Au final, un portrait hypnotique et cubiste d’un monde moderne prêt à imploser qui préfigure le mouvement cyberpunk à venir.
Martiens, go home !
Popol Wul le 05/07/2008 :
Avec Sheckley, Fredric Brown est l’un des meilleurs représentants de la SF humoristique. “Martiens go home !” est son roman le plus connu, sorte de Mars Attack avant l’heure mais sans violence.
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S’il n’y en avait qu’un à lire, ça serait celui-là. Un monde de high fantasy tout neuf, c'est-à-dire sans elfes, nains, trolls, gobelins et autres créatures échappées du monde de Tolkien. L’histoire est haletante, les héros sont attachants, les méchants sont très méchants (on est bien content quand ils meurent) et les codes du genre sont réinventés. Que demander de plus ?
S’il n’y en avait qu’un à lire, ça serait celui-là. Un monde de high fantasy tout neuf, c'est-à-dire sans elfes, nains, trolls, gobelins et autres créatures échappées du monde de Tolkien. L’histoire est haletante, les héros sont attachants, les méchants sont très méchants (on est bien content quand ils meurent) et les codes du genre sont réinventés. Que demander de plus ?
Aussi bon que Philip K. Dick dans le même registre, Daniel F. Galouye s’interroge sur les mondes virtuels et les différents niveaux de réalités perceptibles. La littérature cyberpunk et les films qui en découlent, comme « Matrix » et « Avalon », doivent beaucoup à ce classique encore trop méconnu de la SF.
Une histoire d’invasion extraterrestre bien ficelée, dans le style horrifique de Richard Matheson, fortement ancrée dans les idéologies américaines de son époque.
Pour prolonger le plaisir de ceux qui n’ont pas décroché des mystérieux monolithes noirs.
Ce n’est pas une injure à Arthur C. Clarke que de dire que cette novellisation du classique du cinéma qu’il a écrit avec Stanley Kubrick n’est pas le sommet de son oeuvre. En revanche, il éclaire énormément sur la compréhension du film.
Texte le plus connu de William S. Burroughs, figure phare de la Beat Generation. « Le Festin nu » n’a qu’un mince rapport avec la SF (je serais même tenté de dire qu’il n’en a aucun à part l’éventuelle influence qu’il a pu exercé sur des auteurs fascinés par les perceptions de la réalité). On est plus proche des surréalistes dans cette descente aux Enfers d’un junky à multiples personnalités. Pas d’intrigue mais juste des chapitres hallucinatoires, écrits sous l’emprise de différentes drogues dures sur des feuilles volantes dans un taudis parisien (Burroughs peut remercier Kerouac et Ginsberg pour le travail de remise en forme de son texte). On aime ou on déteste.
Une œuvre difficile mais impressionnante par la richesse des évènements relatés, la justesse de son anticipation et sa frénésie verbale. Il s’agit d’un thriller géopolitique dans lequel s’entremêlent des courts récits indépendants, des textes sociologiques et des expérimentations littéraires. Au final, un portrait hypnotique et cubiste d’un monde moderne prêt à imploser qui préfigure le mouvement cyberpunk à venir.
Une œuvre difficile mais impressionnante par la richesse des évènements relatés, la justesse de son anticipation et sa frénésie verbale. Il s’agit d’un thriller géopolitique dans lequel s’entremêlent des courts récits indépendants, des textes sociologiques et des expérimentations littéraires. Au final, un portrait hypnotique et cubiste d’un monde moderne prêt à imploser qui préfigure le mouvement cyberpunk à venir.
Avec Sheckley, Fredric Brown est l’un des meilleurs représentants de la SF humoristique. “Martiens go home !” est son roman le plus connu, sorte de Mars Attack avant l’heure mais sans violence.