King remet le couvert avec ses « novellas » dans ce recueil 100% fantastique. Mais seule la première (« Les Langoliers » ou « Minuit 1 » si vous préférez) sort du lot avec sa SF façon « Quatrième Dimension ».
Minuit 2
Popol Wul le 10/07/2008 :
King remet le couvert avec ses « novellas » dans ce recueil 100% fantastique. Mais seule la première (« Les Langoliers » ou « Minuit 1 » si vous préférez) sort du lot avec sa SF façon « Quatrième Dimension ».
La tour sombre (1) - Le pistolero
Popol Wul le 10/07/2008 :
Quelque part entre le western et la fantasy, ce premier volet pèche par manque de maîtrise et n’est guère engageant pour la suite du cycle.
Insomnie (2)
Popol Wul le 10/07/2008 :
Un roman complexe sur la vieillesse, et plus généralement la mort, qui flirte avec la SF (« La Tour sombre » n’a pas l’air bien loin).
Insomnie (1)
Popol Wul le 10/07/2008 :
Un roman complexe sur la vieillesse, et plus généralement la mort, qui flirte avec la SF (« La Tour sombre » n’a pas l’air bien loin).
Dolores Clairborne
Popol Wul le 10/07/2008 :
Texte brut (plus de 300 pages en continu sans chapitre) pour retranscrire la déposition que la pauvre Dolores Claiborne fait à la police. Un roman noir avec une belle brochette de salauds (Stephen King excelle dans cet exercice) pour décrire au vitriol la condition des femmes dans l’Amérique des classes populaires.
Différentes saisons (Un élève doué)
Popol Wul le 10/07/2008 :
Stephen King sort de ses sentiers habituels avec ce recueil de quatre récits à dominante dramatique, dénués de tout élément surnaturel si l’on excepte « La méthode respiratoire » (qui est d’ailleurs le moins réussi). Mais l’horreur n’a pas déserté pour autant : du barbarisme carcérale de « Rita Hayworth… » à la fascination morbide du nazisme d’ « Un Elève doué », elle reste le moteur de ce recueil. Mention spéciale pour « Le Corps », certainement le plus beau et le plus puissant texte écrit par King.
Dead Zone
Popol Wul le 10/07/2008 :
Un roman fantastique à part dans l’œuvre de Stephen King, mélancolique et désespéré avec son super-héros solitaire et malade, accablé par le poids de son destin et de celui de l'humanité tout entière.
Danse macabre
Popol Wul le 10/07/2008 :
Un premier recueil d’une vingtaine de nouvelles fantastiques qui frôlent la perfection par leur efficacité et leur originalité. Stephen King démontre ici qu’il est le digne héritier de Richard Matheson.
Cujo
Popol Wul le 10/07/2008 :
Un huis-clos dans une voiture en panne et un mastodonte de chien enragé qui tourne autour. Un intrigue minimaliste pour une plongée au cœur de la souffrance physique et psychologique. Eprouvant.
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King remet le couvert avec ses « novellas » dans ce recueil 100% fantastique. Mais seule la première (« Les Langoliers » ou « Minuit 1 » si vous préférez) sort du lot avec sa SF façon « Quatrième Dimension ».
King remet le couvert avec ses « novellas » dans ce recueil 100% fantastique. Mais seule la première (« Les Langoliers » ou « Minuit 1 » si vous préférez) sort du lot avec sa SF façon « Quatrième Dimension ».
Quelque part entre le western et la fantasy, ce premier volet pèche par manque de maîtrise et n’est guère engageant pour la suite du cycle.
Un roman complexe sur la vieillesse, et plus généralement la mort, qui flirte avec la SF (« La Tour sombre » n’a pas l’air bien loin).
Un roman complexe sur la vieillesse, et plus généralement la mort, qui flirte avec la SF (« La Tour sombre » n’a pas l’air bien loin).
Texte brut (plus de 300 pages en continu sans chapitre) pour retranscrire la déposition que la pauvre Dolores Claiborne fait à la police. Un roman noir avec une belle brochette de salauds (Stephen King excelle dans cet exercice) pour décrire au vitriol la condition des femmes dans l’Amérique des classes populaires.
Stephen King sort de ses sentiers habituels avec ce recueil de quatre récits à dominante dramatique, dénués de tout élément surnaturel si l’on excepte « La méthode respiratoire » (qui est d’ailleurs le moins réussi). Mais l’horreur n’a pas déserté pour autant : du barbarisme carcérale de « Rita Hayworth… » à la fascination morbide du nazisme d’ « Un Elève doué », elle reste le moteur de ce recueil. Mention spéciale pour « Le Corps », certainement le plus beau et le plus puissant texte écrit par King.
Un roman fantastique à part dans l’œuvre de Stephen King, mélancolique et désespéré avec son super-héros solitaire et malade, accablé par le poids de son destin et de celui de l'humanité tout entière.
Un premier recueil d’une vingtaine de nouvelles fantastiques qui frôlent la perfection par leur efficacité et leur originalité. Stephen King démontre ici qu’il est le digne héritier de Richard Matheson.
Un huis-clos dans une voiture en panne et un mastodonte de chien enragé qui tourne autour. Un intrigue minimaliste pour une plongée au cœur de la souffrance physique et psychologique. Eprouvant.