"La chaleur tuera cet été! Ça va être terrible", avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas : l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût connu. Ce fut aussi un été sanglant.
En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo un saint-bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre... Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons ! Ils se trompaient : même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre...
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Popol Wul le 10/07/2008 >
Un huis-clos dans une voiture en panne et un mastodonte de chien enragé qui tourne autour. Un intrigue minimaliste pour une plongée au cœur de la souffrance physique et psychologique. Eprouvant.
nolwenn le 31/05/2008 > pas du chiqué
Dans Cujo, la psychologie des personnages est formidable, le suspense entier, le scénario très bien mené. King s'investit dans chacun de ses personnages jeunes ou vieux, homme ou femme, et pour moi c'est un de ses secrets.. La jeune mère dans ce livre est abordée avec des complexes plus vrais que nature.
le 28/09/2006 > pas terrible
cujo reste un roman moyen de king meme si king avait prévu cujo comme un roman de bachman(ce qu'il aurait dut etre).La couche de terreur ajoutée a la base narrative de cujolorsqu'il changea d'avis est insuffisante pour tranformer une histoire classique,une histoire de terreur venue de la vie réelle,en une histoie surnaturelle,une histoire de la trempe d'un hotel hantécomme jérusalem's lot.Cujo se trouve le cul entre deux chaises,coincé entre deux types d'histoires et est,de ce fait,affaibli.