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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


2001 : L'odyssée de l'espace
Incontournable Kevin le 13/09/2008 : Insensé!!!

J'ai lu le livre et vu le film et c'est tout simplement incroyable car 2001 parle de la vie et de son evolution à travers différentes époques, tout en mettant en avant le génie de l'homme. A la fin l'homme réussit à s'extirper de sa coquille de simple homme pour devenir un surhomme et ainsi il mérite sa place dans l'univers galactique!!! Un trés grand roman et un trés grand film!!!!



Démence
Incontournable  le 12/09/2008 : Démentiel

Très original , on le lit avec un très grand plaisir du début à la fin.
En plus , Graham Masterton met des petites doses d'humour qui font mouche.
Je l'ai lu il y a plusieurs années mais indéniablement c'est un des livres qui m'a le plus marqué .



Les annales du Disque-Monde (07) - Pyramides
Très bien  le 09/09/2008 : .... toujours aussi bon

Ce septième volume des Annales du Disque Monde est un peu diffèrent des autres, puisque, pour une fois, nous quittons les personnages plus ou moins récurrents de la série pour nous plonger dans un ancien royaume dont toute ressemblance avec l' ancienne Egypte est tout sauf fortuite.
Et c'est ce qui rehausse l'intérêt de ce livre et de la saga, par la même occasion, car ce dépaysement, nous évite de tourner en rond et nous montre un autre aperçu de la géographie du Disque et de toutes les possibilités romanesque qui en découlent, et ce, même si la cité d' Ankh-Morpok est présente dans la première partie de l' oeuvre (avec au passage, de forts utiles développements sur les différentes guildes de la ville, en particulier la guide des Assassins qui nous préoccupe ici ou l'on suit la formation de ceux ci).
Donc, nous voila avec une géniale copie de l' Egypte, lui même entouré de deux autres nations qui nous font penser immédiatement a la Grèce et a la Perse.
Le décor est planté, et l'on ne va pas s'ennuyer une seule seconde!

Une fois de plus, Terry Pratchett ne déçoit pas et nous offre, avec "Pyramides" un excellent roman a l'humour subtil et corrosif ou un jeune héritier, Teppic, qui rêvait de devenir assassin, se voit forcé de rentrer chez lui a la suite du décès de son père afin de prendre sa succession.
Bien évidement, pour avoir vu le vaste monde extérieur, notre héros du jour rêve d' apporter quelques progrès a sa population, mais cela ne sera pas aussi simple car il est difficile de changer des traditions vieilles de 7000 ans.
Surtout que le garant de celles ci, le grand prêtre Dios veille au grain.
A ce sujet, celui ci mérite une mention spéciale.
Jusqu'à présent, Pratchett nous avais inventer des personnages, qu'ils soient importants ou secondaires, attachants et charismatiques. Avec Dios, on a l'un des plus intéressants de part sa personnalité , inquiétante et complexe. Si de prime abord, celui ci ne semble pas payer de mine, il se découvre au fil de la lecture (et des diverses révélations) et gagne en intérêt, et ce, jusqu'à la révélation finale (mais chut!).
Quand aux autres personnages de "Pyramides", fort nombreux, l'on est pas déçus une seconde, et pourtant, ils sont légions entre l' architecte et ses deux fils (hilarants), l' embaumeur et son apprenti, Ptorothée et ses origines mystérieuses, les compagnons de la guilde des assassins, les philosophes (l'un des grands moments du livre, peut être le plus drôle) et surtout, le plus grand mathématicien du disque!
Mais il ne faut pas oublier le Pharaon précédant!
Certes, il est mort, mais cela ne l' empêche pas de vaquer a ses occupations....

Bien évidement, comme d'habitude chez Pratchett, rien ne sera simple et les péripétie les plus loufoques font se succéder au fil des pages entre des pyramides de plus en plus grandes et de plus en plus dangereuses, un royaume entier qui disparaît, des momies qui se promènent, des Dieux qui apparaissent, un Sphinx et...son énigme (forcement!), Dios et ses secrets et Teppic, au beau milieu de tout ça, essayant de faire de son mieux.
Et si je vous dit que les mathématiques, la physique quantique, les marges de bénéfice et la philosophie tiennent une place primordiale dans cette oeuvre, vous comprenez peut être ou vous mettez les pieds?
Ou ça?
Dans un (une fois de plus) excellent volume des Annales.
Bien évidement, a lire....



Hypérion (1) - Les Cantos d'Hypérion (t1)
Pas terrible ! jipi le 08/09/2008 : ben non, pas du tout

impossible d'accrocher, j'ai abandonné le livre au bout de 150 pages. Je ne comprends pas l'engouement pour cet ouvrage qui est mal défini, peu abordable et d'un scénario douteux.



Le temps désarticulé
Très bien  le 06/09/2008 :

Philip K. Dick frôle le chef-d’œuvre dans cette critique de l’ « American Way of Life » qui a largement influencé le film « Truman Show ».



Les annales du Disque-Monde (01) - La huitième couleur
Très bien  le 01/09/2008 : Culte!

Finalement, je me suis décidé a me lancer dans les cultismes Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett, après une brève mais fort agréable incursion dans cette saga avec le " Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants" il y a quelques semaines.
Et lorsque l'on se lance dans une saga, quelque soit sa taille (et dans le cas présent, on en est tout de même a une trentaines de volumes), il vaut mieux commencer par le début, même si, je dois avouer que dans le Disque-Monde, ce n'est pas une obligation. Mais bon, autant découvrir la genèse de cet Univers farfelu en commençant par le commencement.

La Huitième Couleur nous entraîne de plein pied dans cet Univers que Pratchett lui même qualifie de moins ordonné et sérieux que les autres, mais plus imaginatif.
Et pour ce faire, l'auteur nous invite a suivre les péripéties du mage Rincevent qui est a la magie ce que la saga Taxi est au cinéma, c'est a dire son antithèse total.
Ah! Rincevent!
Personnage récurent dans de nombreux volumes de la saga (comme d'autres qui feront leur apparition au fil des tomes), Pratchett nous a inventé la l' antihéros parfait qui passe son temps a geindre, a pleurnicher et a essayer de fuir le moindre danger et les problèmes qui, pour son plus grand malheur s'abattent en permanence sur ses épaules. Ce "mage" est a ce point ridicule (de mémoire, je n' ai pas souvenir d'avoir vu u type aussi froussard!) qu'il en devient immédiatement culte et c'est avec un grand plaisir que l'on suit ses péripéties.
Mais les autres personnages ne sont pas en reste: entre DeuxFleurs (mais ou Pratchett va t'il chercher des noms pareils?), l' employé de bureau qui se décide un jours a devenir touriste, son coffre sur pattes, Rhun le Barbare, la Mort, les Dieux, les voleurs et tous les autres, on a droit a un florilège de stéréotypes géniaux qui moquent allègrement l' ensemble des sagas d' Heroic Fantasy.

Alors, l'on s'en constate bien que Pratchett se cherche encore dans ce premier volume, que tout n' est pas parfait, mais l'humour, lui, est déjà présent, et celui ci est de qualité.
Anachronismes, situations cocasses et biscornues, pastiches des travers du Médiéval Fantastique, multiples rebondissements; tout cela nous fait passer un fort agréable moment et on en redemande.
Quoique l' on en dises, la Huitième Couleur est incontestablement un bon livre.

Certes, je ne me vois pas lire l' ensemble de la saga d'une traite, a force, cela pourrait en devenir lassant. Cependant, je me vois bien y revenir régulièrement, entre des oeuvres dites plus sérieuses, histoire de décompresser un peu.
Et je sens que le meilleur est a venir avec les Annales du Disque-Monde....



Les annales du Disque-Monde (02) - Le huitième sortilège
Bien  le 01/09/2008 : Ah! Rincevent

Deuxième volume des cultissimes Annales du Disque Monde, le Huitième Sortilège est la suite directe de la Huitième Couleur et l'on retrouve avec plaisir les péripéties du mage raté Rincevent, de DeuxFleurs le touriste et, bien entendu, du bagage.
Souvenez vous, a la fin du tome 1, nous avions quittés nos héros alors qu'ils étaient projetés hors du Disque Monde et qu'ils tombaient dans les profondeurs spatiales (bah oui, dans un monde plat, les possibilités de chute dans le vide ne sont pas a écarter). Bien évidement, ils vont s'en sortir sans grand dommage même si je vous laisse la primeur de la découverte et c'est reparti, sur la lignée du volume précédant, dans un parcours abracadabrantesque a travers divers lieux du Disque.
Cependant, la ou aucun fil conducteur n' était réellement apparent dans la Huitième Couleur ( On se contentait de suivre Rincevent et DeuxFleurs a divers étapes de leurs voyage), cette fois ci, il n'en est plus question et c'est l' In-Octavo, le plus puissant de tous les livres de magie qui en est la clef, avec, au bout, la menace d'une éventuelle fin du monde si la Tortue céleste percute une mystérieuse Étoile Rouge...
Et a mes yeux, la qualité de l' histoire ne fait que croître grâce a une histoire amusante et assez bien construite et, une fois de plus grâce a ses personnages.
Rincevent est définitivement culte, mais peut être pas dans le sens noble du terme, mais qu' importe au final, ce type est lâche, peureux, pleurnichard mais c'est ce qui fait tout son charme!
Si DeuxFleurs est égal a lui même, un petit nouveau prénommé Cohen le Barbare (bref, un Conan octogénaire) vient relever et pimenter de belle manière notre duo habituel (ou trio si l'on compte le bagage).
Quand aux personnages secondaires, j' ai particulièrement aimé Trymon, le méchant de service qui fait plus responsable des ressources humaines que mage, ce qui du coup, le rends encore plus démoniaque!

Voila donc un livre prenant, amusant de part l' histoire, ces protagonistes et les divers clins d' oeil de Terry Pratchett ( et ben oui, les mégalithes de pierre servaient bien d' ordinateur géants aux anciens Druides) qui m' a fait passer un fort agréable moment, mais qui est indissociable du premier volume, de qui il est la suite indispensable.
A lire bien évidement et je comprends désormais pourquoi les Annales du Disque Monde sont cultes.



Les annales du Disque-Monde (03) - La huitième fille
Incontournable  le 01/09/2008 : Si une femme était mage, se serait une sorcière!

Troisième volume des Annales du Disque Monde, la Huitième Fille est un peu diffèrent de ces prédécesseurs: cette fois ci, plus de Rincevent ni de Bagage mais de nouveaux personnages et une nouvelle intrigue.
Si l' Univers est toujours le même, et que l'on retrouve la cité d' Ankh-Morpork et l' Université de l' invisible, c'est désormais la jeune Eske et la sorcière, Mémé Ciredutemps que l'on suit et ce renouvellement dans les rôles principaux est le bienvenu et ajoute de l' intérêt a l' histoire, mais ce n'est pas tout.
Tout d' abord, l'intrigue en elle même est assez originale, dans le Disque Monde, seul les hommes peuvent être mages, et du coup, les femmes sont destinées a être sorcières. Or, suite a une erreur, une jeune fille se voit investit du pouvoir qui aurait du échoir a un garçon, ce qui ne c'était jamais produit jusque la. Et nous voila partis pour une histoire sympathique, qui de prime abord semble être sans grande prétention mais qui s' avère bien plus profonde qu'elle en a l' air.
De fait, si la grande question est de savoir si oui ou non, Eskarina deviendra un jour mage (et on se doute qu'elle parviendra a ses fins), si l'humour est toujours présent (mais plus subtil que dans les deux premiers volumes, Pratchett se bonifie avec le temps), c'est en fait une véritable dénonciation de la condition féminine que l' auteur Britannique nous a livré, et avec talent.
Car si dans le Disque Monde, une femme n' est bonne qu'aux taches ménagères, qu'aux plaisirs de la chair ou a préparer des potions avec des herbes cueillies dans les bois, si l'on réfléchit bien un instant, combien d'hommes, dans le monde réel les voient encore ainsi?
Enfin, peut être pas comme des sorcières, quoique...
Et si en plus, je vous dit que les personnages, de Mémé Ciredutemps a Eske, en passant par les mages machos de l' Université de l' Invisible sont tous attachants, chacun a leur manière avec leurs qualités et leurs défauts, et qu'en plus, vers la fin, vous aurez droit a un pastiche hilarant de Merlin l' enchanteur de Disney, vous vous doutez bien que je ne peux que vous conseiller ce livre.
Et en plus de l' agréable moment que la Huitième Fille vous feras passer, n' oubliez pas que du coté du Disque Monde, l' humour n'est jamais bien loin...



Les annales du Disque-Monde (04) - Mortimer
Très bien  le 01/09/2008 : Morty!!!!!!

Quatrième opus des Annales du Disque Monde, Mortimer est le premier ouvrage dont le titre ne commence par le (ou la) huitième quelque chose. Cela est anecdotique mais je tenais a le signaler, histoire de meubler le post sans doute...
Cette fois, nous retrouvons La Mort pour la première fois comme protagoniste principal.
Personnage récurent de la série, celui ci (oui, car la Mort est un "mâle" nécessaire) se met donc en quête d'un apprenti qui lui permettra de se soulager un peu de son travail quotidien et de vaquer a d' autres occupations comme, pour ne vous citer que quelques exemples: goutter a tous les alcools de la création, chercher un emploi, jouer aux dés ou aller dans une soirée de la jet set.
Déjà la, vous vous dites sûrement que Terry Pratchett vas encore nous entraîner dans des délires monumentaux et vous n' avez pas tort, car de plus, le dit apprenti et un brave gars plutôt maladroit et pas vraiment tailler pour un emploi sérieux (alors, remplacer La Mort!!!) et qui, bien entendu, vas rapidement n' en faire qu'a sa tète pour les beaux yeux d'une princesse et du coup, mettre la réalité en péril... mais chut, inutile d'en dire plus, cela serait gâcher le plaisir de la lecture.

Dans la lignée de ses prédécesseurs, Mortimer est pétri du même humour (parfois absurde mais l'auteur est britannique alors cela se comprend) que ceux ci et si, cette fois, l' effet de surprise initial de la saga n'est plus présent, le niveau n' a pas baisser le moins du monde et l'on y prend toujours autant de plaisir lors de sa lecture.
Les personnages ne sont peut être pas tous aussi développés que dans les premiers volumes mais Morty est assez attachant entre sa maladresse intiale et son envie de bien faire coue que coute et Coupefin se révèle bien plus interessant que l'on urait pu croire au fil de la progression dans l' histoire.
Si Ysabell aurait peut être gagner a être un peu plus travaillée (mais la, je chipote beaucoup, j' attendais peut etre d' avantage de la fille de la Mort ), La Mort, lui est vraiment grandiloquent, que cela soit de la façon a laquelle on s'attendrait habituellement a voir décrire un tel personnage ou, bien plus souvent, dans les moments plus légers ou on le voit dans des situations assez cocasses.

Mortimer est une véritable petite réussite, certes, au bout de quatre ouvrages, on n' est plus autant surpris , mais cela importe peu car il rempli parfaitement son office: nous faire rire et passer (encore une fois, mais cela deviens une habitude) un très bon moment.



Les annales du Disque-Monde (05) - Sourcellerie
Bien  le 01/09/2008 : ...

Cinquième volume des cultissimes Annales du Disque Monde de l' auteur Britannique, Terry Pratchett, Sourcellerie nous permet de retrouver comme protagoniste principal, le non moins culte Rincevent, le maje (pardon, le mage) le moins compétant de toute l'histoire de la Fantasy (mais peut être l'un des plus attachant, et sûrement le plus drôle).
Ainsi sont faites les Annales, l'on passe d'un thème a un autre, de héros (?) a d'autres avec leur cohortes de personnages secondaires sans sourciller et sans perdre en qualité, tant le Disque Monde fourmille d'histoires a raconter (ce n'est peut être pas anodin si Pratchett en est déjà a une trentaines de romans...).
Cependant, pour la première fois, j' ai connu une légère déception.
Oh, celle ci est toute relative, voir infime mais je ne pourrais pas la nier.
Peut être que l'effet de surprise est passé (mais au bout de 5 livres auxquels il faut ajouter "Maurice", il aurait du l'être depuis longtemps), ou bien, peut être qu'un sentiment de lassitude est apparu?
Non, rien de tout ça.
Sourcellerie est un bon livre; plaisant, agréable,drôle et qui possède ses grands moments de délires dont seul Pratchett est capable et qui resterons a jamais gravés dans ma mémoire (ah, les fameux Cavaliers de l' Apocralypse ivres morts dans un bar) mais, car il y a un mais, il reste légèrement inférieur a quelques uns de ses prédécésseurs (en particulier a la Huitième Fille) ou plutôt, car il m'est difficile de trouver les mots exacts, peut être parce que je m' attendais a mieux?
Ouf, difficile d'être clair...

Surtout que franchement, Sourcellerie est tout de même un excellent roman.
Tenez:
Entre Rincevent, toujours égal a lui même (bref, tout est dit), la fille de Cohen le Barbare, Conina qui rêve de devenir coiffeuse, le bibliothécaire, qui au fil des volumes devient l'un de mes personnages préférés (ouk!) et la Mort, on est plutôt bien gâtés, et de nombreux personnages secondaires sont a la hauteur, comme le Sourcellier, évidement et quelques mages de l' Université de l' Invisible.
Hélas, Nijel, s'il est marrant, apparaît tout de même comme une copie de Mortimer du point de vue physique, a croire que Pratchett se recycle.
Quand a l'histoire a proprement parlée, elle est plutôt bien trouvée entre ses mages qui se la coulaient plutôt douce jusque la, l' arrivée de la Sourcellerie qui chamboule tout, l' Apocralypse qui forcement en découle et la question primordiale que tout amateur d' Heroic Fantasy a dut se poser un jour (et qui est très loin d'être bête):
Mais pourquoi les magiciens, avec leurs pouvoirs, ne dirigent ils pas le monde?
Rassurez vous, on auras la réponse.

Mais peut être que, malgré ses qualités, Sourcellerie aurait mérité quelques pages supplémentaires qui en aurait fait un chef d' oeuvre absolu, certains évènements étant un peu passés sous silence ou vite écartés...
Après tout, c'est peut être cela qui m' auras surtout déçu?...
Mais bon, relativisons, des déceptions aussi bonnes, j' en redemande!





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