Eddie le 27/10/2008 : Toujours aussi incoutournable
Je prends mon pied à lire cette saga. L'univers est riche et prenant.
Bref, faut que je m'achète la suite
Rêve de fer
rolos le 27/10/2008 : au delà de la SF
Le rêve de fer de norman Spinrad n'est pas un livre que de SF. C'est une analyse en profondeur de la psychologie d'un personnage de l'histoire en démontant les rouages psychologiques d'un malade mental. Hitler est ce malade qui a su convaincre le monde de sa toute puissance, et son pays de le mener à sa tête.
L'intelligence de Spinrad est justement de décaler dans l'espace et dans son métier ce personnage pour ne pas faire croire à une hagiographie de ce personnage.
Et la conclusion est là justement pour expliciter ce propos.
Je pense que c'est un livre de méditation sur les hommes de pouvoir ou Hitler est le symbole extrême d'un fou qui prend les commandes d'un pays.
Aujourd'hui encore, nous pouvons lire ce livre pour decrypter nos propres hommes politiques. N'est ce pas le but de la SF que de pousser une réflexion vers notre présent.
La forêt des Mythagos (1)
le 24/10/2008 : une étude de la forêt
L'histoire est originale et intriguante. L'athmosphère est noire et inquiétante. Le rythme soutenu dans le déroulement de l'action m'a bien plu. Cependant, par moment, l'histoire est un peu "tirée par les cheveux" et peu crédible. Bien sûr, il s'agit d'un roman "ancien" (1985)-C'est pas mal tout de même.
L'homme qui rétrécit
Eddie le 20/10/2008 : Pas mal
Ça fait un peu vieillot, les descriptions longues concernant les obstacles à franchir sont assez vite ennuyeux, mais la psychologie du personnage lors de son processus de rapetissement y est bien traité, et les flash-back aux différents stades de sa récession touchent juste à chaque fois.
Les annales du Disque-Monde (14) - Nobliaux et sorcières
le 19/10/2008 : Des elfes!!!
Ce quatorzième tome des Annales du Disque monde voit le retour, pour notre plus grand plaisir des sorcières de Lancre. Souvenez vous, nous les avions laisser, a l'issue de " Mécomptes de Fées", revenir chez elles de façon détournée puisque celles ci avaient décidées de voir un peu du pays et de jouer les touristes.
L' histoire commence avec leur retour et un mariage est annoncé, celui tant attendu de Magrat avec le Roi Verence (ex-bouffon royal) et tout semble aller pour le mieux, ne serais ce quelques évènements plutôt singuliers qui vont vite mettre la puce a l' oreille a notre inimitable et irascible Mémé Ciredutemps.
Avant d'aller plus loin, je dois avouer que jusqu' a présent, les volumes ou apparaissent nos sorcières bien aimées sont des véritables réussites, pour les intrigues mais surtout grâce a leur caractère si différents qui les mettent régulièrement dans des situations hilarantes, en particulier entre elles.
Et " Nobliaux et Sorcières" et dans la même veine que ces prédécesseurs et tous ceux qui on aimer ceux ci, ne peuvent (ne doivent) que ce jeter le plus rapidement possible sur cette suite ou il n' y a pas grand chose a jeter.
Cette fois ci, Pratchett s'intéresse, enfin, aux Elfes.
Mais, comme il fallait s'y attendre, celui ci ne pouvait les utiliser de la même manière que le fond les milliers d'auteurs d' Heroic Fantasy, et c'est tant mieux!
Les Elfes sont beaux, graciles, minces, ont des oreilles pointues et sont "tellement" supérieurs aux humains? Oui, mais sur le Disque Monde, ce sont surtout des ORDURES!
Et rien que pour cette vision différente de ceux ci, " Nobliaux et Sorcières" mérite d'être lu.
C'est tellement rare que des auteurs osent sortir des Canons de Tolkien....
Mais si le duel entre nos sorcières (toujours égales a elles mêmes) et ces salauds d' Elfes occupe principalement la majeure partie du récit, celui ci ne serait pas aussi jouissif sans les innombrables seconds rôles qui le jalonnent ainsi que toutes les révélations que l'on y apprend.
Entre les différents occupants du château de Lancre, ceux du royaume, le rôle jouer par les forgerons, les danseurs de Moris, les jeunes sorcières prêtent a bousculer leurs aînées et les vieilles habitudes, la présence de quelques mages de l' Université de l' Invisible et celle de Casanabo, il y a vraiment de quoi faire et chacun a son rôle a jouer, le plus souvent comique d'ailleurs, quelque soit son importance dans le récit.
Mais, personnellement, c'est Ridculle qui pour moi emporte la palme de l' hilarité générale: entre la façon dont il traite ses subordonnés (pauvre économe) et sa passion amoureuse pour Mémé Ciredutemps, chacune de ses apparitions est un bonheur.
D'ailleurs, j'ai particulièrement apprécier cette "belle" histoire d'amour entre celle ci et l' Archichancelier (romantisme quand tu nous tient...), mais sans oublier une Magrat "Reine Guerrière", une Nounou Ogg égale a elle même, une flopée de personnages hilarants, une intrigue passionnante et des Elfes si différents des bonnes vieilles habitudes, c'est un ensemble de tout cela qui fait que "Nobliaux et Sorcières" est une parfaite réussite qui vous fera rire longtemps après avoir achever la dernière page...
Cycle de Dune (1) - Dune (t1)
Melie le 16/10/2008 : A lire d'urgence
Oh mon dieu!! Rien ne sert d'en parler il faut lire le cycle entier! Rien n'est meilleur que cette sensation d'y être plongé jusqu'au cou!! La meilleure de mes (très) nombreuses lectures!!!!
Cycle de Fondation (1) - Fondation
Melie le 16/10/2008 : Le meilleur
Après avoir lu ce cycle le reste de la SF vous paraitra bien fade!! Asimov a quasiment tué le genre avec ces livres. A lire et à relire quand le besoin se fait sentir!!
Les annales du Disque-Monde (13) - Les petits dieux
le 16/10/2008 : Et pourtant, elle se meut...
Décidément, ce qui est amusant avec les Annales du Disque Monde, c'est que c'est souvent les livres ou l'on attend pas grand chose qui s' avèrent les tout meilleurs. Si c'est avec impatience que l'on se plonge dans une nouvelle lecture des aventures des sorcières de Lancre ou du Guet, les tomes dits indépendants ne sont, incontestablement, pas attendus de la même manière.
On se dit: "Tient, un nouveau volume? Qu' est ce que cela va donner? Et au fait, il est long ou pas parce que le suivant, lui, y a Rincevent etc..."
Et comme souvent, on a tort.
Et c'est le cas avec ces Petits Dieux qui, personnellement, resteront longtemps dans ma mémoire.
Bon, d' emblée, je dois reconnaître que le sujet de ce treizième tome m' intéressait puisqu'il abordait la religion. Cependant, comme je viens de l' expliquer, le fait qu'il soit "indépendant" me faisait douter au départ. Sentiments contradictoires qui furent, au bout de quelques pages (et de quelques jours, j'ai eu un peu de mal a rentre dans l' histoire par manque de temps surtout)balayés par la sensation que je me trouvais devant une petite perle.
Cette fois ci, Terry Pratchett s'éloigne a des années lumières de l'humour burlesque a la Rincevent pour une autre variété bien plus subtile; moins présente de prime abord, mais qui ne servirait plus que comme toile de fond tandis que le but même de l'ouvrage, lui, était mis en avant de bout en bout.
Car " Les Petits Dieux" sont une oeuvre noire, bien plus sombre que les autres volumes des Annales, ce qui bouscule un peu nos habitudes, ce qui n' est pas plus mal.
Mais cela se comprend car le sujet traité, l'intolérance des religions entre elles avec tout ce que cela entraîne (guerres saintes, inquisition, sacrifices, non respect des autres) n'est pas, a priori, un sujet comique (attention, je n' affirme pas que celui ci n' est pas présent).
Et c'est avec une histoire qui commence banalement avec un novice d' Omnia ( une théocratie fort semblable au Judéo-Christianisme) au nom ridicule, Frangin qui rencontre une tortue qui s' avère être, tout bonnement, son Dieu, Om, que Pratchett va nous entraîner dans un long voyage critique de l' intolérance religieuse et cela, de façon magistrale.
Tout y passe, y compris ces fameux Dieux, qui semblent si puissants mais qui s' avèrent si dépendant des croyances Humaines : l'inquisition, toujours aussi terrible, les guerres saintes, les autodafés de livres (l'homme n' a pas besoin de savoir), les contrastes entre religieux, philosophes et militaires, a la fois si dissemblables et pourtant, parfois si proches.
Et, bien évidement, tuer les infidèles qui prétendent que la Terre est plate alors que, tout le monde sait bien que c'est un disque posé sur 4 éléphants, eux mêmes posés sur une tortue...
Ou comment retrouver Gallilé dans le Disque Monde.
Forcement, tout finira bien.
Mais avant cela, il en faudra des pérégrinations a Frangin et ses compagnons dans une histoire splendide, qui fait énormément réfléchir.
Une histoire ou les protagonistes principaux sont, pour la plupart, forts bien réussis ( a ce sujet, Vorbis est tout simplement culte!); une histoire qui nous permet de ne pas oublier que les religions, a travers les âges, on été responsables d' innombrables conflits, de destructions et de morts...
Surtout que l'on ne l'oublie jamais.
Et pourtant, elle se meut...
Cycle d'Ender (4) - Les enfants de l'esprit
katia le 15/10/2008 : attachant
Je viens de finir de lire les 4 livres composants "le cycle d'Ender" et les personnages vont me manquer. L'histoire est passionnante, les personnages attachants, le style de l'auteur est fluide, très agréable à lire ; bref que du bonheur. Un seul regret le mystère planant sur les descoladores..... j'adorerais lire une suite....
Car je suis légion
jipis le 15/10/2008 :
Bon roman historique, l'idée de mettre en scène des hommes de loi, dans l'antique babylone est tout simplement géniale. Je ne me suis cependant pas senti immergé dans l'antique cité babylonienne, car Mauméjean ne nous en livre que des aperçus, concentrant son histoire sur l'action en cours; un bon bouquin tout de même, mais pas de la fantasy
Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)
Je prends mon pied à lire cette saga. L'univers est riche et prenant.
Bref, faut que je m'achète la suite
Le rêve de fer de norman Spinrad n'est pas un livre que de SF. C'est une analyse en profondeur de la psychologie d'un personnage de l'histoire en démontant les rouages psychologiques d'un malade mental. Hitler est ce malade qui a su convaincre le monde de sa toute puissance, et son pays de le mener à sa tête.
L'intelligence de Spinrad est justement de décaler dans l'espace et dans son métier ce personnage pour ne pas faire croire à une hagiographie de ce personnage.
Et la conclusion est là justement pour expliciter ce propos.
Je pense que c'est un livre de méditation sur les hommes de pouvoir ou Hitler est le symbole extrême d'un fou qui prend les commandes d'un pays.
Aujourd'hui encore, nous pouvons lire ce livre pour decrypter nos propres hommes politiques. N'est ce pas le but de la SF que de pousser une réflexion vers notre présent.
L'histoire est originale et intriguante. L'athmosphère est noire et inquiétante. Le rythme soutenu dans le déroulement de l'action m'a bien plu. Cependant, par moment, l'histoire est un peu "tirée par les cheveux" et peu crédible. Bien sûr, il s'agit d'un roman "ancien" (1985)-C'est pas mal tout de même.
Ça fait un peu vieillot, les descriptions longues concernant les obstacles à franchir sont assez vite ennuyeux, mais la psychologie du personnage lors de son processus de rapetissement y est bien traité, et les flash-back aux différents stades de sa récession touchent juste à chaque fois.
Ce quatorzième tome des Annales du Disque monde voit le retour, pour notre plus grand plaisir des sorcières de Lancre. Souvenez vous, nous les avions laisser, a l'issue de " Mécomptes de Fées", revenir chez elles de façon détournée puisque celles ci avaient décidées de voir un peu du pays et de jouer les touristes.
L' histoire commence avec leur retour et un mariage est annoncé, celui tant attendu de Magrat avec le Roi Verence (ex-bouffon royal) et tout semble aller pour le mieux, ne serais ce quelques évènements plutôt singuliers qui vont vite mettre la puce a l' oreille a notre inimitable et irascible Mémé Ciredutemps.
Avant d'aller plus loin, je dois avouer que jusqu' a présent, les volumes ou apparaissent nos sorcières bien aimées sont des véritables réussites, pour les intrigues mais surtout grâce a leur caractère si différents qui les mettent régulièrement dans des situations hilarantes, en particulier entre elles.
Et " Nobliaux et Sorcières" et dans la même veine que ces prédécesseurs et tous ceux qui on aimer ceux ci, ne peuvent (ne doivent) que ce jeter le plus rapidement possible sur cette suite ou il n' y a pas grand chose a jeter.
Cette fois ci, Pratchett s'intéresse, enfin, aux Elfes.
Mais, comme il fallait s'y attendre, celui ci ne pouvait les utiliser de la même manière que le fond les milliers d'auteurs d' Heroic Fantasy, et c'est tant mieux!
Les Elfes sont beaux, graciles, minces, ont des oreilles pointues et sont "tellement" supérieurs aux humains? Oui, mais sur le Disque Monde, ce sont surtout des ORDURES!
Et rien que pour cette vision différente de ceux ci, " Nobliaux et Sorcières" mérite d'être lu.
C'est tellement rare que des auteurs osent sortir des Canons de Tolkien....
Mais si le duel entre nos sorcières (toujours égales a elles mêmes) et ces salauds d' Elfes occupe principalement la majeure partie du récit, celui ci ne serait pas aussi jouissif sans les innombrables seconds rôles qui le jalonnent ainsi que toutes les révélations que l'on y apprend.
Entre les différents occupants du château de Lancre, ceux du royaume, le rôle jouer par les forgerons, les danseurs de Moris, les jeunes sorcières prêtent a bousculer leurs aînées et les vieilles habitudes, la présence de quelques mages de l' Université de l' Invisible et celle de Casanabo, il y a vraiment de quoi faire et chacun a son rôle a jouer, le plus souvent comique d'ailleurs, quelque soit son importance dans le récit.
Mais, personnellement, c'est Ridculle qui pour moi emporte la palme de l' hilarité générale: entre la façon dont il traite ses subordonnés (pauvre économe) et sa passion amoureuse pour Mémé Ciredutemps, chacune de ses apparitions est un bonheur.
D'ailleurs, j'ai particulièrement apprécier cette "belle" histoire d'amour entre celle ci et l' Archichancelier (romantisme quand tu nous tient...), mais sans oublier une Magrat "Reine Guerrière", une Nounou Ogg égale a elle même, une flopée de personnages hilarants, une intrigue passionnante et des Elfes si différents des bonnes vieilles habitudes, c'est un ensemble de tout cela qui fait que "Nobliaux et Sorcières" est une parfaite réussite qui vous fera rire longtemps après avoir achever la dernière page...
Oh mon dieu!! Rien ne sert d'en parler il faut lire le cycle entier! Rien n'est meilleur que cette sensation d'y être plongé jusqu'au cou!! La meilleure de mes (très) nombreuses lectures!!!!
Après avoir lu ce cycle le reste de la SF vous paraitra bien fade!! Asimov a quasiment tué le genre avec ces livres. A lire et à relire quand le besoin se fait sentir!!
Décidément, ce qui est amusant avec les Annales du Disque Monde, c'est que c'est souvent les livres ou l'on attend pas grand chose qui s' avèrent les tout meilleurs. Si c'est avec impatience que l'on se plonge dans une nouvelle lecture des aventures des sorcières de Lancre ou du Guet, les tomes dits indépendants ne sont, incontestablement, pas attendus de la même manière.
On se dit: "Tient, un nouveau volume? Qu' est ce que cela va donner? Et au fait, il est long ou pas parce que le suivant, lui, y a Rincevent etc..."
Et comme souvent, on a tort.
Et c'est le cas avec ces Petits Dieux qui, personnellement, resteront longtemps dans ma mémoire.
Bon, d' emblée, je dois reconnaître que le sujet de ce treizième tome m' intéressait puisqu'il abordait la religion. Cependant, comme je viens de l' expliquer, le fait qu'il soit "indépendant" me faisait douter au départ. Sentiments contradictoires qui furent, au bout de quelques pages (et de quelques jours, j'ai eu un peu de mal a rentre dans l' histoire par manque de temps surtout)balayés par la sensation que je me trouvais devant une petite perle.
Cette fois ci, Terry Pratchett s'éloigne a des années lumières de l'humour burlesque a la Rincevent pour une autre variété bien plus subtile; moins présente de prime abord, mais qui ne servirait plus que comme toile de fond tandis que le but même de l'ouvrage, lui, était mis en avant de bout en bout.
Car " Les Petits Dieux" sont une oeuvre noire, bien plus sombre que les autres volumes des Annales, ce qui bouscule un peu nos habitudes, ce qui n' est pas plus mal.
Mais cela se comprend car le sujet traité, l'intolérance des religions entre elles avec tout ce que cela entraîne (guerres saintes, inquisition, sacrifices, non respect des autres) n'est pas, a priori, un sujet comique (attention, je n' affirme pas que celui ci n' est pas présent).
Et c'est avec une histoire qui commence banalement avec un novice d' Omnia ( une théocratie fort semblable au Judéo-Christianisme) au nom ridicule, Frangin qui rencontre une tortue qui s' avère être, tout bonnement, son Dieu, Om, que Pratchett va nous entraîner dans un long voyage critique de l' intolérance religieuse et cela, de façon magistrale.
Tout y passe, y compris ces fameux Dieux, qui semblent si puissants mais qui s' avèrent si dépendant des croyances Humaines : l'inquisition, toujours aussi terrible, les guerres saintes, les autodafés de livres (l'homme n' a pas besoin de savoir), les contrastes entre religieux, philosophes et militaires, a la fois si dissemblables et pourtant, parfois si proches.
Et, bien évidement, tuer les infidèles qui prétendent que la Terre est plate alors que, tout le monde sait bien que c'est un disque posé sur 4 éléphants, eux mêmes posés sur une tortue...
Ou comment retrouver Gallilé dans le Disque Monde.
Forcement, tout finira bien.
Mais avant cela, il en faudra des pérégrinations a Frangin et ses compagnons dans une histoire splendide, qui fait énormément réfléchir.
Une histoire ou les protagonistes principaux sont, pour la plupart, forts bien réussis ( a ce sujet, Vorbis est tout simplement culte!); une histoire qui nous permet de ne pas oublier que les religions, a travers les âges, on été responsables d' innombrables conflits, de destructions et de morts...
Surtout que l'on ne l'oublie jamais.
Et pourtant, elle se meut...
Je viens de finir de lire les 4 livres composants "le cycle d'Ender" et les personnages vont me manquer. L'histoire est passionnante, les personnages attachants, le style de l'auteur est fluide, très agréable à lire ; bref que du bonheur. Un seul regret le mystère planant sur les descoladores..... j'adorerais lire une suite....
Bon roman historique, l'idée de mettre en scène des hommes de loi, dans l'antique babylone est tout simplement géniale. Je ne me suis cependant pas senti immergé dans l'antique cité babylonienne, car Mauméjean ne nous en livre que des aperçus, concentrant son histoire sur l'action en cours; un bon bouquin tout de même, mais pas de la fantasy