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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


L'âge des étoiles
Incontournable Zoé le 19/11/2008 : Un incontournable

Ce titre de R. Heinlein est le premier que j'ai lu et il m'a complétement retourné. J'ai tout de suite apprécié la narration et l'histoire est vraiment prenante!!



Les clans de la lune alphane
Très bien PopolWul le 19/11/2008 :

Une histoire d’amour destructrice, dans la lignée de « En attendant l’année dernière », transposée ici sur une planète peuplée de malades mentaux et de végétaux extraterrestres télépathes. Un bel exemple de l’inventivité très particulière de Philip K. Dick.



Histoires extraordinaires
Bien david le 18/11/2008 : aucun

je cherche un cours résumé de ce livre est-ce que c possible de m'en trouver Merci d'avance



Harry Potter (1) - Harry Potter à l'école des sorciers
Incontournable  le 15/11/2008 : Open your eyes!

Beaucoup de personnes se permettent de critiquer la série de JK Rowling mais, j'ai eu la chance de découvrir le monde d'Harry Potter et de Poudlard avant l'effervescence qu'on en fait actuellement et je me souviens très bien de la façon dont ce livre m'a emportée. Il m'a ouvert les portes de la fantasy.Je trouve que Rowling arrive à concilier vie d'ados, découverte du monde (le bien et le mal) et tout cela dans un univers magique tout a fait exceptionnel. Il ne faut pas non plus uniquement se focaliser sur le premier tome de la saga mais sur la saga toute entière qui, au fil du temps, devient plus sombre. Cette série va marquer notre temps et non pas par le biais de films qui sont plus que décevants mais bien par ces livres qui offrent une bouffée d'oxygène dans un genre qui a parfois tendance à se répéter. Il ne faut pas juger cette oeuvre par le marketing que l'on faut autour mais bien pcq elle est à la base : un livre de fantasy au concept novateur et tout à fait orginal.



Cycle d'Alvin le Faiseur (4) - Le compagnon
Très bien elfifi le 13/11/2008 : A quand la suite en Français ?

Pourquoi la suite n'a t'elle toujours pas été traduite en Français ? cette serie est captivante et unique



Cycle de Fondation (5) - Terre et Fondation
Moyen humhum le 11/11/2008 : Sinistre Fin

Difficile de faire plus sinistre et pessimiste que cette fin. Asimov jeune n'aurait jamais finit le cycle de
Fondation de cette manière. Mais il était vieux et malade du sida, ceci explique cela. Ca m'a gâché le plaisir des précédents. Exit la Fondation, exit l'humanité. Tout est dirigé par un robot psychopathe qui vit sous la lune dans un décor charmant.
Ce que j'espère: Trevize va changer d'idée, il va alerter la Fondation qui va atomiser la lune et le taré qui y habite. Il fait un petit arrêt sur Gaïa pour prévenir les gentils hippies qu'il a changé d'idée, qu'ils ont un nouveau gourou et qu'ils sont maintenant alliés de la Fondation. Quant à la planète de malades mentaux qui se font appeler les solariens, la deuxième Fondation se réunit actuellement pour décider de leur sort.
Et les extra terrestres ?? On va les exploser ! (S'ils existent et si ils sont méchants)
Quant à la Terre avec les moyens techniques du moment on pourrait peut être la déradioactiver. Je suis sur qu'en cherchant bien on y retrouverait quelques archives. Imaginez la tête de Golan Trevize en train de mater un Jess Franco avec Mitza Lizalor.



En attendant l'année dernière
Très bien PopolWul le 06/11/2008 :

Dans la lignée de « Simulacres », mais en encore plus complexe avec sa profusion d’univers parallèles, « En attendant l’année dernière » est une véritable réussite. Kathy Sweetscent, une épouse mourante et délaissée, est l’un des personnages les plus déchirants de l’œuvre dickienne.



Les chroniques de Thomas Covenant (1) - La malédiction du Rogue
Bien  le 03/11/2008 :

Bien, je viens de terminer le premier tôme réédité des aventures de thomas l'incrédule.
Cette quête met en avant ce qu'on pourrait qualifier d'anti-héros : un lèpreux, qui en plus a une vision super négative de lui-même . C'est original, surtout si on replace cette oeuvre dans le contexte de l'époque où il a été écrt : en 1977. Le rythme s'essoufle légèrement vers le troisième tiers du bouquin. Ceci dit, je ne puis comparerer ce récit avec le seigneur des anneaux de tolkien qui est une oeuvre beauoup plus achevée.



Ce qui mordait le ciel
Bien black le 31/10/2008 : Bien

Serge Brussolo livre avec Ce qui mordait le ciel, un bouquin atypique, entre deux eaux. L'auteur nous fait profiter de son imagination originale en se permettant à peu près toutes les fantaisies, aussi rocambolesques les unes que les autres (mais après tout on parle de science-fiction), dans une histoire somme toute banale, qui fait de ce bouquin un passe temps très sympathique mais pas inoubliable.

Quoique l'univers créé par Serge Brussolo, bien que tiré par les cheveux, arrive à marquer par son absurdité. Le livre se présente comme une visite à travers les différentes communautés qui composent la planète Sumar, communautés qui ont été obligées de s'adapter face à la multiplication des sépultures de cristal nées sur les dépouilles des thomocks, et qui commencent à recouvrir la surface de la planète. On a ainsi des communautés aux croyances toutes aussi différentes les uns que les autres et qui s'adaptent en conséquence, à l'image des immobilistes, qui restent attachés à leur terre coûte que coûte, même si une montagne s'est élevée sous leur village, ou des canoniers et des telluriques qui souhaitent détruire les masses de cristal. Découvrir chacune des communautés avec leurs rites, leurs personnages et leurs singularités est le plaisir principal du livre et on va de surprises en surprises, souvent cruelles, car le monde dépeint est plutôt désespéré (et le style de Brussolo peut se révéler cru), mais non dénué d'humour et de vie. Au fond, ce livre pose la question de l'attachement à la terre et brosse la réaction de personnes en proie au changement le plus brutal et inattendu.

Au final Ce qui mordait le ciel se lit un peu comme une BD, avec un rythme enlevé, des images qui frappent, des scènes qui se succèdent avec des personnages qui passent en courant d'air... L'originalité échevelée du récit le sauve du tout venant, voire par moment du ridicule. Ce qui fait que dans l'ensemble on passe un bon moment (puis le bouquin est court), l'essentiel est là.



Simulacres
Très bien  le 28/10/2008 :

Un roman politique complexe à plusieurs protagonistes où Philip K. Dick dénonce, avec une virulente ironie, l’illusion démocratique des sociétés modernes.





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