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Cycle du non A (1) - Le monde des non A
( The world of Null A )

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Quatrième de couverture : |
Le matin même, Gilbert Gosseyn avait quiué Cress-Village, en Floride, pour se rendre dans la capitale et tenter sa chance auprès de la Machine des Jeux.
A l’hôtel, il reconnaît un voisin et le salue. Ce simple geste fait basculer son univers quotidien dans une sorte de cauchemar. Ainsi, il apprend qu’il n’existe aucun Gilbert Gosseyn dans son petit village de Floride, et que sa femme Patricia, décédée un mois plus tôt, n’est pas morte et, qui plus est, n’a jamais été mariée !
Alors Gosseyn entreprend la plus fantastique quête qu’un homme puisse faire, celle de sa propre identité. |
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Note moyenne donnée par les internautes : ( 4 votes )
Django31000 le 23/03/2018 > Mendes croit être cultivé. |
Ce que n'a pas compris mendes c'est qu'il ne s'agit pas de culture dans ce livre mais d'un bel écran de fumée. Mr Vogt s'est servi de ses écrits pour plonger pendant quelques années dans les bras ouverts de la scientologie naissante avec l'aide de ron hubbard et de campbell. Vogt s'est mis à croire à ses délires du cycle du A et ses deux mauvais comparses l'ont entraîne à leur suite. S'en suit une longue période sans écrire quoique ce soit. Au mieux l'auteur reprenait-il ses nouvelles pour en faire des romans insipides. Donc les théories du A ne sont qu'inventions ayant l'apparence du vrai (et en ce sens le livre est une réussite). Mais encore fallait il être cultivé pour s'en rendre compte. Le fait d'insulter les internautes est une preuve de plus de la bêtise crasse de certains commentateurs.Encore un partisan de la terre plate... |
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Mendes le 29/12/2017 > Django est un inculte |
les trois tommes sont une merveille
évidement il faut posséder une grande culture pour assimiler le monde des non A |
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Django31000 le 13/06/2016 > Moooon dieu.... |
Quelle ineptie que ce livre : personnage inconsistant, trame scénaristique catastrophique, pas d'unité de lieu et de temps, pas d'enjeu, pseudo philosophie indigeste. Absence de lien entre les chapitres et parfois même entre les paragraphe. C'est vieux, dépassé et catastrophique. Comment boris vian a-t-il pu s'interresser à cette croûte infame? |
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anonyme le 16/05/2004 > |
Le récit est tendu avec un câble de la page 1 jusqu'à la fin. Solide, rapide, sans déchet, dans un univers sobrement machiavélique et strictement masculin où les sentiments des personnages ne brillent pas par leur chaleur. Un très bon livre toutefois, qui date avec charme, intelligent dans sa froideur, et qui développe un univers cohérent avec du fond et quelques idées à creuser, pour soi. |
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