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Cycle Mytale (2) - L'Histrion
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Quatrième de couverture : |
"Tous ceux qui le connaissent évoquaient Genesis comme un ordinateur doué d'une conscience intelligente, mais les Taj Ramanes savaient que rien n'était plus inexact. (...) Genesis n'était pas une machine et encore moins un outil informatique, Genesis était vivant, c'était l'organisme le plus complexe de la galaxie."
Dans cette galaxie grouillante d'États et de communautés aux intérêts si divergents, Genesis, la créature-monde, essaie de fédérer l'humanité sous la bannière du Daym. Pour seul outil, il dispose de l'Histrion, dont l'unique fonction est de jouer les trouble-fête. Et pour Histrion, il a choisi un/une sexomorphe, individualiste farouche, qui d´teste le pouvoir et n'a pas été consulté(e) sur ce rôle qu'on veut lui voir tenir… |
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| Annotations diverses : |
Hommage à Herbert en général et à Dune en particulier, l'Histrion et Sexomorphoses sont les 2 premiers tomes d'un grand cycle qui devrait en contenir sept.
Dans un univers où les groupes sociaux sont exacerbés, Aimlin(e) le sexomorphe, se débat au milieu des luttes du Daym. Car l'enjeu est l'avenir de l'Homme, chacun désirant imposer ses carcans, ses modes de pensée. Société matriarcale, empire totalitaire, démocratie illusoire et androïdes échappant à toute compréhension, l'univers d'Ayerdhal paraît sans fin et c'est tant mieux. Alors, suivez le voyage de cet indécrottable humaniste...
aelhomin. |
Ce roman est bourré de clins d'œil et de références de toutes sortes à l'histoire de la science-fiction. De la préface dédiée à Frank Herbert à la phrase classique d'Isaac Asimov "La violence est le dernier refuge de l'incompétence" en passant par le mandataire Confed appelé Pohl Kornbluth, Ayerdhal mixe de nombreux thèmes classiques de la SF : l'Empire, l'hyperespace, l'ansible...
Ainsi la confrontation Scientes/Taj Ramanes n'est pas sans rappeler le dualisme Science Transcendentale/Femmocrates de La grande guerre des bleus et des roses de Norman Spinrad.
La description d'un space opera (trop ?) complet en un volume est une tâche ardue, et le projet d'Ayerdhal est ambitieux. Du coup le temps passé à la compréhension des mécanismes politiques à l'œuvre dans l'univers décrit est autant de temps en moins passé à apprécier l'intrigue, qui est fort peu prenante, le projet d'une galaxie unie, fédérée et ayant subi une complète uniformisation culturelle peinant à nous enthousiasmer. Il aurait été intéressant qu'Ayerdhal joue lui aussi le rôle de trublion qu'il voulait faire endosser à son héros pour relever un peu ce roman un peu fade.
src:http://perso.club-internet.fr/branchum/histrion.htm |
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Note moyenne donnée par les internautes : ( 1 vote )
Sébastien le 15/01/2009 > peu mieux faire |
un space opéra plaisant, mais sans grande originalité, la fin n'est pas terrible. |
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