RECHERCHE PAR TITRE

Un défilé de robots

Illustration : illustrateur MEILLEUR LIVRE DE SCIENCE-FICTION Position actuelle : 54 Voter pour ce livre Nombre de votes : 665

Auteur : Isaac ASIMOV Année de création :  1964 Sous-genre :  Hard Science Edition : 1974 J'ai lu ( n° 542 )   Quatrième de couverture : Dans "Les robots", nous avons fait la connaissance du Dr Susan Calvin, robopsychologue de l'United States Robots, Inc. Nous la retrouvons ici dans une nouvelle série de récits consacrés aux robots positroniques, c'est-à-dire garantis inoffensifs et dévoués à l'homme. Mais un robot prévu pour l'environnement lunaire ne peut-il être dangereux sur Terre en raison de sa programmation même ? Un autre ne peut-il nuire aux humains en croyant les protéger ? Est-il concevable de risquer la vie d'un homme pour sauver l'existence d'un robot prototype, d'un fabuleux prix de revient ? C'est à de tels problèmes que Susan Calvin va être confrontée, mais surtout à la terreur innée que suscitent les robots chez l'homme de la rue, qui voit toujours en eux la monstrueuse création du Dr Frankenstein.

Annotations diverses :

Ce recueil de nouvelles se compose des textes suivants : Préface de l'auteur Le robot AL-76 perd la boussole (Robot AL-76 goes astray) Victoire par inadvertance (Victory unintentional) Première Loi (First law) Assemblons nous (Let's get together) Satisfaction garantie (Satisfaction guaranteed) Risque (Risk) Lenny (Lenny) Le correcteur (Galley slave)

Huit nouvelles de plus sur les robots; Un défilé de robots reprend le principe de Les Robots. On retrouvera même le docteur Susan Calvin dans les dernières nouvelles du recueil. Attention cependant, le recueil ne précède ni ne suit chronologiquement (dans l'histoire de l'humanité) le recueil précédent. Il peut être donc lu soit indépendamment, soit en complément du premier. Etant donné la qualité de Les Robots, on est forcément un peu déçu à la fin du bouquin. En effet, on ne retrouve ni les trois fameuses lois de la robotique (ou alors de très loin), ni aucune unité dans le recueil; les nouvelles se suivent sans s'enchaîner et c'est vraiment dommage. Il est vrai que ce sentiment est dû également au fait que l'attrait de la nouvauté a disparu. Cependant, l'ouvrage possède des qualités indéniables : le style est toujours sublime et certaines nouvelles valent le détour (celles ou les "sentiments" des robots sont abordés). A lire après Les robots pour en tirer le meilleur.