En Jahnaïc, on chante le reggae, on joue au futchibol, et on fume la ganja. Parfois aussi, on assassine un ministre ou on fait sauter un commissariat. Tout ça est cependant un peu réducteur. C’est ce que pressent Elya Nahm, sans comprendre quelles raisons poussent l’agence Ender à s’intéresser à cette jeune république sans histoires. Encore qu'il paraisse normal que l'assureur des constitutions de mille mondes envisage de garantir la démocratie jahnaïcaine : après tout, c'est sa vocation. Mais quels buts poursuivent alors ceux qui s'obstinent à lui mettre des bâtons dans les roues ? |