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Les Univers multiples (1) - Temps

Illustration : illustrateur MEILLEUR LIVRE DE SCIENCE-FICTION Position actuelle : 608 Voter pour ce livre Nombre de votes : 52

Auteur : Stephen BAXTER Année de création :  1999 Sous-genre :  Hard Science Edition : 2010 Pocket ( n° 5958 )   Quatrième de couverture : Reid Malenfant a été renvoyé de la NASA. Il est aujourd'hui un homme d'affaires très fortuné mais sa passion pour la conquête spatiale ne s'est jamais tarie. Il est bien décidé à convaincre le monde de l'intérêt économique et scientifique de l'exploration de notre système. Sa rencontre avec Cornelius Taine, mathématicien de génie, sera décisive. Selon Taine, l'humanité devrait s'éteindre précisément dans deux cents ans. Mais un espoir subsiste : un message a été capté sur un astéroïde proche. Il n'en faut pas plus à Reid pour monter une expédition. Commence une extraordinaire aventure humaine et scientifique dont les conséquences sur Terre sont immédiates, et pour le moins mystérieuses...

Annotations diverses :

Premier tome de la trilogie des "Univers multiples" de Stephen Baxter, l'un des plus grands auteurs de SF d'aujourd'hui.

« On sort grandi (et presque rajeuni) de ce premier tome des Univers multiples. L'inspiration de Baxter est géniale. Et si elle lui était venue du futur ? » ActuSF

Note moyenne donnée par les internautes :  ( 1 vote )

Vince  le 05/04/2011 > Time opera avec des calmars

Malenfant est un héros américain moderne : un ex de la NASA qui crée sa riche société de ses mains, et qui décide de partir dans l'espace, parce que monsieur a décidé que le futur de l'humanité se ferait dans les étoiles. Alors voilà, au début du livre, on est un peu agacé par ces personnages typiquement américain et le style assez banal. Seulement voilà, Baxter a une histoire a raconter. Et elle est passionnante ! On voyage dans l'espace, dans le temps, dans des univers différents, dans des vaisseaux, dans des portails, avec des enfants surdoués venus du futur, un mathématicien obsédé par la fin du monde, ou des personnages complètement largués, voir même des calmars très intelligents. Alors des fois on se dit que c'est un peu n’importe quoi et que ça tient pas debout, mais peu importe, ça scotche. Une bien belle histoire.