En quelques heures, le super-ouragan s'abattit sur le monde.
Sous le vent du désastre, qui soufflait à des centaines de kilomètres à l'heure, les villes ne furent bientôt plus que des amas de débris et les survivants de l'humanité tentèrent alors de se réfugier dans les tunnels, sous les montagnes, dans les égouts.
Et là, une fois encore, ils recommencèrent la lutte pour la survie…
Annotations diverses :
Le Vent de Nulle Part est le deuxième volet de la tétralogie apocalyptique écrite par Ballard dans les années soixante, proposant une vision de la destruction du monde par l'eau "le monde englouti", le vent "Le vent de nulle part", la chaleur "Sécheresse" et la cristallisation "La forêt de cristal".
C'est un bon roman, pas le plus important de Ballard, ni le plus beau mais un livre qui compte et qui enrichit la noire palette des fins de monde, l'un des thèmes favoris de la Science-Fiction.
Eric Sanvoisin dans Fiction 384 (1987)
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