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Les annales du Disque-Monde (16) - Accros du Roc
Bien  le 11/01/2009 : Ah le rock!

Comme cela m’était arrivé avec « Les Zinzins d’Olive d’Oued » et « Les Petits Dieux », voir « Pyramides », une fois de plus, un volume des Annales du Disque Monde qui m’inspirait quelques craintes et dont je n’attendais pas grand-chose, s’est avéré une fort agréable surprise. Sans atteindre le niveau des titres précités, « Accrocs du Roc », seizième tome de la saga, n’en est pas moins prenant et réussi. Pourtant, homme de peu de foi que je suis, je me demandais comment Terry Pratchett allait marier l’univers burlesque qu’il à su créer au rock’n’roll (Oui, vous avez bien entendu, le rock débarque dans le Disque Monde), ce qui, il faut bien le reconnaître, n’était pas chose aisée. Or, une fois de plus, la réussite est au rendez vous.

Avec « Accrocs du Roc », nous retrouvons comme personnage principal La MORT, qui connaît une fois de plus, l’une de ses fameuses crises existentielles qui en font tout son charme, mais également, Suzanne, sa petite fille (bref, la fille de Mortimer), qui fait là sa toute première apparition et qui se voit, bien malgré elle, contrainte de prendre du coup la succession de son grand père, de qui elle tient beaucoup (ne me demandez pas comment est ce possible, c’est un fait). Bien évidement, cela ne va pas se passer aussi simplement et la jeune fille, ne supportant pas l’apparente injustice du poste, ne compte pas l’entendre de cette façon et compte bien agir comme bon lui semble, surtout après fait la rencontre d’un étrange jeune musicien assez envoûtant, un certain « Buddy ». Car celui-ci et son groupe, composé d’un nain et d’un troll, sont en train de révolutionnés Ankh-Morpork avec une toute nouvelle musique, le roc. Et c’est là que pour apprécier convenablement au mieux cet ouvrage, une bonne connaissance musicale est primordiale, sinon, le lecteur passera largement a coté de tout ce qui en fait la saveur, tant les clins d’oeil de Pratchett au véritable rock’n’roll sont légions. Certes, ne pas connaître l’histoire du rock n’empêche pas d’apprécier ce livre, mais du coup, énormément de choses ne seront pas comprises, comme les multiples références a de très nombreux groupes, chansons et autres comportements du public, tout bonnement hilarants et qui parsèment l’ouvrage. Franchement, je dois l’avouer, étant moi-même un très grand amateur des années 60/70, j’ai pris mon pied à la lecture d’ « Accrocs du Roc », et je n’ai pu que m’incliner une fois de plus devant l’immense talent de l’auteur britannique qui a su marier avec mæstria deux genres aux antipodes l’un de l’autre : le rock et l’Heroic Fantasy. Non seulement, l’intrigue est intéressante et prenante, mais, l’ajout de nombreux rôles secondaires fait pour beaucoup dans l’intérêt final de l’œuvre, en particulier grâce aux mages de l’Université de l’Invisible, de nouveaux présents, véritables éléments comiques du livre, mais, a y regarder de plus prêt, peut être même de la saga en générale, tant, chacune de leur apparition, au fil des tomes, signifie que l’on va passer de très bon moments. Et si ce sont surtout eux qui nous font rire (après tout, ce n’est pas vraiment le cas avec une Suzanne qui se pose bien trop de questions et un Buddy ensorcelé par sa guitare), d’autres personnages comme PJMTLG (toujours la lorsqu’il y a de l’argent a se faire), la MORT (forcement), voir le Patricien, tiennent un rôle tout autant important et comique, chacun a sa façon. Alors, tout n’est pas parfait, certes, comme le sort des parents de Suzanne, a peine abordé, et la fin qui aurait mérité d’être un peu plus devellopée, mais c’est un bon volume des Annales que nous avons là, et c’est ce qui compte.

« Accrocs du Roc », malgré ses qualités, pourrait neamoins être réservé à ceux qui possèdent une certaine culture musicale, comme je l’avais écrit précédemment. Je ne peux m’empêcher de me poser la question car si, tout de même, les éléments comiques sont légions (merci les mages, surtout le Doyen), les références qui pour moi paraissaient évidentes et me faisaient plaisir, pourraient paraître insignifiantes aux yeux du profane. D’où mon petit bémol interrogatif. Cependant, reste une intrigue suffisamment bien maîtrisée, qui saura transporter le lecteur dans un océan de plaisir musical et comique, dont il gardera longtemps le souvenir.



Les annales du Disque-Monde (17) - Les tribulation d'un mage en Aurient
Très bien  le 11/01/2009 : Le grand Maje

Le dix septième tome des Annales du Disque Monde voit le grand retour du mage le plus incompétent de l’univers, Rincevent, que l’on avait perdu de vu depuis un bail, où plutôt depuis le déjà lointain « Eric ». Curieusement, si celui-ci m’avait mauser lors de la lecture des premiers tomes, je dois avouer qu’il ne me manquait pas tant que ça, après tout, entre les aventures du Guet, de la MORT et des Sorcières de Lancre, plus la mise en avant des mages de l’Université de l’Invisible, l’homme qui portait un chapeau où était écrit « Maje » finissait par apparaître légèrement terne. Forcement, ce fut donc avec une certaine perplexité que je me lançai dans la lecture de ses nouvelles tribulations.

Perplexité vite oubliée car ce tome est un véritable petit bijou. Déjà le titre, hommage non dissimulé aux « Tribulations d’un Chinois en Chine » de Jules Verne. Et, le lieu de l’action : la Chine, où plutôt ce qui fait lieu de l’Empire du Milieu sur le Disque Monde, le fameux continent Contrepoids d’où était originaire Deux Fleurs, le touriste optimiste des deux premiers volumes de la saga. L’histoire, hilarante de bout en bout débute suite à un message parvenu à Ankh-Morpork ; le Patricien demande à l’Archichancelier de l’Université de l’Invisible d’envoyer le mystérieux « grand maje » en Aurient. Un peu perplexe, Riddcule envoie ce pauvre Rincevent, porté disparu depuis des années et qui n’en demandais pas tant. C’est le début de l’aventure, ou des ennuis (selon que l’on soit Rincevent ou pas ?) pour notre mage incompétent qui retrouve sur place le plus grand héros du Disque, le légendaire Cohen le Barbare, accompagné cette fois ci de la Horde d’Argent, ses compagnons de fortunes, tous au moins aussi âgés que lui, qui s’apprêtent à fondre sur l’Empire Agattéen pour ce qui pourrait bien être leur plus grand coup de leur carrière.

Et c’est dans un Empire, qui restitue parfaitement plusieurs périodes de l’Histoire de la Chine (Empire, Communiste), où se mêlent intrigues, complots, meurtres et révolutions que Rincevent et Cohen vont devoir jouer serrer s’ils veulent s’en sortir, surtout que leur adversaire, le sombre et machiavélique Seigneur Hong, est une espèce de Patricien local qui à des visés de conquêtes mondiales, pas moins que ça. Mais si l’on rie souvent, au cours des pages et des diverses péripéties de nos héros, la grande force de Terry Pratchett, dans cet ouvrage, est d’avoir su retranscrire avec une rare justesse la façon de vivre et de pensé d’un peuple (forcement le Chinois), trop longtemps habitué à vivre sous des traditions millénaires et à l’obéissance devant l’autorité, ce qui à pu bloqué, à un moment donné de son histoire, son évolution, alors qu’il avait tout pour lui. De même, la révolution communiste n’est pas oubliée, et à divers moments de l’intrigue, on croirait presque entendre des slogans de la Révolution Culturelle.

Œuvre très amusante, où les fous rires sont nombreux, « Les tribulations d’un mage en Aurient » est bien plus profond qu’il n’y parait de prime abord. De même, Rincevent, qui apparaissait lassant sur le long terme (un lâche, ça marche cinq minutes, mais pas évidant de se renouveler) en sort grandi de même que l’intérêt pour ce personnage, certes sympathique et attachant, mais plutôt pathétique si l’on est objectif. Un très bon Pratchett, sans contestation possible.



La planète des singes
Moyen  le 31/12/2008 : remercié

moi je vx dire seulement que la planette du singes c'est une merveille romao que j'ai lu



L'anneau de Ritornel
Très bien sethup52 le 30/12/2008 :

-franchement pas mauvais
-tres bon divertissement malgre sa date de creation(faut tenir au-dela du 1/3...)
-intrigues de palais(politiques...mysteres et surtout fiction)
-romanesque et pas trop Hard Sience donc Space Opera assez representatif de la SF sixties.



Cycle de Fondation (2) - Fondation et Empire
Incontournable eddie le 27/12/2008 : Trop bon

Captivant d'un bout à l'autre, un univers richement construit, une"mule" énigmatique à souhait, des personnages dépassé par l'enjeu galactique, Asimov crée ici une mythologie à part entière dans laquelle on plonge avec délectation.



L'heure du loup
Incontournable Andrea le 27/12/2008 : Génial

Tout à fait daccord avec toi. J ai vraiment ete tenue en haleine du début à la fin du livre... Difficile d'ailleur de le lacher, histoire passionante sous fond d'espionage durant la guerre. Ont passe des champs de batailles aux foret russes... A lire !!



Le zappeur du monde
Bien PopolWul le 22/12/2008 :

Sur le thème de la Guerre Froide et de la course aux armements, Philip K. Dick compose une histoire complexe qui souffre d’une première partie très difficile à suivre en raison de ses néologismes à répétition. En revanche, l’intensité de la rencontre entre Lars et Lilo sauve in extremis le roman de l’hermétisme.



Un défilé de robots
Très bien eddie le 18/12/2008 : Même commentaire que plus haut

C'est un ton en dessous mais cela reste du très bon.



Les annales du Disque-Monde (15) - Le guet des orfèvres
Très bien  le 16/12/2008 : Un certain fousi

Le quinzième tome des Annales du Disque Monde voit le retour, pour notre plus grand plaisir, du Guet municipal d'Ankh-Morpork. Nous avions laissé le capitaine Vimaire et ses agents, à l’issu de « Au Guet ! », alors qu’ils avaient réussis à débarrasser la plus grande citée du disque de la menace d’une organisation secrète et d’un dragon. Mais après tant d’exploits, nos agents municipaux du guet de nuit pouvaient ils retourner à la routine quotidienne ? Pas aussi simple que cela, comme il fallait s’y attendre. L’histoire débute peu de temps avant que Samuel Vimaire ne quitte son poste afin d’épousée sa bien aimée, Dame Sybil Ramkin, ce qui ne semble pas l’enchanter outre mesure. En effet, celui-ci à énormément de mal à se faire à l’idée qu’il ne doive plus travailler, et, de plus, son guet tant aimé, accueille de nouvelles recrues issues des minorités visibles de la ville : un nain, un troll et une femme ( !). Mais comme les ordres du Patricien ne se discutent pas, les agents « historiques » du Guet doivent faire bon gré mal gré, sauf, comme il fallait s’y attendre, le caporal Carotte (oui, il à été promu entre-temps), toujours aussi enthousiaste. Cependant, des meurtres étranges commencent à avoir lieu, apparemment sans lien au début, mais quelques indices vont rapidement mettre la puce à l’oreille du futur ex capitaine Vimaire et de ses hommes, qui soupçonnent la Guilde des Assassins, de détenir une arme terrifiante : le mystérieux Fousi….

Si, par manque de temps, la lecture de ce « Guet des Orfèvres » fut bien plus longue que d’habitude, ce qui nuit légèrement à l’intrigue, je dois tout de même reconnaître que nous tenons là, une fois de plus, un excellent volume du Disque. Dommage que je n’ai pu le lire d’une traite, comme j’en ai l’habitude, je l’aurais davantage apprécié, mais ce n’est pas une raison pour ne pas le reconnaître à sa juste valeur. Car une chose est certaine, cette deuxième apparition de Vimaire et de ses hommes est tout aussi bonne que la précédente. Terry Pratchett, dans ses œuvres, à l’habitude de dénoncer énormément des travers de notre monde réel, le tout sous couvert d’humour et de personnages loufoques. Et s’est là la preuve de son incommensurable talent : faire rire le lecteur avec des sujets graves. Et ce quinzième tome des Annales n’en manque pas, en commencant par le racisme. Forcement, ici, ce n’est pas de la couleur de peau ou d’origines qu’il est question, mais d’espèces : Humains, Nains, Trolls. Auxquels j’ajoutent les femmes, minorité parmi les minorités dans ce monde fantastique où elles n’ont le choix qu’entre deux professions : épouses ou « couturières » (je vous laisse deviner ce qui se cache sous cette appellation…). Et si, tout au long de l’intrigue, la question du rapport à l’autre est régulièrement mis en avant, avec les éternels préjugés d’abord, l’acceptation de la différance ensuite, d’autres thèmes n’en sont pas en reste, en particulier celui des habitudes d’une communauté, représenté ici par les fameuses guildes, ainsi que la façon d’on ses membres voient et son jugés par le monde extérieur. Et si, il ne faut pas perdre de vu que le principal intérêt de ce « Guet des Orfèvres » est de passer un agréable moment avec une enquête passionnante riche en rebondissements, les thèmes abordés sont si bien présentés et sont tellement imbriqués dans l’histoire, que ceux-ci viennent l’enrichir, incontestablement. Surtout que les sujets présentés plus haut ne sont pas les seuls : opposition entre riches et pauvres pour Vimaire, sentiment de puissance absolue pour le porteur du Fousi et amour à priori impossible entre Carotte et Angua. Alors, c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on se plonge, une fois de plus dans les rues d'Ankh-Morpork, sur les traces du mystérieux meurtrier avec un Guet qui ne ressemble plus vraiment à ce qu’il fut, mené de main de maître par un Carotte royal.

Ce quinzième tome des Annales du Disque Monde ne vous décevra pas, vous avez ma parole. A la fois sérieux et intense, il garde néanmoins l’humour habituel de la série, et ce, malgré des événements dramatiques, car le Guet n’en sortira pas indème, et plus rien ne sera comme avant à l’issu de cette histoire. Un très bon Pratchett qui réussi encore à nous étonner et qui évite de sombrer dans la routine.



Poussière de lune
Très bien Jean-Luc BERNARD le 16/12/2008 : Ca commence tranquillement...

...40 ans en arrière, puis fait monter graduellement le suspense en mêlant habilement une enquête scientifique et un roman catastrophe, avec en prime une trame très bien documentée sur la conquête spatiale.

Un mode opératoire qui n'est pas sans rappeler "Les vaisseaux du temps" : une histoire qui développe petit à petit un sujet jusqu'à le pousser dans ses ultimes retranchements.

Difficile de lâcher ce livre avant la fin !





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