Pour moi le meilleur de la sf/space opera est dans les guerriers du silence.
Tout y est, les personnages attachants et aux personnalités travaillées, une intrigue époustouflante qui nous tient du début à la fin, des mondes inimaginables et j'en passe et des meilleures.
Je n'ai qu'un seul regret, l'avoir fini.
Griots célestes (1) - Qui-vient-du-bruit
le 15/03/2009 : Bordage toujours!!
C'est le dernier de Pierre Bordage que j'ai lu (enfin en vrai le deuxième tome), enfin que dire de plus à part que cet auteur se place par mis les plus grands,
On ne peut pas être déçu par un livre de Pierre bordage.
A lire, comme ses autres romans d'ailleurs.
La Nouvelle-Crobuzon (2) - Les scarifiés
Zagrel le 15/03/2009 : En effet...
Je lis à plusieurs endroits sur la toile que l'esprit de China Mieville donne naissance à un monde original et hors du commun,
Je dois avouer qu'ayant à peine terminé les scarifié je n'ai qu'un seul regret, ne pas avoir découvert cet auteur plus tôt! Je vais donc m rattraper et me lancer illico presto dans ses autres romans!
Le procédé Orphée
t-van le 13/03/2009 :
A la fois malsain et gore. un très bon livre pour un public averti.
Mais que devient cet auteur?
La faune de l'espace
sethup52 le 07/03/2009 : bofffffffffffffffffffffffffffff
OK... en accord avec l'Annotations Diverses...mais histoire pas assez prenante.
Le long labeur du temps
sethup52 le 07/03/2009 : texte memorable de la SF
Une drogue -la chronodrine- un accelerateur de reaction, permettant a un guide-interprete de ce mettre en phase pour communiquer avec une race extra=terrestre...super!! - " Ses yeux presentaient un eclat anormal...elle avait des mouvements vifs et saccades, avec des phases de fixite, comme les tressautements de tete d'un oiseau "
Aussi, un complot, une intrigue se deroulant sur terre, une planete-colonie cherchant a obtenir son independance face a sa planete-mere, et au finale une vision interessante de l'evolution.
Ecrit dans un style terriblement efficace, sans pretention, a la premiere personne, j'ai devore ce roman en quelques jours...A lire en Express
Cycle de Dune (3) - Les enfants du Dune
eddie le 07/03/2009 : Ca s'essoufle
J'ai eu du mal par moment à rester accrocher à l'histoire, celle ci en volume est 3 fois plus long que le tome précédent. Un peu trop descriptif, de dialogue sans attrait.
Dommage, car la magie de dune opère toujours, notamment dans le dernier tiers du récit.
Cycle de Dune (2) - Le messie de Dune
eddie le 07/03/2009 : Toujours aussi bon
Si l'histoire met un peu plus de temps à s'installer, c'est pour mieux nous captiver par la suite et cela jusqu'à la fin.
Dommage cette histoire est vraiment courte par rapport aux tomes précédents
Les Chronolithes
le 02/03/2009 : bof, bof, bof
Décidément, au bout de deux livres, je pense que j’ai cerné le principal défaut, à mes yeux, de Robert Charles Wilson : celui-ci à de superbes bonnes idées, la dessus, il n’y a rien à redire, par contre, et c’est là que la bat blesse, il n’arrive pas à les développer comme elles le mériteraient. Le résultat, du coup, est soit catastrophique, soit décevant. Et si cette fois, nous n’avons pas droit (heureusement !) à une fin digne du pathétique « Darwinia », on ne peut pas dire que « Les Chronolithes » soient une grande réussite, car, malheureusement, le résultat final est encore loin de nos espérances. Pourtant, je dois reconnaître que le postulat de base était enchanteur et qu’il possédait un potentiel plutôt accrocheur : des monuments, issus de l’avenir, apparaissaient mystérieusement en de multiples contrées du globe, annonçant un futur conquérant, Kuin, apparemment invincible. Il y a quelques mois, en lisant le résumé de la couverture, je n’hésitait pas une seconde à me procurer cet ouvrage tant il promettait. Or, mais vous l’avez compris, la déception n’en fut que plus rude.
D’un certain coté, « Les Chronolithes » doivent beaucoup à « Darwinia » : celui-ci avait été un tel navet (et pourtant, cela me coûte de l’écrire tant il promettait), que, du coup, je me lança dans cet autre ouvrage de Robert Charles Wilson avec la plus grande méfiance. Et avec raison, car, après un bon début (l’apparition du premier Chronolithe) qui laissait encore présager de bonnes choses, même s’il n’était pas franchement original, au bout de quelques pages, on comprend rapidement que, plutôt que d’avoir à faire à un excellant roman de SF ou une poignée de personnes vont essayer par tous les moyens d’empêcher l’inéductable arrivée de leur futur conquérant, on aura droit aux problèmes conjugaux et paternels d’un héros maussade, à sa recherche de sa fille devenue ado et disparue après être partie en vadrouille au Mexique (la partie la plus pénible du livre), et, à une fin ultra prévisible ou, celui-ci et ses compagnons ont à faire à (bâillement) quelques jeunes terroristes d’une milice pro-Kuin. Car de celui-ci, on n’en saura pas plus (qui est il, d’où vient il, ce genre de choses), ce qui, dans certains cas peut marcher, par exemple lorsque le récit est passionnant, mais qui dans « Les Chronolithes », est plutôt gênant vu que sa présence aurait peut être redonner un certain intérêt au récit ? Certes, le héros et quelques uns de ses compagnons cherchent bien à empêcher les conquêtes de Kuin, mais bon, de façon occasionnelle : l’auteur perd trop de temps à détailler les états d’âme d’un personnage principal dont on se moque tant il est peu charismatique ainsi qu’a développer les petites vies de ses proches, oubliant quasiment le sujet principal du roman : les fameux Chronolithes et Kuin. Alors, même s’il est supérieur à « Darwinia » (mais c’était peut être difficile de faire pire ?), « Les Chronolithes » déçoivent fortement, puisque, à la place d’un sympathique roman de science fiction, on se retrouve presque avec un polar pseudo scientifique, possédant de bonnes idées, mais absolument pas développées. Encore un bof, dommage…
Dracula
gabi le 01/03/2009 : A lire
Trés bien écrit...un roman et ses annexes à lire pour comprendre la légende (et non le mythe) Dracula...Ca avance lentement...trés lentement...mais c'est bon...
Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)
Pour moi le meilleur de la sf/space opera est dans les guerriers du silence.
Tout y est, les personnages attachants et aux personnalités travaillées, une intrigue époustouflante qui nous tient du début à la fin, des mondes inimaginables et j'en passe et des meilleures.
Je n'ai qu'un seul regret, l'avoir fini.
C'est le dernier de Pierre Bordage que j'ai lu (enfin en vrai le deuxième tome), enfin que dire de plus à part que cet auteur se place par mis les plus grands,
On ne peut pas être déçu par un livre de Pierre bordage.
A lire, comme ses autres romans d'ailleurs.
Je lis à plusieurs endroits sur la toile que l'esprit de China Mieville donne naissance à un monde original et hors du commun,
Je dois avouer qu'ayant à peine terminé les scarifié je n'ai qu'un seul regret, ne pas avoir découvert cet auteur plus tôt! Je vais donc m rattraper et me lancer illico presto dans ses autres romans!
A la fois malsain et gore. un très bon livre pour un public averti.
Mais que devient cet auteur?
OK... en accord avec l'Annotations Diverses...mais histoire pas assez prenante.
Une drogue -la chronodrine- un accelerateur de reaction, permettant a un guide-interprete de ce mettre en phase pour communiquer avec une race extra=terrestre...super!! - " Ses yeux presentaient un eclat anormal...elle avait des mouvements vifs et saccades, avec des phases de fixite, comme les tressautements de tete d'un oiseau "
Aussi, un complot, une intrigue se deroulant sur terre, une planete-colonie cherchant a obtenir son independance face a sa planete-mere, et au finale une vision interessante de l'evolution.
Ecrit dans un style terriblement efficace, sans pretention, a la premiere personne, j'ai devore ce roman en quelques jours...A lire en Express
J'ai eu du mal par moment à rester accrocher à l'histoire, celle ci en volume est 3 fois plus long que le tome précédent. Un peu trop descriptif, de dialogue sans attrait.
Dommage, car la magie de dune opère toujours, notamment dans le dernier tiers du récit.
Si l'histoire met un peu plus de temps à s'installer, c'est pour mieux nous captiver par la suite et cela jusqu'à la fin.
Dommage cette histoire est vraiment courte par rapport aux tomes précédents
Décidément, au bout de deux livres, je pense que j’ai cerné le principal défaut, à mes yeux, de Robert Charles Wilson : celui-ci à de superbes bonnes idées, la dessus, il n’y a rien à redire, par contre, et c’est là que la bat blesse, il n’arrive pas à les développer comme elles le mériteraient. Le résultat, du coup, est soit catastrophique, soit décevant. Et si cette fois, nous n’avons pas droit (heureusement !) à une fin digne du pathétique « Darwinia », on ne peut pas dire que « Les Chronolithes » soient une grande réussite, car, malheureusement, le résultat final est encore loin de nos espérances. Pourtant, je dois reconnaître que le postulat de base était enchanteur et qu’il possédait un potentiel plutôt accrocheur : des monuments, issus de l’avenir, apparaissaient mystérieusement en de multiples contrées du globe, annonçant un futur conquérant, Kuin, apparemment invincible. Il y a quelques mois, en lisant le résumé de la couverture, je n’hésitait pas une seconde à me procurer cet ouvrage tant il promettait. Or, mais vous l’avez compris, la déception n’en fut que plus rude.
D’un certain coté, « Les Chronolithes » doivent beaucoup à « Darwinia » : celui-ci avait été un tel navet (et pourtant, cela me coûte de l’écrire tant il promettait), que, du coup, je me lança dans cet autre ouvrage de Robert Charles Wilson avec la plus grande méfiance. Et avec raison, car, après un bon début (l’apparition du premier Chronolithe) qui laissait encore présager de bonnes choses, même s’il n’était pas franchement original, au bout de quelques pages, on comprend rapidement que, plutôt que d’avoir à faire à un excellant roman de SF ou une poignée de personnes vont essayer par tous les moyens d’empêcher l’inéductable arrivée de leur futur conquérant, on aura droit aux problèmes conjugaux et paternels d’un héros maussade, à sa recherche de sa fille devenue ado et disparue après être partie en vadrouille au Mexique (la partie la plus pénible du livre), et, à une fin ultra prévisible ou, celui-ci et ses compagnons ont à faire à (bâillement) quelques jeunes terroristes d’une milice pro-Kuin. Car de celui-ci, on n’en saura pas plus (qui est il, d’où vient il, ce genre de choses), ce qui, dans certains cas peut marcher, par exemple lorsque le récit est passionnant, mais qui dans « Les Chronolithes », est plutôt gênant vu que sa présence aurait peut être redonner un certain intérêt au récit ? Certes, le héros et quelques uns de ses compagnons cherchent bien à empêcher les conquêtes de Kuin, mais bon, de façon occasionnelle : l’auteur perd trop de temps à détailler les états d’âme d’un personnage principal dont on se moque tant il est peu charismatique ainsi qu’a développer les petites vies de ses proches, oubliant quasiment le sujet principal du roman : les fameux Chronolithes et Kuin. Alors, même s’il est supérieur à « Darwinia » (mais c’était peut être difficile de faire pire ?), « Les Chronolithes » déçoivent fortement, puisque, à la place d’un sympathique roman de science fiction, on se retrouve presque avec un polar pseudo scientifique, possédant de bonnes idées, mais absolument pas développées. Encore un bof, dommage…
Trés bien écrit...un roman et ses annexes à lire pour comprendre la légende (et non le mythe) Dracula...Ca avance lentement...trés lentement...mais c'est bon...