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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


L'ensorceleuse
Bien E. le 29/12/2009 :

L'illustration est un tableau de Dante Gabriel Rossetti (un des préraphaélites justement)_Beata Beatrix.



Cycle Les Rêveurs (1) - Le réveil des anciens dieux
Pas terrible ! St-Camber le 28/12/2009 : Déception

Une dizaine d'années après avoir lu et relu les chefs d'œuvres D'Eddings que sont la Belgariade, la Malorée, les Joyaux et les Périls, j'attendais beaucoup du génie de l'auteur dans cette nouvelle série.
Hélas, l'histoire laisse à désirer, les personnages sont creux et trop nombreux. Si le premier tome passe, la suite est vraiment médiocre. Des personnages de plus en plus creux, l'auteur multiplie les flash-back lourdingues, les détails inutile et laisse trainer le lecteur. De plus, le style répétitif des dialogue tout en "!" et en "mon ami" lasse rapidement. Serait-ce un défaut de traduction (la tétralogie a été traduite par un autre traducteur que les séries précédente) ou un problème de formulation de l'auteur?
Bref, on s'ennuie, on s'endort, on est bien loin des épopées grandioses et bien ficelées auxquelles l'auteur nous avait habitué.



Cycle de Dune (1) - Dune (t1)
Bien dakeyras le 25/12/2009 : mouais...

Je m'attendais peut-être à trop en me plongeant dans l'univers de Dune. Je reconnais le talent de l'écrivain, mais on est loin d'un K.Dick, d'un Asimov ou d'un George Orwell.



Blade runner
Incontournable dakeyras le 25/12/2009 : magnifique

Même à le relire 5 fois, on est toujours surpris par la puissance de ce livre, et de l'écriture d'un Philip.K.Dick au sommet de son art.



Saga de Hawkmoon (5) - Le comte Airain
Très bien  le 24/12/2009 : Un bon départ pour ce deuxième cycle

Je dois reconnaître en toute franchise que j’étais légèrement perplexe avant de me plonger dans la lecture du cinquième tome de la légende de Hawkmoon, qui marquait les débuts de la seconde partie de la saga, écrite quelques années plus tard par un Michael Moorcock dont le style, comme on avait put le voir dans le cycle d’Elric, évolue au fil du temps. Du coup, forcement, j’étais plus perplexe sur le contenu que sur la forme : après tout, je me posais bien plus de questions sur ce que l’auteur britannique allait bien pouvoir nous inventer que sur le style d’écriture, qui, forcement (du moins l’espérais-je) serais un minimum plus adulte et plus fourni. Bon, d’un premier abord, je constatais rapidement au vu de la taille du roman (sa longueur bien évidement) que je l’expédierait assez rapidement et que sur ce point, les différences avec ses prédécesseurs seraient moindres, après tout, pour Elric, il aura fallut attendre les ouvrages datant de la toute fin des années 80 pour que l’on quitte définitivement le format « nouvelle ». Mais sur le contenu, maintenant que l’Empire Grandbretton était tombé, qu’allions nous donc pouvoir avoir, moi qui étais persuadé, a la base, que la lutte entre Hawkmoon et celui-ci occuperait l’intégralité de la saga ? Mais mes craintes, car oui, je l’avoue, j’en ai eu, ne furent pas justifiées, bien heureusement.

Si dans les quatre premiers tomes, l’on pourrait qualifier La légende de Hawkmoon d’Heroic Fantasy pure et dure (avec ses spécifitées qui en font tout le charme propres à la série), les choses sont complètement différentes des ce cinquième volume, Le Comte Airain. Et cela, l’on s’en aperçoit assez rapidement, au bout de quelques pages, lorsque une ambiance onirique, mystérieuse emprunte de nostalgie (dans le bon sens du terme, rassurez vous) prend le pas sur le coté jusque la plus aventureux et guerrier propre à la saga. Certes, les moments d’action n’ont pas disparus, de même, Hawkmoon et ses compagnons auront encore a voyager de par monts et par vaux, traversants les mers et les montagnes et retrouvant, parfois, de vieux ennemis laissés de cotés depuis longtemps, mais cette fois ci, ces éléments narratifs, sans disparaître totalement, occupent une place de moindre importance, priorité étant donnée à la réflexion, au doute, au fatalisme, bref, à des sentiments fort peu présents dans la première partie du cycle et qui font enfin de Hawkmoon un personnage autrement plus intéressant qu’a ses débuts. Comme si, celui-ci, humaniser, au fil du récit, par les échecs et la souffrance, s’attirait du coup un capital sympathie bien plus important. Certes, l’on est encore loin d’Elric, mais on s’y approche, petit à petit, car le Duc Dorian, après un événement qui va bouleverser sa petite vie tranquille en Kamarg, où il délaissait les affaires de l’Etat pour se prélasser lors de longues et reposantes ballades, va devoir, une fois de plus, partir à l’aventure, aux cotés de ses meilleurs amis, morts quelques années auparavant (et oui), essayer d’élucider le mystère de leurs retours, devoir les perdre une nouvelle fois avant d’affronter, encore une fois, de vieux ennemis dont il se croyait définitivement débarrasser.

Bien entendu, je ne vous en dirais pas plus afin de ne pas vous gâcher le plaisir de la lecture, cependant, sachez seulement que Le Comte Airain est un excellent roman, qui m’a plus qu’emballer et surpris de par son intrigue, bien différente de ses prédécesseurs, mais qui n’en reste pas moins toujours aussi captivante. L’ambiance à changer, passant du coté épique pour un autre, bien plus sombre et intriguant, où la parole prend le pas, parfois sur l’action, le style un peu évolué même si l’on retrouve toujours parfois quelques uns des travers habituels de la saga sur lesquels je ne reviendrais pas (inutile de se répéter a chaque fois), petit à petit, l’on commence à trouver des points communs avec les autres récits de Moorcook liés au Champion Eternel et au Multivers, et, petite cerise sur le gâteau, la fin est si surprenante, tellement imprévisible et brutale de par ses implications, au point que l’on ne sait plus ce qui est réel ou non, que vous n’êtes pas prêts de l’oublier. Bref, un second cycle pour Hawkmoon qui commence de fort belle manière et dont il serait dommage de se priver.



Saga de Hawkmoon (4) - Le secret des Runes
Très bien  le 24/12/2009 : Le combat final!

Bon, avant de rentrer dans le vif du sujet, je tenais à poser une question qui à son importance, du moins à mes yeux (je me doute bien que la plupart des gens n’y accorderont aucun intérêt mais bon, que voulez vous…), pourquoi ce quatrième tome se nomme t’il Le secret des runes ? J’ai eu beau cherché, lire ce livre de bout en bout, je n’ai pas trouvé de réponses satisfaisantes à ma question ; certes, le Bâton Runique se nomme ainsi mais au fait, pourquoi donc, où sont donc ces fameuses runes ? Bref, cela restera pour moi un grand mystère, a moins de poser directement la question à Michael Moorckock lui-même, ce qui, je le sais très bien, n’arrivera jamais (et encore, faudrait il qu’il me réponde ce qui est loin d’être gagné). Bon, ce petit aparté terminé, inutile de tourner autour du pot, et pour enchaîner sur la fin de la critique du tome précédant, dans laquelle je signalais que le niveau général de la série faiblissait au point que l’on pouvait envisager de parler de déception, je tiens à dire que, heureusement, avec ce Secret des runes, cette fin de la première partie du cycle retrouve une certaine verve et un intérêt incontestable, car cette fois ci, l’heure du combat final entre le Duc Dorian Hawkmoon et ses alliés d’un coté et l’Empire Grandbretton de l’autre, est arrivée.

Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, la première partie de l’ouvrage possède bon nombre de similitudes avec le tome précédant ; en effet, dans celle-ci, l’on retrouve Hawkmoon et D’Averc dans la suite de leurs pérégrinations en Amarekh, avec les qualités et les défauts qui vont avec. Une fois de plus, l’objectif principal est la quête d’un « trésor », cette fois ci, après l’Epée de l’Aurore, c’est ni plus ni moins que le Bâton Runique, garder dans une mystérieuse citée et où nos deux héros auront fort a partie face a un envoyé du ténébreux Empire Grandbretton. Dans cette première partie, pas de grandes surprises, l’on reste dans la même veine de la série : Hawkmoon décide quelque chose, un événement vient contrecarrer ses plans, un Deus-Ex-Machina intervient, le Guerrier d’or et de jais, pour ne pas changer, mais aussi un petit nouveau, le « frère » de celui-ci, le mystérieux Orland Fank, puis, le danger écarter, on ramasse le trésor et on passe a autre chose. Bref, je raccourcis rapidement la chose mais en fait, cela me semble un bon résumé de cette première partie, sauf que, pour la première fois, un événement important et imprévu aura lieu puisque l’un des alliés de Hawkmoon y perdra la vie. Première surprise et premier drame d’un récit qui en comportera un certain nombre.

Mais c’est ensuite que tout s’enchaîne et que le récit, devenant diablement plus passionnant captivera le lecteur jusqu'à la toute dernière page, sans que l’on puisse poser le livre sans ressentir une énorme frustration (c’est du moins ce qui m’arriva). Et la dessus, je dis un grand bravo à l’auteur qui a sut nous entraîner dans une multitudes d’événements qui se succèdent les uns après les autres, sans aucun temps mort, jusqu'au final. Car, entre la trahison de Meliadus et ses comparses, le retour brutal de la Kamarg sur Terre, le combat entre les différentes forces rivales de l’Empire ténébreux dans une Londra a feu et a sang, l’attaque des troupes de Hawkmoon et du Comte Airain, la mort de bon nombre des protagonistes, les uns après les autres, dont certains tout bonnement de façon dramatiques et le combat final, entre Hawkmoon et Meliadus, le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer et se surprend même que la fin arrive si subitement. Cependant, tout n’est pas parfait, malheureusement (ou plutôt devrais-je dire comme d’habitude), car ces nombreux événements, aussi passionnants et réussis soient ils auraient véritablement mérité un traitement plus fouillé, plus complet ; quel dommage que ce quatrième tome (mais l’on pourrait en dire autant de l’ensemble de l’œuvre) n’ai pas eu quelques pages supplémentaires, tant d’événements vitaux sont a peine esquissés, tant de morts sont décrites en cinq, six lignes a peine… Dommage mais même ainsi, cela fonctionne plutôt bien, et d’ailleurs, le final où les morts se succèdent en nombre impressionnant sur quelques pages aussi choquant soit il de part ses implications dramatiques et la rapidité avec laquelle elles surviennent, est une petite merveille du genre. Mais bon, que l’on aime ou non que untel soit mort (perso, suis dégoûté, vous devez deviné pourquoi si vous avez lu mes critiques précédentes), que l’on se lamente que l’auteur ne soit pas plus investi dans cette série qui aurait vraiment put être grandiose, ou que l’on trouve un peu la fin gnan-gnan, une chose est certaine : Le secret des runes conclu de magnifique façon la première partie du cycle qui, malgré ses imperfections, n’en reste pas moins un modèle du genre qui se doit d’être lu (ne serais ce que pour l’Empire Grandbretton)…



Saga de Hawkmoon (3) - L'Épée de l'aurore
Bien  le 24/12/2009 : Je m'attendais tout de même à mieux...

Il me semble évidant, avec ce troisième tome du cycle de Hawkmoon qu’une vérité s’impose et je ne peux pas la nier plus longtemps : incontestablement, mais cela avait été plus ou moins dit déjà, ce cycle, malgré toutes ces qualités est très loin de tenir la comparaison avec celui d’Elric. Certes, il faut savoir relativiser et comparer ce qui est comparable, après tout, nous avons d’un coté l’un des héros les plus cultes de toute la production d’Heroic Fantasy, un personnage charismatique en diable, tourmenté, fataliste et inoubliable tandis qu’en face, le sympathique Duc Dorian Hawkmoon parait bien trop fade, ne possédant pas de grands arguments pour espérer rivaliser avec son illustre prédécesseur. Cela me peine de dire ca mais franchement, j’ai été déçu par ce personnage, qui possédait pourtant un potentiel certain mais qui ne se démarque pas le moins du monde du héros type des productions du genre. D’ailleurs, jusqu'à ce troisième tome (il sera toujours temps de revenir dessus par la suite), il n’aura été intéressant qu’au tout début du cycle, lorsque, vaincu et abattu par le ténébreux Empire de Granbretanne, son coté désabusé et cynique laissait entrevoir un potentiel qui disparut bien trop rapidement. De plus, pour son malheur, mais pour notre bonheur, Dorian Hawkmoon est littéralement écrasé par les personnages secondaires qu’il côtoie, en particulier le Comte Airain, bien évidement, dans un rôle bourru et assez classique mais qui fonctionne toujours et surtout le fascinant Huillam d'Averc, son anti-thèse totale, cynique, coureur, égocentrique, anti-héros par excellence que l’on préfère largement de part sa classe naturelle. D’ailleurs, j’ai put remarquer au fil du temps que ce phénomène arrive bien souvent, dans bon nombre d’œuvres et dans la Légende de Hawkmoon, incontestablement, D’Averc est mon personnage préféré.

C’en est tant mieux puisque celui-ci tient un rôle important dans L’épée de l’Aurore, troisième tome du cycle, ou le français et Hawkmoon partent tout deux en territoire ennemi, afin d’enquêter sur les plans de leurs adversaires, qui n’ont pas abandonner tout espoir de faire payer la Kamarg, exilée dans une autre dimension depuis la fin du tome précédant, en particulier leurs adversaires de toujours, le Grand Connétable de l’Ordre du Loup, le charismatique Baron Meliadus. D’ailleurs, ce tome se décompose en deux parties assez distinctes : une première, qui m’a franchement emballé et qui à lieu à Londra principalement et sur le territoire Grandbretons, où l’on suit Hawkmoon et D’Averc, bien entendu, mais surtout, et c’est bien plus intéressant, les intrigues de la Cour du Roi Huon, où certains personnages font leurs apparitions, comme la Comtesse Fiona ou l’extraordinaire Taragorn, le Maître du temps, mais où l’on voit aussi que les ambitions de tout à chacun, et surtout, la quête de vengeance de Meliadus risque de provoquer des dissensions futures. Une première partie excellente, donc, de part son contexte et quelques rebondissements imprévus mais la suite, malheureusement est loin d’être aussi passionnante. Pourtant, les péripéties de nos deux héros par delà l’Océan Atlantique, en Amarekh sont nombreuses, mais le tout est desservie par l’un des gros travers de la série : la rapidité flagrante a laquelle celle-ci fut écrite. Du coup, au lieu de s’attarder sut tel événement qui aurait mériter un traitement plus long, le lecteur aura la désagréable surprise de voir filer les événements, ceux-ci s’enchaînant assez rapidement, sans grandes surprises et avec, comme un peu trop souvent, des interventions désormais plus ennuyeuses qu’autre chose, du fameux Guerrier d’Or et de Jais, véritable Deus-Ex-Machina de la saga que Moorckok aurait mieux fait de nommer l’Homme qui tombe a pic (les connaisseurs savent de quoi je parle). Et puis, pour couronner le tout, si vous contiez sur un quelconque dépaysement en arrivant en Amarekh, détrompez vous ; je sais que je vous en dit un peu trop peut être mais au moins, vous ne vous ferez pas d’illusions inutiles comme moi.

Enfin, malgré tout, L’épée de l’Aurore, malgré des défauts intrésèques à la série, se lit plutôt bien, et contient quelques moments agréables voir mêmes excellents. Mais pour cela, ne vous leurrez pas, ils sont tous dans la première partie, du coté de Londra, ou bien, grâce aux interventions d’un Huillam d'Averc en grande forme. Le reste s’apparente de plus en plus à une quête au nouvel artefact magique, en attendant le suivant ; bref, rien de bien transcendant et l’on attend surtout, en arrivant aux dernières pages de ce troisième tome, de passer rapidement au suivant, en espérant que celui-ci, qui clôturera la première partie de la saga, remonte un peu un niveau qui descend dangereusement petit à petit …



La chute des mondes (1) - La chute des mondes
Pas terrible ! Totoribus le 23/12/2009 : Nul

Poussif, ennuyeux, aucune originalité, mal écrit. Non vraiment passez votre chemin il y a mille fois mieux dans le genre.



La roue du temps (01) - La roue du temps
Incontournable Jean-Baptiste le 23/12/2009 : Magistrale

Ce cycle de Fantasy est ma-gi-strale, incontournable, géant, et entier. Certes il existe toujoursla confrontation entre le bien et le mal, mais ces deux cotés sont nuancés. On trouve des méchants chez les gentils, et des méchants + méchants que d'autres chez les... méchants. Je pense que toutes les nuances qui existent dans le jeu politique réel sont exprimées dans les romans de R. Jordan. C'est la principale qualité de cette série.
J'ai presque fini The Gathering Storm, co-écrit par B. Sanderson (12ème tome du cycle, préquelle exclue)... Il me tarde de lire les deux derniers tomes à paraître fin 2010 puis fin 2011. Bonne lecture !!



Le seigneur des anneaux (1) - La communauté de l'anneau
Incontournable  le 10/12/2009 : Héroïc-fantasy

Tolkien est le maître incontesté de la fantasy et, lire ici que GoodKing lui est meilleur, m'a fait sourire...
Ce premier tome, donne les bases de l'épopée, la quête que vont suivre les personnages. Les descriptions sont incroyablement belles, les personnages semblent vivre au travers des lignes, les dialogues jouent entre vivacité, humour et longues conversations bien menées.
Bref, tout pour faire un succès, ce qui est le cas !





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