Roswell le 18/04/2010 : Dans la continuité du premier
On commence enfin à parler des habitants de Dyson Alpha, toujours une atmosphere géniale mais toujours peu de page concernant l'histoire principale.
Cycle L'Étoile de Pandore (1) - L'Étoile de Pandore
Roswell le 18/04/2010 : Formidable SAGA
Cet auteur aime les détails et creer un univers, une atmosphère. On s'y croit vraiment et l'histoire, la technologie etc... parait réaliste et proche.Un seul reproche l'histoire principale ne prend pas bcp de page avant le 4ieme tome.
Griots célestes (2) - Le dragon aux plumes de sang
Jeanjean le 12/04/2010 : Génial!
Une fois de plus, Pierre Bordage nous emmène dans toutes sortes d'univers et ses talents de conteur font que ce roman est d'une réelle qualité!
Cycle de Fondation (1) - Fondation
David le 09/04/2010 : Superbe
J'ai lu les trois tomes en une semaine environ, je n'ai littéralement pas su arrêter de lire.
C'est sans doute ce cycle d'Asimov qui m'a lancé dans la lecture de SF.
C'est une oeuvre qui se démarque par sa grande facilité de lecture et en même temps par sa richesse scénaristique.
Ce cycle est un must et je suis content de l'avoir lu, je le recommande à tous.
Le nomade du temps (3) - Le tsar d'acier
le 04/04/2010 : On comprend mieux mais cela reste moyen
C’est avec une certaine crainte et peu d’enthousiasme que j’ai abordé la lecture du dernier tome du Nomade du temps, Le Tsar d’acier. Il est évidant que, comme je l’ai précisé dans les autres volumes, le fait d’attendre monts et merveilles de ce cycle, auquel, il faut ajouter le fait, non négligeable, que les divers mondes traversées par notre voyageur du multivers, Oswald Bastable, se ressemblent tous dans les grandes lignes, avait commencer à m’ennuyer un peu, au point que, dans les premières pages de ce troisième volume, la déception était présente, indéniablement. Pourtant, malgré le fait que ce monde de 1941, une fois de plus, ressemblait presque comme deux gouttes d’eau a ses prédécesseurs et que Bastable, pour ne pas changer, allait pour la énième fois essayer de travailler dans un dirigeable, petit à petit, alors que l’intrigue avançait, ce sentiment de déception commençait à s’atténuer, alors que les implications générales du cycle, ainsi que les explications de tous les mystères et, surtout, du pourquoi tous ces univers étaient si proches, se révélaient. Car sans rentrer dans des explications qui priveraient ceux qui n’ont pas lu ce cycle du plaisir de la découverte, en fait, bon nombre de choses, comme ses points communs agaçants, ses personnages que l’on retrouvait sans cesse, n’étaient pas une facilité de l’auteur, ni la preuve d’un ratage complet, mais au contraire, la démonstration évidant que Moorcock, en écrivant Le nomade du temps, avait une idée précise de ce qu’il faisait et que l’explication finale, avec ses implications sur d’autres cycles, était, malgré tout, une bonne idée. Alors bien sur, l’on pourra regretter que pour en arriver la, il faille passer par une intrigue pas forcement passionnante, puisque franchement répétitive, et ce, même si ce Tsar d’acier était tout de même bien trouver. Mais bon, sans atteindre des sommets dans la production habituelle de l’auteur britannique, ce troisième tome n’en reste pas moins nécessaire, ne serais ce que pour la compréhension de l’ensemble du cycle, se lisant bien, même si le plaisir des débuts n’est plus aussi intense. Une fin donc qui vaut plus par ses explications que par son intrigue générale mais qui conclut néanmoins bien un cycle qui n’est pas forcement exceptionnel mais qui mérite tout de même que l’on le découvre, surtout pour les passionnés de Moorcock. Pour les autres, peut être ne sera-t-il pas nécessaire.
Le nomade du temps (2) - Le Léviathan des terres
le 04/04/2010 : Je m'attendais à mieux...
Là, les choses se compliquent un peu et l’on commence, indéniablement, à se poser des questions en abordant la lecture du deuxième tome, Le Léviathan des terres. 1904, Oswald Bastable croit avoir retrouvé son monde d’origine mais il doit bien vite se rendre à l’évidence que ce n’est pas le cas. A la place, une fois de plus, une évolution divergente dans la ligne temporelle et une Terre, a la technologie fortement évoluée qui connu l’Utopie dans les dernières décennies du dix neuvième siècle avant de connaître une guerre totale entre les nations. Le préambule de départ est a priori intéressant, sans nul doute, le problème, que l’on retrouvera également dans le dernier tome de la trilogie, c’est que les points communs restent légions, ainsi, les différences technologiques, par exemple, entre le 1973 du Seigneur des airs et le 1904 du Léviathan des terres sont tenues et le lecteur n’a pas véritablement l’impression de passer forcement d’un univers a un autre, ne serais ce les Histoire des deux mondes, divergentes dans les grandes lignes, mais qui n’en gardent pas moins des points communs fortement troublants. Par la suite, vers la fin du cycle, on comprendra pourquoi il en est ainsi, ou pourquoi, les mêmes personnages reviennent aussi, sans cesse, mais il est clair qu’ à la lecture du deuxième tome, le lecteur est loin de s’en douter et, du coup, toutes ces ressemblances peuvent, par certains cotés, joué quant a l’intérêt d’un roman qui, pourtant, n’en a pas moins ses qualités. Car l’intrigue de ce Léviathan des terres est particulièrement bien trouvée : la conquête du monde par un dictateur africain qui joue de la revanche des siens contre les occidentaux, ainsi que les implications politiques une nouvelle fois abordées, sont, je trouve, assez bien trouver. De même, les explications quand au « pourquoi » de ces conquêtes, et l’image que se donne ce fameux Attila Noir est l’une des réussites de ce livre. Alors, le lecteur saura trouver du plaisir à la lecture de ce deuxième tome du Nomade du temps, cependant, une fois de plus, il faudra faire avec les habituels défauts de l’auteur, quelques raccourcis un peu trop faciles et quelques protagonistes un peu trop stéréotypés, auquel, s’ajoute, comme je l’ai déjà préciser, cette impression de « déjà vu », une impression qui nui un peu à l’œuvre, et qui ne trouvera son explication que par la suite. Alors, au final, que penser de ce Léviathan des terres ? Roman sympathique, sans aucun doute, avec ses qualités et de bonnes idées, je n’en doute pas mais loin des meilleurs ouvrages de Moorcock, incontestablement.
Le nomade du temps (1) - Le seigneur des airs
le 04/04/2010 : Le champion eternel du coté du steampunk
Incontestablement, c’est avec Le seigneur des airs que j’ai pris le plus de plaisir dans ce cycle, et le fait que celui-ci présente les divers protagonistes et en gros, la base qui formera les univers proposés par la suite y est pour beaucoup. Les premières pages sont d’ailleurs tout bonnement excellentes, lorsque Bastable (l’avatar du jour du Champion Eternel) et ses troupes tombent dans le piège d’une tribu fanatique aux confins de l’Inde, dans une citée vieille comme le temps, mais qui, malheureusement, l’on ne reverra plus par la suite. Dommage car la cité de Teku Benga avec tous les mystères qui l’entourent aurait mérité un autre traitement et les questions a son sujet que l’on se posait des le départ resteront sans réponses. C’est certes regrettable mais a ce moment là, on ne le sait pas encore et l’on poursuit la lecture avec le plus vif intérêt, surtout que Bastable se retrouve projeter dans ce qui apparaît être comme une Terre parallèle, dans le futur et le lecteur, comme le personnage principal, découvre petit a petit celui-ci, avec émerveillement et curiosité même s’il faut reconnaître que quand on connaît un tant soit peu le Steampunk, cela n’a pas grand-chose d’original. Cependant, une nuance de taille s’impose : la date de parution du roman, datant du tout début des années 70, a une époque donc où tout cela était « nouveau » et peu commun dans la littérature fantastique en général ; le temps qui passe faisant que l’ont soit un peu blasé parfois, oubliant qu’a un moment donné, tout cela était original et rare. Mais quoi qu’il en soit, il est incontestable que Le seigneur des airs est un bon petit roman de SF, dans la lignée malgré ses différences notables, des autres productions de Moorcock et qui se lit indéniablement avec plaisir. L’intrigue est suffisamment prenante pour captiver le lecteur, même s’il faut reconnaître que celle-ci pêche légèrement par sa longueur, bien trop courte à mon gout ; les personnages sont nombreux, ce monde de 1973 est fascinant tant par la technologie Steampunk que par les implications politiques qui sont abordées par un Moorcock qui visiblement, se délecte dans sa critique de l’Utopie Britannique, mais dans les deux cas, l’auteur ne s’attarde guère, retrouvant un peu ses travers déjà entraperçus dans les premiers volumes de Hawkmoon. Alors, au final, reste un roman sympathique, bon préambule pour la saga à venir et assez prometteur pour celle-ci. Maintenant, la suite…
Serpentine
Ashford le 01/04/2010 : Une perte de temps et d'argent
Les histoires sont insipides, des moments de la vie courante avec une certaine pointe de fantasy mais rien qui fasse rêver. J'en attendais beaucoup plus d'un livre ayant reçue le grand prix de l'Imaginaire.
Le Monde, tous droits réservés
Ashford le 01/04/2010 :
J'ai déjà lu plusieurs recueils de nouvelles de SF et je fus plutôt satisfait de ce livre. L'auteur a un style qui plaît énormément avec sa description détaillé des personnages et des décors. Au final j'ai passé un bon moment en lisant ce livre même si certaines histoires sont stéréotypés.
Radix
fly le 30/03/2010 : Un livre époustouflant!
Un livre complexe et magnifique qui ne laisse pas indifférent!
Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)
On commence enfin à parler des habitants de Dyson Alpha, toujours une atmosphere géniale mais toujours peu de page concernant l'histoire principale.
Cet auteur aime les détails et creer un univers, une atmosphère. On s'y croit vraiment et l'histoire, la technologie etc... parait réaliste et proche.Un seul reproche l'histoire principale ne prend pas bcp de page avant le 4ieme tome.
Une fois de plus, Pierre Bordage nous emmène dans toutes sortes d'univers et ses talents de conteur font que ce roman est d'une réelle qualité!
J'ai lu les trois tomes en une semaine environ, je n'ai littéralement pas su arrêter de lire.
C'est sans doute ce cycle d'Asimov qui m'a lancé dans la lecture de SF.
C'est une oeuvre qui se démarque par sa grande facilité de lecture et en même temps par sa richesse scénaristique.
Ce cycle est un must et je suis content de l'avoir lu, je le recommande à tous.
C’est avec une certaine crainte et peu d’enthousiasme que j’ai abordé la lecture du dernier tome du Nomade du temps, Le Tsar d’acier. Il est évidant que, comme je l’ai précisé dans les autres volumes, le fait d’attendre monts et merveilles de ce cycle, auquel, il faut ajouter le fait, non négligeable, que les divers mondes traversées par notre voyageur du multivers, Oswald Bastable, se ressemblent tous dans les grandes lignes, avait commencer à m’ennuyer un peu, au point que, dans les premières pages de ce troisième volume, la déception était présente, indéniablement. Pourtant, malgré le fait que ce monde de 1941, une fois de plus, ressemblait presque comme deux gouttes d’eau a ses prédécesseurs et que Bastable, pour ne pas changer, allait pour la énième fois essayer de travailler dans un dirigeable, petit à petit, alors que l’intrigue avançait, ce sentiment de déception commençait à s’atténuer, alors que les implications générales du cycle, ainsi que les explications de tous les mystères et, surtout, du pourquoi tous ces univers étaient si proches, se révélaient. Car sans rentrer dans des explications qui priveraient ceux qui n’ont pas lu ce cycle du plaisir de la découverte, en fait, bon nombre de choses, comme ses points communs agaçants, ses personnages que l’on retrouvait sans cesse, n’étaient pas une facilité de l’auteur, ni la preuve d’un ratage complet, mais au contraire, la démonstration évidant que Moorcock, en écrivant Le nomade du temps, avait une idée précise de ce qu’il faisait et que l’explication finale, avec ses implications sur d’autres cycles, était, malgré tout, une bonne idée. Alors bien sur, l’on pourra regretter que pour en arriver la, il faille passer par une intrigue pas forcement passionnante, puisque franchement répétitive, et ce, même si ce Tsar d’acier était tout de même bien trouver. Mais bon, sans atteindre des sommets dans la production habituelle de l’auteur britannique, ce troisième tome n’en reste pas moins nécessaire, ne serais ce que pour la compréhension de l’ensemble du cycle, se lisant bien, même si le plaisir des débuts n’est plus aussi intense. Une fin donc qui vaut plus par ses explications que par son intrigue générale mais qui conclut néanmoins bien un cycle qui n’est pas forcement exceptionnel mais qui mérite tout de même que l’on le découvre, surtout pour les passionnés de Moorcock. Pour les autres, peut être ne sera-t-il pas nécessaire.
Là, les choses se compliquent un peu et l’on commence, indéniablement, à se poser des questions en abordant la lecture du deuxième tome, Le Léviathan des terres. 1904, Oswald Bastable croit avoir retrouvé son monde d’origine mais il doit bien vite se rendre à l’évidence que ce n’est pas le cas. A la place, une fois de plus, une évolution divergente dans la ligne temporelle et une Terre, a la technologie fortement évoluée qui connu l’Utopie dans les dernières décennies du dix neuvième siècle avant de connaître une guerre totale entre les nations. Le préambule de départ est a priori intéressant, sans nul doute, le problème, que l’on retrouvera également dans le dernier tome de la trilogie, c’est que les points communs restent légions, ainsi, les différences technologiques, par exemple, entre le 1973 du Seigneur des airs et le 1904 du Léviathan des terres sont tenues et le lecteur n’a pas véritablement l’impression de passer forcement d’un univers a un autre, ne serais ce les Histoire des deux mondes, divergentes dans les grandes lignes, mais qui n’en gardent pas moins des points communs fortement troublants. Par la suite, vers la fin du cycle, on comprendra pourquoi il en est ainsi, ou pourquoi, les mêmes personnages reviennent aussi, sans cesse, mais il est clair qu’ à la lecture du deuxième tome, le lecteur est loin de s’en douter et, du coup, toutes ces ressemblances peuvent, par certains cotés, joué quant a l’intérêt d’un roman qui, pourtant, n’en a pas moins ses qualités. Car l’intrigue de ce Léviathan des terres est particulièrement bien trouvée : la conquête du monde par un dictateur africain qui joue de la revanche des siens contre les occidentaux, ainsi que les implications politiques une nouvelle fois abordées, sont, je trouve, assez bien trouver. De même, les explications quand au « pourquoi » de ces conquêtes, et l’image que se donne ce fameux Attila Noir est l’une des réussites de ce livre. Alors, le lecteur saura trouver du plaisir à la lecture de ce deuxième tome du Nomade du temps, cependant, une fois de plus, il faudra faire avec les habituels défauts de l’auteur, quelques raccourcis un peu trop faciles et quelques protagonistes un peu trop stéréotypés, auquel, s’ajoute, comme je l’ai déjà préciser, cette impression de « déjà vu », une impression qui nui un peu à l’œuvre, et qui ne trouvera son explication que par la suite. Alors, au final, que penser de ce Léviathan des terres ? Roman sympathique, sans aucun doute, avec ses qualités et de bonnes idées, je n’en doute pas mais loin des meilleurs ouvrages de Moorcock, incontestablement.
Incontestablement, c’est avec Le seigneur des airs que j’ai pris le plus de plaisir dans ce cycle, et le fait que celui-ci présente les divers protagonistes et en gros, la base qui formera les univers proposés par la suite y est pour beaucoup. Les premières pages sont d’ailleurs tout bonnement excellentes, lorsque Bastable (l’avatar du jour du Champion Eternel) et ses troupes tombent dans le piège d’une tribu fanatique aux confins de l’Inde, dans une citée vieille comme le temps, mais qui, malheureusement, l’on ne reverra plus par la suite. Dommage car la cité de Teku Benga avec tous les mystères qui l’entourent aurait mérité un autre traitement et les questions a son sujet que l’on se posait des le départ resteront sans réponses. C’est certes regrettable mais a ce moment là, on ne le sait pas encore et l’on poursuit la lecture avec le plus vif intérêt, surtout que Bastable se retrouve projeter dans ce qui apparaît être comme une Terre parallèle, dans le futur et le lecteur, comme le personnage principal, découvre petit a petit celui-ci, avec émerveillement et curiosité même s’il faut reconnaître que quand on connaît un tant soit peu le Steampunk, cela n’a pas grand-chose d’original. Cependant, une nuance de taille s’impose : la date de parution du roman, datant du tout début des années 70, a une époque donc où tout cela était « nouveau » et peu commun dans la littérature fantastique en général ; le temps qui passe faisant que l’ont soit un peu blasé parfois, oubliant qu’a un moment donné, tout cela était original et rare. Mais quoi qu’il en soit, il est incontestable que Le seigneur des airs est un bon petit roman de SF, dans la lignée malgré ses différences notables, des autres productions de Moorcock et qui se lit indéniablement avec plaisir. L’intrigue est suffisamment prenante pour captiver le lecteur, même s’il faut reconnaître que celle-ci pêche légèrement par sa longueur, bien trop courte à mon gout ; les personnages sont nombreux, ce monde de 1973 est fascinant tant par la technologie Steampunk que par les implications politiques qui sont abordées par un Moorcock qui visiblement, se délecte dans sa critique de l’Utopie Britannique, mais dans les deux cas, l’auteur ne s’attarde guère, retrouvant un peu ses travers déjà entraperçus dans les premiers volumes de Hawkmoon. Alors, au final, reste un roman sympathique, bon préambule pour la saga à venir et assez prometteur pour celle-ci. Maintenant, la suite…
Les histoires sont insipides, des moments de la vie courante avec une certaine pointe de fantasy mais rien qui fasse rêver. J'en attendais beaucoup plus d'un livre ayant reçue le grand prix de l'Imaginaire.
J'ai déjà lu plusieurs recueils de nouvelles de SF et je fus plutôt satisfait de ce livre. L'auteur a un style qui plaît énormément avec sa description détaillé des personnages et des décors. Au final j'ai passé un bon moment en lisant ce livre même si certaines histoires sont stéréotypés.
Un livre complexe et magnifique qui ne laisse pas indifférent!