fondation, ce n'est qu'un bout (le dernier) de l'histoire. ayant pratiquement lu tout ce qu'a écrit Asimov je ne saurais trop conseiller de tout lire de lui, si possible en commençant par ses premiers écrits (le grand livre des robots notamment) et vous verrez : c'est extaordinaire! Car tout s'enchaine avec une logique historique qui m'a coupé le souffle!
Le jeune homme, la mort et le temps
le 30/12/2010 : Roméo et Juliette version fantastique
Le voyage dans le temps est un prétexte à cette superbe love story très bien écrite mariant journal intime et écriture épistolaire dans la narration.
Livres de sang (7) - Cabale
le 28/12/2010 : Cabal, un des meilleurs de Barker
C'est avec ce roman que j'ai découvert l'auteur qui est immédiatement devenu un de mes auteurs favoris (avec Stephen King). Il y a de nombreuses originalités dans ce roman et j'aime les surprises qu'on découvre au fil des pages. Par la suite, j'ai vu le film avec plaisir parce que très fidèle au livre :)
World War Z
benoit le 28/12/2010 : World War Z
On pourra également faire le lien avec la série Comics Walking Dead ou l'auteur s'attarde d'avantage sur la psychologie des personnages que sur un véritable scénario.
Ca fonctionne super bien dans la bd...mais ça reste il est vrai un peu frustrant dans ce roman...
Un bon moment de lecture néanmoins.
Malhorne (t4) - La matière des songes
le 24/12/2010 : Une fin étonnante mais excellente.
Il en aura fallut du temps pour arriver a cette conclusion tant attendue, du temps et un sacré nombre de pages puisque chaque tome comprenait environ près de sept cents pages, ce qui est notable (même s’il existe plus long, j’en conviens). Mais le plaisir, et il fut grand, ressentit tout au long de la lecture de ce cycle, déjà présent au cours des trois premiers tomes aura une fois de plus été au rendez vous de ce final qui marquera incontestablement les esprits de tous ceux qui auront apprécié l’œuvre mystico-fantastique de Jérôme Camut. Bien évidement, qui dit dernier tome, dit forcement réponses a toutes les questions en cours, a toutes les intrigues, mais aussi, ne l’oublions, qu’adviendra t’il des protagonistes, et ils sont légions, que l’on suit depuis les débuts ou qui sont apparus en cours de route. Et forcement, pour ne pas déroger a la règle, je vous rassure tout de suite, Jérôme Camut va au bout des choses et le lecteur, sur ce point, sera amplement satisfait : s’il cherchait des réponses, cette fois ci, il les aura, toutes, ou presque, ce qui nous change de certaines œuvres au final plus ou moins obscur qui nous laisse un peu sur notre faim ; avec Malhorne, aucun soucis a l’horizon (car je part du principe qu’un individu normalement constitué, s’il n’apprécie pas un cycle n’ira normalement pas jusqu’au bout, a moins d’être limite « maso », mais bon, les cas existent), vous allez en avoir pour votre argent et ce quatrième tome vous comblera au moins sur ce point.
Oui, sur ce point car il y a tout de même un mais. Bien évidement, chacun peut se faire une idée selon ses propres gouts et aspirations à espérer une fin qui le comblera plus qu’une autre, bien évidement, cela n’arrive pas forcement toujours et ce fait ne peut remettre en cause la qualité intrinsèque d’une œuvre, que quelle soit. Cependant, dans le cas présent, je ne peux m’empêcher de souligner quelques points qui, a défaut de me faire changer d’avis quand a mon ressentit final, m’auront tout de même chagriné : tout d’abord, j’ai trouvé regrettable que, alors que Camut nous ait inventé tellement de protagonistes au fil des différents tomes (et en plus, il se permet le luxe d’en sortir d’autres, au demeurant pas franchement utiles, au contraire, dans ce dernier tome), ceux-ci soient expédiés ad-patres en quelques lignes au fil des pages ; si certains ont droit a un traitement de faveur quand a leur mort, pour d’autres, dont certains d’une importance non négligeable et ce depuis le début, ce n’est absolument pas le cas et l’on ne peut qu’en ressentir une déception certaine devant ce fait. D’autres, apparus au fil des tomes n’auront finalement eu qu’un intérêt relatif, où n’auront guère été développés, ce qui est selon moi dommageable. Bon, cela n’enlève en rien a la qualité finale de l’ensemble et l’on peut toujours se dire que la mort est ainsi, brutale, frappant sans prévenir et n’importe qui mais mon opinion restera que l’auteur aura par ce biais chercher la solution de facilité. Autre point négatif selon moi, certains coups de théâtre, certaines révélations ne m’auront pas franchement semblé utiles, en particulier quant à la « trahison » d’un personnage de premier ordre vu que cela n’apporte rien au récit en lui même. Mais sur ce point, je n’en dirais pas plus pour éviter de trop spoiler. Et pour finir, encore et encore : Non, mille fois non, Pedro Alvares Cabral ne s’appelle pas Pablo ! Comment faire une telle erreur et persister !?
Enfin bon, j’ai l’air de trouver tous les défauts du monde et de chipoter sur cette Matière des songes mais cela est également dut au fait que jusque là, j’avais un peu occulté les quelques points faibles de la série et que je tenais à me rattraper ; de plus, mettons les choses au point tout de suite : ces quelques défauts, au final, n’en sont pas moins mineurs et ce dernier tome est tout aussi bon que ses prédécesseurs, concluant magistralement une saga qui marquera indéniablement tous ceux qui auront pris la peine de la lire de bout en bout. Car les faits sont là, bruts et incontestables : Malhorne est une sacrée bonne série, comme on n’en fait rarement et qui mérite amplement que l’on y plonge. Jérôme Camut a vraiment réussi un fort joli coup, un beau mélange des genres où l’on retrouve pèle mêle tant d’éléments passionnants comme la vie après la mort, les dimensions parallèles, les secrets sur les religions, l’existence ou non de divinités, d’autres mondes, des sociétés secrètes, un brin de polar, de SF, de romance, d’Histoire, bref, un beau mélange des genres qui aurait put parfaitement foiré mais qui fonctionne de la plus belle des manières et qui tient en haleine le lecteur du début a la fin.
Alors, La matière des songes nous apportera finalement toutes les réponses que l’on attendait, il faudra dire adieu a bon nombre de personnages que l’on avait apprécié, et avec des coups de théâtre en pagaïe, dont un, tout bonnement exceptionnel et qui me laissa coït sur le coup, il faudra s’attendre au retour d’une vieille connaissance, un certain Malhorne qui n’aurait pas encore dit son dernier mot. Le final, surprenant de part ses implications et son déroulement en déroutera probablement plus d’un mais après coup, je l’aurais trouvé excellant, de même que les dernières pages qui nous laissent entendre que malgré tout, l’Histoire n’est qu’un eternel recommencement. Bref, que ceux qui hésiteraient à se plonger dans la lecture de Malhorne ne perdent plus une minute, cette tétralogie vaut largement le coup. Et le plus incroyable, et cela sera ma conclusion, c’est que Jérôme Camut, dans son œuvre, nous aura finalement proposé une théorie, si l’on met un peu de coté Zagul, le Dieu/Dragon (quoi que) et les civilisations parallèles, pas si stupide que cela au final : cette Aratta, cette eau source de vie, ces morts qui quelque part, seraient en nous ou tout recommence, où rien ne se perd, recommence, et ben, je ne sais pas mais cela ne m’a pas laissé indifférent, bien au contraire.
Le mythe de Cthulhu
horipilax le 23/12/2010 : le mythe de cthulhu
Six nouvelles incontournables du maître de la dark-fantasy. A ne rater sous aucuns pretextes . A lire en écoutant le call of cthulhu de Metallica (album-ride the lightning).
La paille dans l'oeil de Dieu
JMB le 22/12/2010 : Dans l'ambiance
Premier grand space opera militaire, sans être vraiment militariste. On se sent immergé complètement dans l'ambiance et la grandeur de l'univers de lhistoire avec une civilisation extraterrestre très travaillée. Je le recommande très vivement.
World War Z
horipilax le 21/12/2010 : world war z
Malgré un sujet mainte fois exploité dans la littérature horrifique (les zombies), Max Brooks arrive a nous surprendre avec sons world war z. Suites d'interviews de rescapés de la guerre humains-zombies, ce roman n'est qu'une suite de petite nouvelles formant une gigantesque histoire. Un seul point négatif, certaines nouvelles mon laisser un peut sur ma faim et peuvent provoquer un léger sentiment de frustration. Un livre a ne pas manquer.
3001 : l'odyssée finale
pedro il est bon ton café le 20/12/2010 : clarkissime
fan de starwars , passe ton chemin , tu as affaire à du sérieux , du consistant , du visionnaire , clarke part de bases réelles , pour te révéler ton avenir , j'espère que tu n'as pas le vertige ...;o)
La nef des fous
JMB le 20/12/2010 : Vivement recommandé
Le suspens est bien géré. On tourne la page tellement on est dévoré par l'envie de connaitre la suite. Un des meilleurs livre que j'ai lu.
Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)
fondation, ce n'est qu'un bout (le dernier) de l'histoire. ayant pratiquement lu tout ce qu'a écrit Asimov je ne saurais trop conseiller de tout lire de lui, si possible en commençant par ses premiers écrits (le grand livre des robots notamment) et vous verrez : c'est extaordinaire! Car tout s'enchaine avec une logique historique qui m'a coupé le souffle!
Le voyage dans le temps est un prétexte à cette superbe love story très bien écrite mariant journal intime et écriture épistolaire dans la narration.
C'est avec ce roman que j'ai découvert l'auteur qui est immédiatement devenu un de mes auteurs favoris (avec Stephen King). Il y a de nombreuses originalités dans ce roman et j'aime les surprises qu'on découvre au fil des pages. Par la suite, j'ai vu le film avec plaisir parce que très fidèle au livre :)
On pourra également faire le lien avec la série Comics Walking Dead ou l'auteur s'attarde d'avantage sur la psychologie des personnages que sur un véritable scénario.
Ca fonctionne super bien dans la bd...mais ça reste il est vrai un peu frustrant dans ce roman...
Un bon moment de lecture néanmoins.
Il en aura fallut du temps pour arriver a cette conclusion tant attendue, du temps et un sacré nombre de pages puisque chaque tome comprenait environ près de sept cents pages, ce qui est notable (même s’il existe plus long, j’en conviens). Mais le plaisir, et il fut grand, ressentit tout au long de la lecture de ce cycle, déjà présent au cours des trois premiers tomes aura une fois de plus été au rendez vous de ce final qui marquera incontestablement les esprits de tous ceux qui auront apprécié l’œuvre mystico-fantastique de Jérôme Camut. Bien évidement, qui dit dernier tome, dit forcement réponses a toutes les questions en cours, a toutes les intrigues, mais aussi, ne l’oublions, qu’adviendra t’il des protagonistes, et ils sont légions, que l’on suit depuis les débuts ou qui sont apparus en cours de route. Et forcement, pour ne pas déroger a la règle, je vous rassure tout de suite, Jérôme Camut va au bout des choses et le lecteur, sur ce point, sera amplement satisfait : s’il cherchait des réponses, cette fois ci, il les aura, toutes, ou presque, ce qui nous change de certaines œuvres au final plus ou moins obscur qui nous laisse un peu sur notre faim ; avec Malhorne, aucun soucis a l’horizon (car je part du principe qu’un individu normalement constitué, s’il n’apprécie pas un cycle n’ira normalement pas jusqu’au bout, a moins d’être limite « maso », mais bon, les cas existent), vous allez en avoir pour votre argent et ce quatrième tome vous comblera au moins sur ce point.
Oui, sur ce point car il y a tout de même un mais. Bien évidement, chacun peut se faire une idée selon ses propres gouts et aspirations à espérer une fin qui le comblera plus qu’une autre, bien évidement, cela n’arrive pas forcement toujours et ce fait ne peut remettre en cause la qualité intrinsèque d’une œuvre, que quelle soit. Cependant, dans le cas présent, je ne peux m’empêcher de souligner quelques points qui, a défaut de me faire changer d’avis quand a mon ressentit final, m’auront tout de même chagriné : tout d’abord, j’ai trouvé regrettable que, alors que Camut nous ait inventé tellement de protagonistes au fil des différents tomes (et en plus, il se permet le luxe d’en sortir d’autres, au demeurant pas franchement utiles, au contraire, dans ce dernier tome), ceux-ci soient expédiés ad-patres en quelques lignes au fil des pages ; si certains ont droit a un traitement de faveur quand a leur mort, pour d’autres, dont certains d’une importance non négligeable et ce depuis le début, ce n’est absolument pas le cas et l’on ne peut qu’en ressentir une déception certaine devant ce fait. D’autres, apparus au fil des tomes n’auront finalement eu qu’un intérêt relatif, où n’auront guère été développés, ce qui est selon moi dommageable. Bon, cela n’enlève en rien a la qualité finale de l’ensemble et l’on peut toujours se dire que la mort est ainsi, brutale, frappant sans prévenir et n’importe qui mais mon opinion restera que l’auteur aura par ce biais chercher la solution de facilité. Autre point négatif selon moi, certains coups de théâtre, certaines révélations ne m’auront pas franchement semblé utiles, en particulier quant à la « trahison » d’un personnage de premier ordre vu que cela n’apporte rien au récit en lui même. Mais sur ce point, je n’en dirais pas plus pour éviter de trop spoiler. Et pour finir, encore et encore : Non, mille fois non, Pedro Alvares Cabral ne s’appelle pas Pablo ! Comment faire une telle erreur et persister !?
Enfin bon, j’ai l’air de trouver tous les défauts du monde et de chipoter sur cette Matière des songes mais cela est également dut au fait que jusque là, j’avais un peu occulté les quelques points faibles de la série et que je tenais à me rattraper ; de plus, mettons les choses au point tout de suite : ces quelques défauts, au final, n’en sont pas moins mineurs et ce dernier tome est tout aussi bon que ses prédécesseurs, concluant magistralement une saga qui marquera indéniablement tous ceux qui auront pris la peine de la lire de bout en bout. Car les faits sont là, bruts et incontestables : Malhorne est une sacrée bonne série, comme on n’en fait rarement et qui mérite amplement que l’on y plonge. Jérôme Camut a vraiment réussi un fort joli coup, un beau mélange des genres où l’on retrouve pèle mêle tant d’éléments passionnants comme la vie après la mort, les dimensions parallèles, les secrets sur les religions, l’existence ou non de divinités, d’autres mondes, des sociétés secrètes, un brin de polar, de SF, de romance, d’Histoire, bref, un beau mélange des genres qui aurait put parfaitement foiré mais qui fonctionne de la plus belle des manières et qui tient en haleine le lecteur du début a la fin.
Alors, La matière des songes nous apportera finalement toutes les réponses que l’on attendait, il faudra dire adieu a bon nombre de personnages que l’on avait apprécié, et avec des coups de théâtre en pagaïe, dont un, tout bonnement exceptionnel et qui me laissa coït sur le coup, il faudra s’attendre au retour d’une vieille connaissance, un certain Malhorne qui n’aurait pas encore dit son dernier mot. Le final, surprenant de part ses implications et son déroulement en déroutera probablement plus d’un mais après coup, je l’aurais trouvé excellant, de même que les dernières pages qui nous laissent entendre que malgré tout, l’Histoire n’est qu’un eternel recommencement. Bref, que ceux qui hésiteraient à se plonger dans la lecture de Malhorne ne perdent plus une minute, cette tétralogie vaut largement le coup. Et le plus incroyable, et cela sera ma conclusion, c’est que Jérôme Camut, dans son œuvre, nous aura finalement proposé une théorie, si l’on met un peu de coté Zagul, le Dieu/Dragon (quoi que) et les civilisations parallèles, pas si stupide que cela au final : cette Aratta, cette eau source de vie, ces morts qui quelque part, seraient en nous ou tout recommence, où rien ne se perd, recommence, et ben, je ne sais pas mais cela ne m’a pas laissé indifférent, bien au contraire.
Six nouvelles incontournables du maître de la dark-fantasy. A ne rater sous aucuns pretextes . A lire en écoutant le call of cthulhu de Metallica (album-ride the lightning).
Premier grand space opera militaire, sans être vraiment militariste. On se sent immergé complètement dans l'ambiance et la grandeur de l'univers de lhistoire avec une civilisation extraterrestre très travaillée. Je le recommande très vivement.
Malgré un sujet mainte fois exploité dans la littérature horrifique (les zombies), Max Brooks arrive a nous surprendre avec sons world war z. Suites d'interviews de rescapés de la guerre humains-zombies, ce roman n'est qu'une suite de petite nouvelles formant une gigantesque histoire. Un seul point négatif, certaines nouvelles mon laisser un peut sur ma faim et peuvent provoquer un léger sentiment de frustration. Un livre a ne pas manquer.
fan de starwars , passe ton chemin , tu as affaire à du sérieux , du consistant , du visionnaire , clarke part de bases réelles , pour te révéler ton avenir , j'espère que tu n'as pas le vertige ...;o)
Le suspens est bien géré. On tourne la page tellement on est dévoré par l'envie de connaitre la suite. Un des meilleurs livre que j'ai lu.