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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


Duma Key
Très bien Sebkos le 29/06/2011 :

Un décor peu habituel chez le King, car cette fois-ci, c'est dans l'archipel des Keys que se déroule l'intrigue du livre !
Très loin de son Maine natal, il nous embarque dans une histoire où la peinture devient un tout autre art!!
L'auteur prend son temps, mais nous propose une histoire bien ficelée, avec des personnages attachants. A conseiller !



L'archipel du rêve
Incontournable  le 28/06/2011 : Des îles au large de l'espoir...

Ayant découvert il y a quelques années - en 1990, je crois - l'édition précédente de cet ouvrage, paru aux éditions JC Lattès - collection TitreSF sous une bien plus belle et sexy couverture que celle de Folio, je suis tombé amoureux de cet auteur dont j'ai lu tout ce qui est disponible en français, voire plus. Ce recueil de nouvel recelle des perles, comme "la Negation", qui fait écho à "The Affirmation" (la fontaine pétrifiante en VF) roman qui se passe aussi partiellement dans l'archipel, ou "Le Regard" et "la Crémation", où les sentiments et désirs humains, exacerbés par le climat des îles, créent des situations complexes.
Par rapport à l'édition que j'avais précédemment, il y a 3 nouvelles de plus.
La première, "L'instant équatorial", est assez anecdotique, bien qu'elle témoigne de l'étrangeté du lieu.
Le seconde nouvelle nouvelle est "La relique". Courte elle aussi, elle ne laissera pas non plus le même goût que les autres nouvelles du recueil car sa durée ne lui permet pas d'exprimer toutes ses potentialités. Elle demeure tout de même agréable. La dernière nouvelle "La libération" qui clôt le recueil est elle de taille plus conséquente, et plus similaires aux autres au niveau de la consruction. Très belle, à doubles sens, elle mérite le détour.
La traduction des autres nouvelles a été refaite, les textes originaux ayant été enrichis (principalement de références ou d'allusions à "l'instant équatorial") et parfois un peu remontés (à moins que les traducteurs aient fait n'importe quoi !).
Le français de la traduction de JCLattes étaient peut-être un peu plus riche, celui de Folio est plus nerveux... Les deux versions sont agréables, l'appréciation est ensuite une question de goût.
Ce livre est de toute façon un chef d'oeuvre, et je ne regrette pas de l'avoir en deux exemplaires !



La peau sur les os
Très bien pedro il est bon ton café le 22/06/2011 : cure d'amaigrissement

une simple malédiction et voila les kilos superflus qui s'en vont , puis les poignées d'amour , la brioche ..tout part , mais être trop maigre c'est la dernière étape avant la fin..stephen king bachman s'amuse dans cette nouvelle , pleine d'humour ou un notable grassouillet en voit de toutes les couleurs..



L'homme dans le labyrinthe
Très bien sethup le 18/06/2011 : ...excellent roman

qui mériterait bien de passer au step du scénario de film



Le monde inverti
Bien sethup le 18/06/2011 : ...inventivité *****

L'art de brandir devant soi ce qui semble être la dernière carotte en ce monde, de courir et courir comme un âne pour sa survie et de s'imposer à soi-même les souffrances physiques et morales à tourner et tourner perpétuellement en bourrique.



La foire des ténèbres
Incontournable Al le 18/06/2011 : A ne pas manquer !

J'ai lu ce bouquin quand j'avais quinze ans et l'ai relu quelques années plus tard en éprouvant toujours la même angoisse. Je recommande ce roman à ceux et celles qui ont tendance (comme moi) à avoir la frousse devant les éléments pseudo-enfantins détournés, type poupées, marionnettes, clowns, etc. Et la prose est très élégante, ce qui ne gâche rien.
Dans la même veine du conte angoissant, vous avez par exemple les mythiques "Alice au pays des merveilles" et "Pinocchio", ou encore "Coraline" de Neil Gaiman, et après avoir lu "La Foire des ténèbres", pour ceux qui auront aimé, je suggère "L'Homme illustré" (Ray Bradbury également).



Codex Merlin (2) - Le Graal de fer
Bien  le 12/06/2011 : Finalement, j'ai changé d'avis

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je dois vous faire une confidence au sujet de ce deuxième tome du Codex de Merlin ; il y a quelques années, encore tout enthousiasmer par son prédécesseur, Celtika, qui voyait le plus qu’utilisé Merlin (oui, celui des légendes arthuriennes) partir en vadrouille en pleine antiquité aux cotés d’un certain Jason (oui, celui des argonautes), je m’étais donc lancer dans sa suite, ce fameux Graal de fer et puis, comment dire, la déception avait été grande. Bien évidement, celui-ci n’était pas mauvais en soit, bien évidement, la lecture était toujours aussi agréable – et sur ce point, je pense ne pas me tromper en affirmant que le monde du merveilleux a énormément perdu avec le décès prématuré de Robert Holdstock – sauf que, malgré cela, le contenu de ce deuxième tome m’avait moins emballé. Etais ce en raison du fait, indéniable, que Jason et bien des protagonistes de Celtika avaient un rôle bien moins important, étais ce en raison que le juste milieu, trouvé par l’auteur dans le premier tome, entre univers celtique et grec (sans oublier le début qui lorgnait du coté des légendes finnoises) était cette fois ci aux abonnés absents, le coté celtique ayant définitivement pris le pas sur tout le reste, étais-ce aussi pour un final, que j’aurais souhaiter plus long, un peu de tout cela a la fois, sans nul doute. Ainsi, ce fut avec un sentiment de déception, réel malheureusement, que j’avais donc abandonner (en attendant de me plonger dans le troisième et dernier volume, Les royaumes brisées, que, pour la petite histoire, je ne découvre que maintenant) l’univers de Robert Holdstock, son Merlin dix fois millénaire, son Jason aux antipodes de celui de la légende, bien plus sombre, bien plus ambigu, quelque part, bien plus intéressant, et tout cet univers, pourtant passionnant au possible.


Vous comprendrez donc pourquoi, après tant d’années et surtout, après avoir relu Celtika, je n’étais pas très chaud avant de m’attaquer de nouveau au Graal de fer. D’ailleurs, je dois avouer que je n’attendais pas grand-chose de celui-ci ; oh, bien sur, je savais que cela restait tout de même un bon roman, sans nul doute, mais quoi qu’il en soit, inférieur de part mes goûts personnels, au premier tome. Or, et ce n’est pas la première fois que cela m’arrive, cette fois ci, suite a cette deuxième lecture du Graal de fer, mon sentiment a son sujet a complètement changé ; certes, pas au point de dépasser son prédécesseur dans la saga, mais mon opinion finale, autant que le plaisir et l’intérêt lors de la lecture de celui-ci a été, cette fois ci, complètement bouleversé. Comme quoi, si parfois, certains romans qui nous avaient emballés lors d’une première lecture s’avèrent finalement plus conventionnels et moins intéressants en soit par la suite, le contraire est aussi vrai, ce qui m’amène a dire qu’il faut toujours – sauf dans les cas les plus désespérés – donner une seconde chance aux œuvres, quelles qu’elles soient. Et force est de constater, que même s’il m’a fallut plusieurs années pour changer d’avis au sujet du Graal de fer, ce roman le méritait amplement.


Bien évidement, ce deuxième volume du Codex de Merlin possédait à la base quelques atouts non négligeables ; que ce soit son intrigue, toujours aussi bonne, ses protagonistes, anciens comme nouveaux, l’écriture, forcement, de Robert Holdstock, toujours détaillée, passionnante, mais aussi l’érudition de celui-ci, qui est tout bonnement phénoménale : l’on voit tout de suite que le bonhomme connaissait très bien son sujet et tout au long du récit, quel plaisir d’en apprendre autant sur cet univers celtique finalement peu connu du grand public. Et l’on touche la l’un des nœuds du problème du Graal de fer : bien évidement, tout le monde connaît les celtes, tout le monde a déjà entendu de la musique celtique – et même en être fan – mais le peuple celtique en tant que tel, ses coutumes, sa façon de vivre, de penser, ses légendes, ses Dieux, quid de tout cela ? Très peu ou presque. D’ailleurs, je ne m’en cache pas le moins du monde, même si je suis un féru d’histoire, même si j’adore les légendes, qu’est ce que je connais mal le monde celtique dans son ensemble, un peu comme si – comme tant d’autres – j’en étais resté a la vision toute romaine de ces peuples, des barbares. Du coup, c’est peut être cela qui m’avait le plus déplut lors de ma première lecture : dans Celtika, comme je vous l’ai dit précédemment, l’univers grec était encore très présent et comme je suis un féru et connaisseur des mythes et du monde grec mais aussi, comme le fait de lier Merlin a Jason m’avait enthousiasmer au possible, j’avais immédiatement accrocher au récit, prenant les a cotés celtes, pourtant très présents, comme la cerise sur le gâteau, avec son coté que je qualifierait d’exotique, mais aussi, comme un moyen d’en apprendre plus sur un sujet méconnus a mes yeux. Or, bien évidement, dans Le graal de fer, Jason – et avec lui l’univers grec – est beaucoup moins présent, voir absent, et, du coup, pénétrer aussi profondément dans ce monde celtique, avec ses légendes et ses coutumes, m’avait moins intéressé, d’où, probablement, une déception vis-à-vis de ce tome que je ne pouvais m’empêcher de comparer a son prédécesseur.


Mais, comme je vous l’ai dit, mon opinion a considérablement évoluée lors de cette seconde lecture et c’est donc en toute sincérité que je peux affirmer, sans exagérer, que Le graal de fer est un très bon roman. Et pour cela, sans nul doute, il aura fallut que je sache prendre mon temps, que je puisse apprécier chaque page, chaque paragraphe, chaque ligne de ce que nous a écrit Robert Holdstock, de s’imprégner d’un récit toujours aussi bien écrit, et, accessoirement, passionnant que son prédécesseur. Certes, cette fois ci, s’en est finis de la longue quête d’Argo qui mena nos protagonistes des terres finlandaises jusqu'à la Grèce en passant par Alba (la Grande Bretagne), le Danube etc. puisque la quasi intégralité du récit se déroule sur les terres du Roi Urtha, que nous avions laissé en fort mauvaise posture (comme d’autres protagonistes par ailleurs) a la fin de Celtika. Mais aussi, le surnaturel est cette fois ci beaucoup plus présent dans Le graal de fer, et c’est un formidable voyage dans les légendes celtes que nous offre l’auteur : entre cet étrange pays de l’ombre des héros, où se meuvent les morts et ceux a naître (et parmi lesquels se trouve un certain Pendragon), ces dieux méconnus, ces coutumes étranges, Robert Holdstock nous apprend beaucoup, par le biais de son récit, sur un peuple – ou plutôt sur un agglomérat de peuples – finalement méconnus, et c’est forcement un plaisir que je ne pourrais nier. Cependant, je ne vous en dirais pas plus, pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte, tout au plus, je me contenterais de citer quelques moments marquants, comme la rencontre de Merlin et des Trois de sinistre présages, la prise de la forteresse de Taurovinda, la rencontre avec Médée et, bien évidement, la dernière partie – hélas trop courte selon moi – où, à bord de l’Argo, Merlin, Jason et les autres explorent d’étranges iles dans ce fameux pays de l’ombre des héros.


Indéniablement, Le graal de fer, après cette relecture, m’apparaît comme un superbe roman, une suite dans la lignée de son prédécesseur (que je continue néanmoins a préféré) bien qu’assez différent par les lieux, bien évidement, mais aussi par le rythme tandis que de nouveaux personnages prennent de l’importance. Certes, l’on pourra déplorer certains raccourcis faciles ainsi que quelques passages qui auraient mérité un autre traitement, mais dans l’ensemble, il est difficile de ne pas accrocher a cette œuvre du regretté Robert Holdstock qui nous prouve une fois de plus son indéniable talent. Et, bien évidement, ce deuxième tome vient aussi démontrer et confirmer que Le Codex de Merlin est un superbe cycle qui mérite amplement le détour de part la qualité de l’écriture, ses personnages hauts en couleurs, son subtil et réussit mélange des genres mais également pour son non conformisme qui ose sortir des sentiers battus. Dommage hélas que la plus part des gens soient justement soient bien trop conventionnels pour l’apprécier a sa juste valeur.



Fight Club
Très bien  le 11/06/2011 :

Un livre court et sans temps mort, a propos de la volonté d'autodestruction pour cause de vie sans but. Se dévore avec plaisir.
A voir aussi l'excellent film de David Fincher, très fidèle au livre et tout aussi violent et fou.



Le troupeau aveugle (t1)
Incontournable  le 09/06/2011 : Fresque d'un futur possible

John Brunner, avec "Tous a Zanzibar", nous a montré qu'il savait être crédible et réaliste quand a l'anticipation de notre futur proche. Après la surpopulation, le point qui retient son intérêt pour "Le Troupeau Aveugle" est la pollution.

Un livre qui porte bien son nom. Ici, l'air des villes est corrompu, l'eau du robinet est empoisonné, et notre corps est en permanence confronté a la maladie. Tout cela n'est pas très gai. Mais par contre, c'est passionnant.
Avec cette constructrucon unique, ou il n'y a pas de héros mais des dizaines de destins entremêles, pas de chapitres, mais des tranches de vie, parfois très courtes, agrémentées de chansons, de publicités, ou d'articles de presse, Brunner nous immerge dans son futur possible. Possible, oui, car ce futur est tout proche, extrêmement bien documenté et tout sauf invraisemblable. On pourrait croire que ce partit pris narratif empêche l’immersion, mais c'est tout le contraire, on en est que mieux plongé dans les enjeux et l'abondance de points de vues donne une richesse inégalable au livre.

Un livre sombre, qui n'est pas de la science fiction mais de l'anticipation, et qui nous fait regarder d'un oeil suspect tout les objets et produits "modernes" qui nous entourent.



L'assassin royal (01) - L'apprenti assassin
Bien Ksass`Peuk le 09/06/2011 : Ouais ouais ouais

Personnellement, je me contenterais d'une note moyenne.

Si les personnages et l'histoire sont attachants tous les deux et que l'on veut absolument connaitre la fin, il y a quand même un bon nombre de passage qui traînent en longueur et où il ne se passe rien ou peu de chose.
Le héros n'est pas parfait, cela lui donne un caractère plus humain mais finalement on se dit qu'avec toutes les erreurs qu'il fait (parce que finalement il fait limite que ça) il ne réussit à résoudre ses problèmes que par fuite et par chance.
Au fil des tomes on se rend même compte qu'avec tout ce qu'il lui arrive il devrait juste ressembler à un tas de viande informe à la fin, et pourtant non il survit.
En gros cette saga plait mais on reste sur sa faim parce que le héros ne devient à aucun moment une force importante, il n'a aucun prise sur les évènements.
Dommage donc ...





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