du grand vance, tout y est, l'Aventure les personnages,le suspens,les environnements grandioses decrit a la perfection, un des meilleurs Vance sans hesitation.
Voyage au centre de la terre
leo le 29/02/2012 :
sans doute pas le plus exaltant des romans de jules verne, mais la magie opere toujours.
Les fourmis (1) - Les fourmis
stef le 27/02/2012 : La relève n'est pas encore assurée
Quand on lit ce bouquin on se dit que les ricains et les angliches n'ont pas trop d'efforts à faire pour tenir le hall of fame de la littérature de l'imaginaire.
Passons sur la désastreuse qualité de la narration et imaginons que l'histoire relève le niveau...
...
...
Non désolé le scénario ne relève pas le niveau.Pire il enfonce des portes ouvertes et vous rapellera un mauvais épisode d'une mauvaise série.
C'est d'une nullité à faire palir un geek adolescent.
Il ne se passe rien, il n'y a aucun suspens et il faudrait peu d'imagination au lecteur pour ne pas deviner la fin de l'histoire dès lecture du premier chapitre. La fin du livre vous provoquera vomissements et nausées(on dit qu'il serait la vrai cause de la séparation du groupe noir désir...).
Werber poursuivra dans cette veine pitoyable avec ses livres suivants (voir le merveilleusement navrant thanatonautes...) créant ainsi un style nouveau : le roman gastro-entéritique.
A proscrire sous peine de dévelloper une idée indigne de la sf, vertiges, herpès labial, tendances suicidaires et psychoses.
Cycle de Tschaï
axus le 25/02/2012 :
maitre de la sf, imagination debordante et surtout un vrai ecrivain avec enormement de qualité, ce qui n'est pas toujours le cas dans la sf.
Le lion de Macédoine (1) - L'enfant maudit
Clément. M le 17/02/2012 : Incontournable
Parmi les seuls à ne pas avoir été publié dans la splendide édition Bragelonne, "Le Lion de Macédoine" est un cycle qui est passé un peu inaperçu dans l'oeuvre (imposante) du maître de l'Heroïc Fantasy David Gemmell. Dans celle-ci, on ne retrouve pas les grandes batailles dantesques qui ont fait sa gloire, cette série est plus penchée sur la Grèce Antique, son analyse, et puis un portrait fouillé de personnages historiques (Leonidas, Philippe de Macédoine, Parménion, Alexandre le Grand) que Gemmell reprend à son compte pour les faire siens.
Celui-ci se passe pour grande partie à Sparte, qui est la cité la plus puissante de Grèce depuis sa victoire sur Athènes.
Nous suivons l'itinéraire de Parménion, jeune guerrier spartiate, haï pourtant dans cette cité car il est moitié macédonien. Et puis il y a l'histoire d'amour très tragique qui fait tout basculer, et Parménion va tracer sa route seul.
La magie n'est encore qu'esquissée, avec le personnage de Tamis, sorcière qui a beaucoup qu'on retrouve par ailleurs sous d'autres noms dans d'autres oeuvres de Gemmell, et qui peut voir les avenirs possibles. Elle pressent le destin de Parménion, promit à un grand avenir, et à une lutte contre l'Esprit du Chaos, lutte qui viendra dans la suite. La fin du livre nous laisse en plein suspense; et même (c'est dommage) nous coupe en pleine action, non pas par la volonté de l'auteur, mais par le découpage qu'en ont fait Folio SF pour faire 4 livres au lieu de 2. Petit bémol insignifiant au final, il est juste plus sympathique d'acheter directement les deux premiers pour s'éviter une rupture dans l'action.
Je conseille donc ce livre à tous les amoureux de la Fantasy, comme à tous les amoureux de la Grèce antique, comme à tous les amoureux des romans d'initiation, comme à tous les amoureux d'intrigue politique. soulignons au passage la justesse historique de cette saga, pour laquelle Gemmell a énormément fait de travail en amont. Encore un chef-d'oeuvre du maître !
Blade runner
Clément. M le 15/02/2012 : Puissant
On connaît peu le livre Blade Runner, dont le titre est en réalité "Do The Androïd Dream of Electic Sheep ?" (en français : Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques), et qui a été éclipsé par le superbe film de Ridley Scott, désormais classique du cinéma (et pas seulement de la science-fiction).
Mais ce livre est bel et bien à lire, car il porte en lui tout ce qui fait un superbe opus de science-fiction, avec en plus la touche dickienne, mystique et dérangeante. Ici, les questions principales sont celles de la conscience : est-ce qu'un androïde qui possède une intelligence, fait des rêves, peut ressentir de l'amour, est considérable comme un être humain ? (Ce thème sera aussi repris par Kubrick et Arthur C. Clarke pour faire "2011 : l'Odyssée de l'Espace", avec le robot HAL) Mais on y trouve aussi des scènes à couper le souffle, dont la mythique scène dans l’ascenseur, vers le milieu du roman, où Deckard ne se trouve avec un autre Blade Runner, qu'il soupçonne d'être un androïde, alors que l'autre Blade Runner soupçonne Deckard lui-même d'être un androïde. Dick y maîtrise l'art de suspense et de la tension.
Tous ceux qui s'attendent à trouver un livre semblable au film (généralement on voit le film avant ; c'était mon cas) seront déçus, car les deux n'ont strictement rien à voir. (D'ailleurs, la scène de l'ascenseur dont j'ai parlée plus haut ne se trouve pas dans le film, alors qu'elle aurait été d'anthologie,à n'en pas douter.) Dick s'occuper plus à rendre les émotions de ses personnages, à comprendre comment réfléchiront les humains du futur, qu'elles seront leurs réactions, leurs désirs, leurs rêves. Nous sommes dans un roman très psychologique, parfois mystique, et en tout cas très philosophique. Je le conseille à tous !
Cycle Les Guerres Wess'Har (1) - La Cité de perle
Jérémy le 14/02/2012 : Bien
Une histoire assez simple. Une communauté d'humains arrivent sur une planète déjà habitée et qui risquent à tout moment de déclencher une guerre terrifiante. Le rythme est un peu lent. La psychologique des personnages est bien trop présente. A lire pour ceux qui aiment la science-fiction.
Brebis galeuses
stef le 13/02/2012 : Comme il est gentil le livrounet
Un livre pas bien méchant, qui fait pas mal aux neurones. Il y a des idées mais qui malheureusement ne sont que naissante. Les personnages sans être invisibles sont fades.
Reste un scénario prévisible et des rebondissements attendus. Un roman de gare à lire en deux jours en période d'inactivité ou de constipation sérieuse. Sf d'un autre temps.
Camp de concentration
stef le 13/02/2012 : Diahrrée cérébrale.
Affligeant de pompe et de prétention. Verbeux et prétentieux disch gâche son histoire en élevant tellement le propos qu'il faut un bac +70 si on ne veut pas passer son temps à chercher les trop nombreuses références obscures dans des livres de philo, histoires appliquées ou théologie. Arrive ce qui doit arriver. On se lasse bien vite à rechercher la trace du récit dans ce salmigondis snobinard.
A réserver donc aux intellos fumeux disposant d'une bibliothèque de référence se composant au minimum de 35 millions d'entrées.
Pour les autres... bonne chance. Dieu vous garde.
Cristal qui songe
stef le 13/02/2012 : Enfantin
Un très beau livre souvent cruel envers les personnages qui l'habitent. Allégorie du passage à l'age adulte et du droit à la différence.
Le livre a peut être mal vieilli mais il n'en demeure pas moins un des grands classiques de la SF dont la divine substance a été réutilisée maintes fois par maints auteurs.
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du grand vance, tout y est, l'Aventure les personnages,le suspens,les environnements grandioses decrit a la perfection, un des meilleurs Vance sans hesitation.
sans doute pas le plus exaltant des romans de jules verne, mais la magie opere toujours.
Quand on lit ce bouquin on se dit que les ricains et les angliches n'ont pas trop d'efforts à faire pour tenir le hall of fame de la littérature de l'imaginaire.
Passons sur la désastreuse qualité de la narration et imaginons que l'histoire relève le niveau...
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Non désolé le scénario ne relève pas le niveau.Pire il enfonce des portes ouvertes et vous rapellera un mauvais épisode d'une mauvaise série.
C'est d'une nullité à faire palir un geek adolescent.
Il ne se passe rien, il n'y a aucun suspens et il faudrait peu d'imagination au lecteur pour ne pas deviner la fin de l'histoire dès lecture du premier chapitre. La fin du livre vous provoquera vomissements et nausées(on dit qu'il serait la vrai cause de la séparation du groupe noir désir...).
Werber poursuivra dans cette veine pitoyable avec ses livres suivants (voir le merveilleusement navrant thanatonautes...) créant ainsi un style nouveau : le roman gastro-entéritique.
A proscrire sous peine de dévelloper une idée indigne de la sf, vertiges, herpès labial, tendances suicidaires et psychoses.
maitre de la sf, imagination debordante et surtout un vrai ecrivain avec enormement de qualité, ce qui n'est pas toujours le cas dans la sf.
Parmi les seuls à ne pas avoir été publié dans la splendide édition Bragelonne, "Le Lion de Macédoine" est un cycle qui est passé un peu inaperçu dans l'oeuvre (imposante) du maître de l'Heroïc Fantasy David Gemmell. Dans celle-ci, on ne retrouve pas les grandes batailles dantesques qui ont fait sa gloire, cette série est plus penchée sur la Grèce Antique, son analyse, et puis un portrait fouillé de personnages historiques (Leonidas, Philippe de Macédoine, Parménion, Alexandre le Grand) que Gemmell reprend à son compte pour les faire siens.
Celui-ci se passe pour grande partie à Sparte, qui est la cité la plus puissante de Grèce depuis sa victoire sur Athènes.
Nous suivons l'itinéraire de Parménion, jeune guerrier spartiate, haï pourtant dans cette cité car il est moitié macédonien. Et puis il y a l'histoire d'amour très tragique qui fait tout basculer, et Parménion va tracer sa route seul.
La magie n'est encore qu'esquissée, avec le personnage de Tamis, sorcière qui a beaucoup qu'on retrouve par ailleurs sous d'autres noms dans d'autres oeuvres de Gemmell, et qui peut voir les avenirs possibles. Elle pressent le destin de Parménion, promit à un grand avenir, et à une lutte contre l'Esprit du Chaos, lutte qui viendra dans la suite. La fin du livre nous laisse en plein suspense; et même (c'est dommage) nous coupe en pleine action, non pas par la volonté de l'auteur, mais par le découpage qu'en ont fait Folio SF pour faire 4 livres au lieu de 2. Petit bémol insignifiant au final, il est juste plus sympathique d'acheter directement les deux premiers pour s'éviter une rupture dans l'action.
Je conseille donc ce livre à tous les amoureux de la Fantasy, comme à tous les amoureux de la Grèce antique, comme à tous les amoureux des romans d'initiation, comme à tous les amoureux d'intrigue politique. soulignons au passage la justesse historique de cette saga, pour laquelle Gemmell a énormément fait de travail en amont. Encore un chef-d'oeuvre du maître !
On connaît peu le livre Blade Runner, dont le titre est en réalité "Do The Androïd Dream of Electic Sheep ?" (en français : Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques), et qui a été éclipsé par le superbe film de Ridley Scott, désormais classique du cinéma (et pas seulement de la science-fiction).
Mais ce livre est bel et bien à lire, car il porte en lui tout ce qui fait un superbe opus de science-fiction, avec en plus la touche dickienne, mystique et dérangeante. Ici, les questions principales sont celles de la conscience : est-ce qu'un androïde qui possède une intelligence, fait des rêves, peut ressentir de l'amour, est considérable comme un être humain ? (Ce thème sera aussi repris par Kubrick et Arthur C. Clarke pour faire "2011 : l'Odyssée de l'Espace", avec le robot HAL) Mais on y trouve aussi des scènes à couper le souffle, dont la mythique scène dans l’ascenseur, vers le milieu du roman, où Deckard ne se trouve avec un autre Blade Runner, qu'il soupçonne d'être un androïde, alors que l'autre Blade Runner soupçonne Deckard lui-même d'être un androïde. Dick y maîtrise l'art de suspense et de la tension.
Tous ceux qui s'attendent à trouver un livre semblable au film (généralement on voit le film avant ; c'était mon cas) seront déçus, car les deux n'ont strictement rien à voir. (D'ailleurs, la scène de l'ascenseur dont j'ai parlée plus haut ne se trouve pas dans le film, alors qu'elle aurait été d'anthologie,à n'en pas douter.) Dick s'occuper plus à rendre les émotions de ses personnages, à comprendre comment réfléchiront les humains du futur, qu'elles seront leurs réactions, leurs désirs, leurs rêves. Nous sommes dans un roman très psychologique, parfois mystique, et en tout cas très philosophique. Je le conseille à tous !
Une histoire assez simple. Une communauté d'humains arrivent sur une planète déjà habitée et qui risquent à tout moment de déclencher une guerre terrifiante. Le rythme est un peu lent. La psychologique des personnages est bien trop présente. A lire pour ceux qui aiment la science-fiction.
Un livre pas bien méchant, qui fait pas mal aux neurones. Il y a des idées mais qui malheureusement ne sont que naissante. Les personnages sans être invisibles sont fades.
Reste un scénario prévisible et des rebondissements attendus. Un roman de gare à lire en deux jours en période d'inactivité ou de constipation sérieuse. Sf d'un autre temps.
Affligeant de pompe et de prétention. Verbeux et prétentieux disch gâche son histoire en élevant tellement le propos qu'il faut un bac +70 si on ne veut pas passer son temps à chercher les trop nombreuses références obscures dans des livres de philo, histoires appliquées ou théologie. Arrive ce qui doit arriver. On se lasse bien vite à rechercher la trace du récit dans ce salmigondis snobinard.
A réserver donc aux intellos fumeux disposant d'une bibliothèque de référence se composant au minimum de 35 millions d'entrées.
Pour les autres... bonne chance. Dieu vous garde.
Un très beau livre souvent cruel envers les personnages qui l'habitent. Allégorie du passage à l'age adulte et du droit à la différence.
Le livre a peut être mal vieilli mais il n'en demeure pas moins un des grands classiques de la SF dont la divine substance a été réutilisée maintes fois par maints auteurs.