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Le roi d'Août
Incontournable  le 25/04/2012 : Une excellente surprise !

Après avoir voyagé du coté de la Mer noire en quête de la mystérieuse et légendaire civilisation de l’Atlantide dans un roman, Atlantis, malheureusement pas a la hauteur de ce que j’en attendais, j’ai décidé de replonger dans une lecture plus fantastique, matinée de fantasy, l’excellent ouvrage de Michel Pagel, Le Roi d’août. Datant du début d’année 2005, cet ouvrage, peu connu du grand public mais assez apprécier de la part des amateurs qui s’y sont essayer, était sur mes tablettes depuis pas mal de temps ; en ayant entendu parler depuis une bonne année, ou plus, j’avais été immédiatement attiré par son synopsis pour le moins peu commun – le Roi de France, Philippe Auguste, et par la même, toute la lignée capétienne, posséderait des origines non humaines – et qui m’avait suffisamment intrigué pour je me décide, tôt ou tard, a m’y attaquer, surtout que les quelques critiques que j’avais put lire a l’époque au sujet de cette œuvre, étaient pour le moins ditirambiques, ce qui me semblait être un gage de qualité certain et ce, même si le risque que ce roman ne me plaise pas, reste une possibilité, quoi que mineure. Bien évidement, entre le moment où j’ai découvert cet ouvrage, et celui où je me suis décider à le lire, beaucoup d’eau à couler sous les ponts (comme d’habitude pourrais-je ajouter), mais s’il m’a fallut de longs mois avant que je ne m’y lance, la lecture de ce Roi d’août aurait été effectué en presque une traite, tant celui-ci m’aura plu.


Car après tout, pourquoi le cacher plus longtemps ? Oui, j’ai aimé, que dis-je, j’ai adoré Le Roi d’août au point de le dévoré passionnément, et en très peu de temps, signe que celui-ci m’avait tellement captivé que j’avais le plus grand mal a le lâcher des mains. Il faut dire que dans cette œuvre, Michel Pagel a fait très fort, nous offrant la un magnifique roman comme on n’en fait que bien trop rarement a mon gout. Tout d’abord, son synopsis : comme je vous l’ai dit précédemment, si celui-ci peut paraître pour le moins singulier et pouvait être assez casse-gueule en soit (vous imaginez tous les rois de France avec des ancêtres à chercher du coté des fées, des nymphes, des ondines etc. ?), l’auteur malgré cela réussit le tour de force de nous le rendre presque crédible, ce qui est une gageure. Ainsi, en lisant ce Roi d’août, j’avais presque l’impression, lors des quelques passages qualifiés de « merveilleux », que tout cela était réel, qu’en fait, plus qu’un roman, j’avais à faire a la biographie de Philippe Auguste. Sincèrement, ce subtil mélange entre véracité historique et fantastique, je ne l’avais trouvé, dans mes lectures, qu’une seule fois : le cycle du Livre de Cendres de Mary Gentle il y a quelques années, et encore, pas aussi poussé que cette fois ci. Car avant toute chose, il faut que le futur lecteur, éventuellement intéressé par une lecture de ce Roi d’août soit prévenu que cette œuvre pourrait parfaitement être qualifiée de roman historique avant tout autre chose. En effet, comment ne pas saluer l’ensemble du travail de recherche de Michel Pagel pour nous retranscrire, a sa façon bien entendu, la vie de celui qui fut l’un des plus grands et importants rois de France, même si de nos jours, celui-ci est un peu oublié par l’histoire. Car à la lecture de ce Roi d’août, ce qui ressort en premier lieu, c’est cette impression que Philippe Auguste en personne nous narre sa vie, avec ses craintes et ses espoirs, ses secrets et son ambition, ses hauts faits ainsi que ses actions plus honteuses, mais aussi, forcement, l’histoire de son règne, de son royaume – au départ quasiment limité au bassin parisien et a la fin, proche de la France que l’on connaît aujourd’hui – des coutumes de l’époque, de ces figures marquantes etc. comme dans le meilleur des livres d’histoires. Et a ce propos donc, deux choses : tout d’abord, comme je l’ai dit, chapeau bas a Michel Pagel pour son travail de documentation, l’on sent qu’il n’a pas pris la chose a la légère ; deuxièmement, que tous ceux qui sont allergiques aux récits historiques ne prennent pas la fuite : Le Roi d’août est avant toute chose un excellent roman, captivant au possible mais aussi… emprunt de fantasy, ne l’oublions pas. Celle-ci, peu présente tout le long des sept cent et quelques pages, n’en reste pas moins l’élément principal du récit et c’est elle – les fameuses origines du roi – qui marquent le déroulement des événements qu’on y découvre : ainsi y sont expliquées les vertus guérisseuses que l’on prêtait autrefois aux rois de France mais aussi l’étrange pour ne pas dire incompréhensible comportement de Philippe Auguste a l’encontre de sa seconde épouse, la Reine Ingeborg du Danemark, encore mystérieux de nos jours, et auquel Michel Pagel, bien entendu, trouve une explication, l’un des éléments les plus importants du roman. Du coup, plus qu’un simple roman historique qui aurait put en effrayer plus d’un, Le Roi d’août est bel et bien un ouvrage fantastique et où il est parfois bien difficile de deviner si tel fait relater a bel et bien eu lieu ou pas.


D’ailleurs, l’un des plus grands plaisirs que j’ai éprouver lors de la lecture de cet ouvrage, ce fut justement cela : vérifier si les faits relatés dans Le Roi d’août étaient réels ou non. Oh bien sur, pas ses origines, les fées, les elfes etc. mais tout le reste : ses relations avec ses épouses, surtout Ingeborg, avec les Plantagenêt et sa rivalité avec Richard cœur de lion, ses problèmes avec la papauté, les croisades, ses proches, les nombreuses figures citées tout le long du récit, et le plus surprenant, c’est que tout cela était exact. Certes, écrit a la façon de Michel Pagel, mais au point qu’on puisse presque dire que, quelque part, Le Roi d’août est un roman historique… matinée de fantasy, cela va de soit. Du coup, comment vouliez vous qu’une telle œuvre ne me plaise pas ? Prenez tout un tas d’éléments dont je ne me lasse pas comme l’histoire, surtout une période que je ne connais pas forcement bien, ce qui est le cas du règne de Philippe Auguste, ajouter a cela un soupçon de fantastique qui ne dénote pas trop ainsi qu’une qualité d’écriture qui vient rehausser le tout et j’obtient, au final, l’une de mes meilleurs lectures de l’année (une de plus) et qui en plus, m’aura pousser a me documenter un peu sur les protagonistes du roman, histoire d’en savoir plus sur eux. Indéniablement, Michel Pagel a fait très fort avec son Roi d’août, ce subtil mélange entre réalité historique et fantasy tellement plus intéressants que la fantasy commerciale sans saveur et qui nous submerge avec tant d’œuvres bien trop fades, et bien évidement, je ne peux que conseiller sa lecture a tous et a toutes.



La forêt des Mythagos (4) - La porte d'Ivoire
Bien  le 25/04/2012 : Une conclusion sympa

Tout d’abord, une petite précision s’impose vis-à-vis du résumé de couverture que l’on peut lire ci-dessous : comme chacun sait, pour ce qui est d’une suite au cycle de La forêt des mythagos, l’on peut enlever définitivement le mot « provisoirement », Robert Holdstock nous ayant quitté il y a quelques années suite a une infection par la tristement célèbre bactérie E. coli. Pourtant, en lisant il y a quelques semaines une ancienne interview (datant tout de même d’il y a, si ma mémoire ne me fais pas défaut, d’environ cinq ou six ans) de l’auteur, celui-ci escomptait revenir tôt ou tard sur ce cycle qui fit sa célébrité. Bien évidement, cet énième tome avec sa nouvelle intrigue, ses idées et ses protagonistes restera a jamais lettre morte, on peut bien sur le regretter, mais est ce que cela aurait apporté quelque chose de plus a cet excellant cycle de Fantasy moderne, personnellement, je ne le sais pas, le contraire pouvant être également une possibilité. Surtout que, je le reconnais, si les deux premiers tomes de La forêt des mythagos m’avaient tout bonnement enchanter, le troisième m’avait un peu laisser sur ma faim, et ce, même si je lui reconnaissais quelques qualités qui en faisaient tout de même un bon roman ; quand en est-il de ce quatrième et dernier tome qui conclut le cycle ? Est-il dans la même lignée des deux premiers ou bien, hélas, se rapprocherait-il plus de son prédécesseur immédiat. C’est la question que je vais essayer de vous répondre au mieux ci-dessous.


Il y a tout juste un an, les mois estivaux avaient été consacrés –d’un point de vue lecture – a la lecture du célébrissime chef d’œuvre d’Isaac Asimov, Fondation ; cette fois ci, je me suis lancer dans un autre grand cycle de la littérature fantastique, La forêt des mythagos. Bien que bien moins connu du grand public voir même des amateurs du genre en règle général, l’œuvre de Robert Holdstock, une fois que l’on l’aborde (et que, bien évidement, nous plaise) fait indéniablement partie de celles qui marquent forcement une vie, rien que ca. Enfin, c’est mon avis. Quoi qu’il en soit, après un premier volume tout bonnement époustouflant, tant de part son synopsis de base qui révolutionnait le genre mais aussi de part son intrigue, puis, ensuite, avec un pur joyau d’écriture, le complexe et redoutable Lavondyss qui magnifiait le genre, je dois reconnaître que la suite, Le passe broussaille, malgré un récit toujours intéressant, m’avait un peu laissé sur ma faim : certes, l’auteur prolongeait l’exploration du bois de Ryhope avec de nouveaux protagonistes et on en apprenait un peu plus sur les énigmes de cette ancienne forêt primaire. Cependant, certaines choses m’avaient déplu, comme le fait, pas forcement toujours expliqué par ailleurs, que les chercheurs du troisième tome en savent autant sur, a la fois les Huxley (encore, a la rigueur) mais surtout, sur la jeune Tallis qui, pour ceux qui ont lu Lavondyss, n’avait laissée aucune trace de ses pérégrinations a Ryhope. Dans ce dernier tome, intitulé La porte d’ivoire (mais qui possède un deuxième récit, La femme des neiges), Holdstock nous offre une préquelle des événements en se réintéressant a la famille Huxley.


A la base, je le reconnais, je n’étais pas forcement contre le fait que dans cet ultime tome de la série, l’intrigue principale soit consacrée a l’autre frère Huxley, le terrible (pour ceux qui connaissent) Christian. Même si j’étais un peu dubitatif quand a cela – en temps normal, je ne suis pas très « préquelles » - j’ai débuté la lecture des dernières aventures se déroulant dans le bois de Ryhope de façon optimiste. Pourtant, des le début, je m’étais tromper : imaginant que l’on suivrait les péripéties de Christian après le retour de son frère dans la demeure familiale (et donc, après la mort de la belle Guiwenneth, enfin, de sa propre version de celle-ci) et que, du coup, on découvrirait comment celui-ci était devenu le meurtrier implacable qui avait donner bien du fil a retorde a Steven dans le tome un, telle ne fut pas ma stupéfaction en découvrant qu’en fait, le récit de La porte d’ivoire nous narrerait une aventure totalement inédite et, accessoirement, inconnue, de Christian, avant même que son frère ne rentre de son exil en France a l’issu du conflit mondial de 39/45. Et le problème qui c’est alors posé a moi, c’est qu’a la base, toutes ces péripéties (et elles sont nombreuses) n’existaient absolument pas lors de la parution, bien des années auparavant, de La forêt des mythagos (le premier tome, pas le cycle) et que, du coup, tout cela me semble un peu trop tiré par les cheveux, ce qui a nuit a mon intérêt lors de la lecture du récit. Bien sur, l’on me rétorquera que Christian aurait put cacher tous ces événements a son frère (d’ailleurs, après coup, c’est le cas) et que tout cela peut se tenir ; je suis plus ou moins d’accord avec cela mais bon, tout en reconnaissant que, dans le fond, ce récit de La porte d’ivoire est tout de même très bon en soit et que je n’en ai pas perdu une miette, mon plaisir en a tout de même été gâcher par ce coté « ajouter » assumé par l’auteur. Et puis, devoir se taper encore une énième version de Guiwenneth, ca commence à faire beaucoup ; j’ai compté : une sur pour le père, deux apparemment pour Christian plus celle de Steven, décidément, les Huxley ne peuvent pas se passer de la rousse celtique incendiaire.


Enfin bon, quoi qu’il en soit, La porte d’ivoire est tout de même un bon récit, l’intrigue est pas mal, les protagonistes également de même que les nouvelles idées proposées et quelques révélations sur la mort de l’épouse de George Huxley mais aussi et surtout, sur les responsabilités de celui-ci, mais aussi, qui sait, ses erreurs, dans pas mal d’événements a venir. A cela, ajouté de nouveaux mythes plutôt bien trouvés et une certaine mélancolie tout au long du texte et au final, il me semble que, malgré mes réticences sur certains points, La porte d’ivoire mérite que l’on s’y attarde. Mais ce n’est pas tout puisque dans l’édition Folio (celle que je possède), un second texte vient conclure définitivement le cycle : La femme des neiges. Ici, Robert Holdstock nous entraine encore plus loin dans le passé du clan Huxley puisque cette fois ci, le protagoniste principal est le père, du temps où ses fils étaient tout jeunes. Le récit est intéressant, se lit plutôt bien mais il est tout de même curieux, surtout après c’être taper le papa Huxley limite sadique sur les bords juste avant, d’avoir ici une version presque édulcorée vis-à-vis de ce que l’on sait de lui. Bien évidement, il changea par la suite, et en mal, mais bon, cette différence (par ailleurs compréhensible) était bizarre a la lecture. Mais là où cela pouvait s’expliquer d’un point de vu narratif, je n’en dirais pas autant de son épouse, qui en sait beaucoup sur les travaux de son mari dans ce texte, chose qui, il me semble, n’était pas vraiment le cas jusque la. Bon, bien entendu, le tout dernier paragraphe pourrait nous éclaircir sur ce point mais bon, j’ai trouvé cela curieux.


Quoi qu’il en soit, ce dernier tome de La forêt des mythagos conclu assez bien le cycle et ses deux textes qui le composent, La porte d’ivoire et La femme des neiges, bien que de qualité et d’intérêt inégal selon moi (j’avoue avoir une nette préférence pour le premier), sont en tout cas suffisamment captivants et possèdent suffisamment de qualités pour ravir l’amoureux du cycle. Forcement, on est bien loin du souffle épique du tout premier tome, de même, nous sommes à milles lieux de l’excellence d’un Lavondyss, cependant, dans un tout autre genre, j’ai parfois retrouver, par moments, certaines situations, personnages etc. qui sentaient bon les senteurs des premiers volumes du cycle. Je suis donc venu à bout de La forêt des mythagos, vieux cheval de bataille personnel sur mes tablettes depuis des années et sincèrement, j’ai vraiment apprécié ce cycle ; je connaissais Robert Holdstock grâce au Codex Merlin, mais ici, tout est sublimer, tant de part les idées proposées, les personnages, les thèmes abordés. Bien entendu, tout n’est pas parfait et la lecture est parfois un petit peu ardue, mais dans l’ensemble, entre deux tomes tout bonnement exceptionnels (les deux premiers), un tout juste bon (le troisième) et un dernier un peu mieux, nous avons la, incontestablement, l’un des plus grands cycles de la fin du vingtième siècle. Bien sur, La forêt des mythagos sortant complètement des sentiers battus, et surtout, étant tout sauf conventionnel (donc peu vendeur), ce cycle est bien moins connu que beaucoup d’autres, bien plus accessibles pour le grand public, mais si vous êtes un fou de vieilles légendes, de personnages mythiques, si des termes comme « archétypes » ou « conscience collective » ne vous effraie pas, mais aussi d’une certaine poésie, de récits plus contemplatifs, d’un style d’écriture rechercher et si, vous promener dans les bois fais partie de vos hobbys, alors, il se pourrait que vous aussi, vous succombiez a La forêt des mythagos ; le problème, c’est qu’ensuite, il pourrait vous arriver la même chose qu’a moi : regardant une quelconque forêt, hésiterez vous a la pénétrer de peur de ne plus en ressortir ou d’y passer des années ?



Intégrale raisonnée des nouvelles (1) - Axiomatique
Incontournable Vince le 22/04/2012 : Génial

18 nouvelles, et elles sont toutes géniales. Greg Egan a des idées, sait les étoffer et les écrire. A lire.



Jack Faust
Incontournable Akoibon le 21/04/2012 : Un petit bijoux

Honnêtement, après avoir pas mal bourlingué dans la Science-fiction, je dois reconnaitre que ce livre est un des meilleurs du genre, en tout cas qu'il m'ait été donné de lire.
Attention ! Il ne s'agit pas d'un roman facile. L'histoire est relativement longue et centrée autour des mêmes personnages, qui ne sont eux-même pas les éléments clefs de l'intrigue. Les références à des oeuvres classiques (dont le Faust original de Goethe) parsème le livre, et je recommande d'avoir quelques notion d'économie politique et de sciences en général pour pouvoir saisir toute la finesse de l'oeuvre.
En fait, il paraît difficile de vouloir catégoriser ce moment. Se passant dans un monde extrêmement proche du notre, on pourrait penser à une uchronie, mais l'Histoire, même avancée, ne s'en trouve pas moins répétée. Le côté très scientifiques et très rigoureux dans la façon dont se déroule les évennements (200 siècle d'innovations et de capitalisme, le tout résumé en une centaines de pages). Je pencherais plutôt pour le genre Steampunk, même si le côté "féérique" que l'on trouve parfois dans ce genre est remplacé pour une ambiance implacable et glacée.
C'est réellement une oeuvre à lire. Vous y trouverez une finesse d'écriture et une histoire incroyablement bien ficelée. Ce qui est d'autant plus remarquable, quand on s'attaque à revisiter un classique éternel de la littérature à travers la SF. Une oeuvre qui mériterait largement d'être intégrer au panthéon des classiques.



Le dernier souffle (1) - Le Don
Très bien ulrich le 19/04/2012 :

je viens de commencer ce livre et je me suis transpoter directement dedans, impossible de poser le livre, on trouve de tout indrigue, meurtre, complot, amour bref tout ce qui fait qu'un livre est passionnent. Franchement c' est un livre qu'il faut lire dommage que l'on ne trouve plus la trilogie compléte en magasin. Vivement que je lise le tome 2



Cycle Les Bannis et les Proscrits (1) - Le Feu de la Sor'cière
Incontournable  le 19/04/2012 :

j'ai adoré ce livres, j'ai lu les 5 tomes, c'était la première fois que je lisais de la fantaisy et je crois que ce livre m'a rendu accro



La chute des mondes (1) - La chute des mondes
Très bien Alan le 18/04/2012 : Passionnant...

Pour ma part, j'ai trouvé le cycle passionnant.
Tout y est melangé mais c'est ça qui m'a interessé.
Ne pas oublier que c'est le premier volet...



La Patrouille du temps (1) - La patrouille du temps
Incontournable  le 18/04/2012 : Excellent

Très bien mené, écriture simple mais efficace,
Complement indispensable à tout ceux qui aime le voyage dans le temps.



L'ultime fléau
Très bien Stef le 10/04/2012 : Humanité en perdition

Quelle surprise que de démarrer un livre avec un héros qui vient de violer et découper une jeune demoiselle. Du coup on a un sentiment bizarre à suivre les aventures d'un personnage pour lequel on ne peut éprouver du coup que de l'antipahtie. Mais pas de Spoiler. Lisez ce livre vous ne devriez pas être déçu.



Radix
Incontournable Butch le 07/04/2012 : Un must.

Aucune quatrième de couv' ne peut rendre compte de la densité de ce livre. Au départ, j'ai trouvé le rapprochement avec Dune assez ridicule. Dans le livre d'Attanasio, on ne suit pas autant de personnages que dans le roman d'Herbert, et le contexte politique interplanétaire de Dune n'a pas grand chose à voir avec la planète que sillonne Kagan. Puis au fil d'une lecture fluide et particulièrement immersive contant l'initiation du héros, on retrouve une culture et une densité comparable à celle d'Herbert plus particulièrement dans "le programme conscience".

Une vrai expérience littéraire.





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