Plus moderne que la maison hantée: la voiture hantée! Ici, une Plymouth Fury 58 qui permet à King de se replonger dans les années lycées et les affres de l’adolescence difficile, le tout dans une ambiance rock’n’roll rétro.
Docteur Futur
Popol Wul le 10/07/2008 :
Renié plus tard par son auteur, « Docteur Futur » est une histoire de voyages dans le temps qui ne révolutionne pas le thème mais qui reste néanmoins assez plaisante à lire.
Sur les ailes du chant
Joseph le 09/07/2008 : Il nous a quitté !
Un beau livre ! Pour information, Thomas Disch est mort le 4 juillet 2008 ! Il s'est donné la mort ! triste nouvelle !
Carrie
Popol Wul le 09/07/2008 :
Le roman d’horreur qui révolutionna la manière d’écrire du fantastique et propulsa d’entrée le jeune Stephen King au rang des plus grands. Le récit s’entrecroise avec de faux rapports de police et articles de journaux et modernise considérablement le genre en l’ancrant dans son époque. La plupart des thèmes de l’auteur sont déjà présents (les pouvoirs paranormaux, l’adolescence difficile, l’univers familial étouffant, les rapports humains pervers…) dans cette histoire de vengeance particulièrement cathartique. Un must.
Brume (2) - La faucheuse
Popol Wul le 09/07/2008 :
La novella éponyme qui ouvre le premier volet du recueil est peut être ce que King a écrit de plus sombre. Les nouvelles qui suivent ensuite sont en revanche inégales, oscillant entre l’excellent et le passable.
Brume (1) - Paranoia
Popol Wul le 09/07/2008 :
La novella éponyme qui ouvre le recueil est peut être ce que King a écrit de plus sombre. Les nouvelles qui suivent ensuite sont en revanche inégales, oscillant entre l’excellent et le passable.
Bazaar (t2)
Popol Wul le 09/07/2008 :
Castle Rock à feu et à sang ou l’occasion pour Stephen King de retrouver d’anciens personnages aperçus par ci par là tout au long de son œuvre et de leur donner une fin tragique. L’idée est originale et l’intrigue d’une précision diabolique mais on commence sincèrement par être lassé par le style. Ni raté, ni réussi, à l’image de ce que l’auteur a pu faire dans les années 90.
Bazaar (t1)
Popol Wul le 09/07/2008 :
Castle Rock à feu et à sang ou l’occasion pour Stephen King de retrouver d’anciens personnages aperçus par ci par là tout au long de son œuvre et de leur donner une fin tragique. L’idée est originale et l’intrigue d’une précision diabolique mais on commence sincèrement par être lassé par le style. Ni raté, ni réussi, à l’image de ce que l’auteur a pu faire dans les années 90.
Anatomie de l'horreur (2)
Popol Wul le 09/07/2008 :
On est jamais mieux servi que par le King « himself » qui y décortique sa vie, ses influences et son œuvre. Une bible pour les fans du maître de l'horreur.
Anatomie de l'horreur (1)
Popol Wul le 09/07/2008 :
On est jamais mieux servi que par le King « himself » qui y décortique sa vie, ses influences et son œuvre. Une bible pour les fans du maître de l'horreur.
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Plus moderne que la maison hantée: la voiture hantée! Ici, une Plymouth Fury 58 qui permet à King de se replonger dans les années lycées et les affres de l’adolescence difficile, le tout dans une ambiance rock’n’roll rétro.
Renié plus tard par son auteur, « Docteur Futur » est une histoire de voyages dans le temps qui ne révolutionne pas le thème mais qui reste néanmoins assez plaisante à lire.
Un beau livre ! Pour information, Thomas Disch est mort le 4 juillet 2008 ! Il s'est donné la mort ! triste nouvelle !
Le roman d’horreur qui révolutionna la manière d’écrire du fantastique et propulsa d’entrée le jeune Stephen King au rang des plus grands. Le récit s’entrecroise avec de faux rapports de police et articles de journaux et modernise considérablement le genre en l’ancrant dans son époque. La plupart des thèmes de l’auteur sont déjà présents (les pouvoirs paranormaux, l’adolescence difficile, l’univers familial étouffant, les rapports humains pervers…) dans cette histoire de vengeance particulièrement cathartique. Un must.
La novella éponyme qui ouvre le premier volet du recueil est peut être ce que King a écrit de plus sombre. Les nouvelles qui suivent ensuite sont en revanche inégales, oscillant entre l’excellent et le passable.
La novella éponyme qui ouvre le recueil est peut être ce que King a écrit de plus sombre. Les nouvelles qui suivent ensuite sont en revanche inégales, oscillant entre l’excellent et le passable.
Castle Rock à feu et à sang ou l’occasion pour Stephen King de retrouver d’anciens personnages aperçus par ci par là tout au long de son œuvre et de leur donner une fin tragique. L’idée est originale et l’intrigue d’une précision diabolique mais on commence sincèrement par être lassé par le style. Ni raté, ni réussi, à l’image de ce que l’auteur a pu faire dans les années 90.
Castle Rock à feu et à sang ou l’occasion pour Stephen King de retrouver d’anciens personnages aperçus par ci par là tout au long de son œuvre et de leur donner une fin tragique. L’idée est originale et l’intrigue d’une précision diabolique mais on commence sincèrement par être lassé par le style. Ni raté, ni réussi, à l’image de ce que l’auteur a pu faire dans les années 90.
On est jamais mieux servi que par le King « himself » qui y décortique sa vie, ses influences et son œuvre. Une bible pour les fans du maître de l'horreur.
On est jamais mieux servi que par le King « himself » qui y décortique sa vie, ses influences et son œuvre. Une bible pour les fans du maître de l'horreur.