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Les derniers commentaires des internautes
(total : 1807 commentaires)


Glissement de temps sur mars
Très bien PopolWul le 25/09/2008 :

Un roman dense avec une galerie de personnages psychologiquement très fouillés où coexistent plusieurs dimensions temporelles. Sur fond de colonisations et de maladies mentales, Philip K. Dick s’interroge une nouvelle fois sur la perception de la réalité et de la rationalité de nos modes de vies.



Trilogie de Mars (1) - Mars la rouge (t1) - Adieu à la Terre
Incontournable Elfifi le 24/09/2008 : j'ai lu deux fois la trilogie complète

J'ai adoré. Cette trilogie m'a rendu accro de la planete Mars. Epopée hyper-realiste de la terraformation de la planete rouge, on y retrouve tous les espoirs, les grandeurs et les bassesses de l'espèce humaine. c'est de la Science, de la Fiction et de l'Histoire tout à la fois. je peux comprendre qu'on aime pas car tout est fonction de ce qu'on veut trouver dans un livre de SF. Mais si vous recherchez les descriptions d'un futur proche et totalement crédible, ces livres en sont l'exemple parfait.



Cycle de Dune (1) - Dune (t1)
Incontournable Eddie le 22/09/2008 : Incoutournable

J'ai connu Dune par le très bon téléfilm datant d'il y'a quelque années.
Si ce premier tome est long à s'installer, c'est qu'il tisse toute la trame et pose les bases pour la suite.
Plus on avance dans la lecture, plus on devient accroc.
Bref, faut que j'aille m'acheter le tome 2



Les annales du Disque-Monde (09) - Eric
Bien  le 19/09/2008 : Trop court!

Et voila, je viens finalement de connaître ma première déception dans cette longue saga des Annales, il aura fallu attendre le neuvième volume mais, même si j' exagère peut être un peu en parlant de déception, le fait est établi que pour la première fois, un livre de Pratchett m' a laisser sur ma faim.
Mais tout est relatif et bon nombre d' oeuvres se damneraient( c'est le cas de le dire) pour avoir la qualité de ce Faust/ Eric. Je me contredis? Disons plutôt que lorsque l'on est habitué a de l' exceptionnel, on peut avoir du mal face a du très bon.
Car "Eric" est un bon roman, dans la lignée de ces prédécesseurs, toujours aussi tordant ( j' avoue même avoir exploser de rire a certains moments) mais il pèche a mes yeux par sa taille: il est étonnement court (dans les 150 pages tout au plus). D' après le dicton, la taille n' a pas d'importance, et je suis d'accord la dessus, mais du coup, en finissant "Eric" (en quelques heures), je n' ai pas pu m'empêcher de ressentir un certain goût d' inachevé.
Car disons le tout de suite, ce neuvième tome des Annales aurait immensément gagner a être davantage développer...
Malgré cela, nous nous retrouvons une fois de plus devant une excellente histoire, loufoque a souhait et qui, par certains cotés, a des airs des deux premiers volumes (en plus court, forcement). Comme dans ceux ci, le protagoniste principal est Rincevent.
Souvenez vous, nous l' avions laisser a la fin de " Sourcellerie" perdue dans la dimension des basses fosses en fort mauvaise posture. Mais grâce a Eric, demonologue junior qui souhaite invoquer un résident des Enfers, notre incompétent préféré va trouver une porte de sortie a ses problèmes pour, cela va de sois, foncer tète la première dans des nouveaux.
Et c'est parti pour des aventures abracadabrantes dans des jungles humides ou un peuple fort semblable aux Aztèques attend avec impatience le Maître du monde (ah, leur Dieu, tout un programme), en pleine " Guerre de Troie", ou du moins son équivalent du Disque, ou l'on retrouvera un curieux personnage aux vrais faux airs d' Ulysse et, tout bonnement au commencement des temps, histoire de rendre une petite visite au... Créateur en personne.
Rincevent est égal a lui même, mais ce n'est plus une surprise, quand a Eric, on ne peut pas dire que cela soit le meilleur personnage de Pratchett... Et comme du coup, l' histoire est assez courte, les quelques rares personnages secondaires ne sont pas très développes... a part le maître des Démons, et avec lui, heureseument, le niveau remonte.
Car bien entendu, c'est aux Enfers que le voyage de nos deux comparses s' achève, et pour ceux qui on eu la chance de lire " La Divine Comédie", la parodie de celle ci est un régal et Pratchett fait (une fois de plus), très fort. Hélas, cela ne dure pas bien longtemps et l'on arrive bien trop rapidement au terme de l' ouvrage....
Et c' est la le principal problème de cet " Eric" qui promettait tant et qui m' aura donc, légèrement déçu.
Mais que cela ne vous empêche pas de vous jeter dessus, car, comme écrit précédemment, même sur seulement 150 pages, l' humour si particulier de la saga est toujours la et certains passages sont vraiment hilarants.



Les annales du Disque-Monde (08) - Au guet !
Incontournable  le 19/09/2008 : Monumental!

Terry Pratchett est un Dieu, cette fois, j'en suis entièrement convaincu (comme si je ne m'en doutais pas jusque la...).
" Au Guet!", huitième tome des Annales est un pur chef d'oeuvre de fantasy humoristique mais n'en est pas moins un véritable polar, et cette fois, on peut dire que l' auteur Britannique a parfaitement réussi le mélange des genres, ce qui, a première vu, n'est pas chose aisée.
Avant toute chose, je dois avouer que je l'ai attendu celui la; si " Au Guet" fut le premier volume du Disque Monde que j' ai acheté, il ne fut pas le premier auquel je m' attaqua. Que voulez vous, je suis bête et dicipliné et ait préféré aborder les différents volumes dans l'ordre.
Mais l' attente valu largement le coup.

Une fois du plus, l' action se déroule dans la si peu agréable cité d' Ankh-Morpok, mais cette fois ci, c'est au guet que nous allons avoir a faire, ou plutôt a ce qui en reste tant celui ci est méprisé par les habitants. Pourtant, lorsque les premières victimes sont retrouvées calcinées et que la rumeur d'un dragon commence a courir, se sont ces braves représentants de la Loi (enfin, c'est un bien grand mot) qui vont s' atteler a la tache et sauver la cité.
Terry Pratchett a un don extraordinaire pour nous créer des personnages qui deviennent instantanément cultes (ce que, il faut bien le reconnaître, est assez rare) et ce, quelque soit leur degré d'importance dans l'histoire.
Et bien évidement, les membres du Guet n'en sont pas en reste.
Entre le Capitaine Vimaire, stéréotype même du flic de polar, désabusé et alcoolique mais qui ne lâche rien, Carotte, le Nain d' adoption, plutôt naïf et qui ne voit que par son manuel de Loi, Collon le sergent grassouillet et Chicard, sale, petit et voleur, on est plus que servis.
Surtout que ( a part Carotte), la devise du guet est d' éviter les problèmes, et que la lâcheté est un bon moyen de survie, on se dit que ces fis limiers n'iront pas bien loin.
Et pourtant...
Mais si nos braves gardes de nuit attirent l' attention, les autres protagonistes ne sont pas en reste: entre le Praticien, de plus en plus développé au fil des tomes, le bibliothécaire toujours égal a lui même, J'me tranche la Gorge, vendeur ambulant, Dame Ranking a la forte... euh, personnalité, les dragons, omniprésents et, le mystérieux Grand Maître Suprême, a l'origine de tous les ennuis, chacun, a sa manière est inoubliable.

Mais si les personnages sont parfaits, il en va de même de l'histoire: passionnante, drôle (on est dans les Annales pardieu!), assez bien ficelée, il est quasiment impossible de lâcher ce livre tant il est prenant.
Autant qu'un polar, comme je vous le disais en préambule, un très bon polar dans un monde médiéval fantastique ubuesque ou tout peut arriver, surtout le plus improbable!
Un véritable bijou, qui vous fera mourir de rire et que vous n'oublierez pas de sitôt.

Au Guet!!!!!



Les lions d'Al-Rassan
Incontournable gaia le 18/09/2008 :

Du Kay à son meilleur! Des personnages attachants, comiques et ironiques, à la psychologie profonde. Une intrigue poignante.



Les royaumes d'épines et d'os (1) - Le Roi de bruyère
Incontournable Gotsa le 16/09/2008 : Une très bonne série

En mal de fantasy, j'ai été au départ séduit par la couverture, puis le teasing... ensuiste j'ai dévoré les 3 premiers tomes de cette série. Personnages attachant, monde créé intéressant... j'attends le 4ème tome avec impatience.



Le maître du Haut Château
Très bien  le 16/09/2008 :

Peut être l’uchronie la plus célèbre de la SF où l’auteur s’essaie à une nouvelle forme de narration en entrelaçant les intrigues et en supprimant la notion de personnage principal. Longuement mûri, le roman décrit un monde de faux semblants (avec ses personnages de faussaires et d’agents doubles) relié à la réalité par des voies mystiques (le Yi King) qui s’inscrit totalement dans le questionnement de la réalité si cher à Philip K. Dick avec, en contrepoint, une mise en abyme de notre propre rapport à l’Histoire.



La maison des damnés
Très bien Eddie le 16/09/2008 : Vraiment bien

Le coup de la maison hantée n'a rien d'original, mais le huis-clôt que Matheson réussi a instauré, l'atmosphère étouffante de la maison et surtout l'évolution de l'état psychologique des personnages font que l'on dévore ce livre. C'est très malsain et glauque mais l'auteur touche juste sans tomber dans une surenchère inutile.
Bon la fin ma quelque peu déçu mais comme pour 80% des livres(ou film)que je lis, une bonne fin étant pour moi une fin surprenante et non une qui est convenue ou si l'on devine la fin dès le deuxième chapitre.Ici je l'ai trouvé convenue.



Le maître du Haut Château
Pas terrible ! Eddie le 16/09/2008 : Grosse décéption

Après avoir adoré Loterie solaire, être sorti un peu frustré de Blade runner, la cote de K.Dick descend en flèche.
En effet, on a affaire selon moi à un roman confus, avec de multiples histoires en parallèle, la plupart inintéressante sauf celle de Childan dont la psychologie a un certain attrait. Mais beaucoup de bla-bla pour rien je trouve. L'idée de base est énorme (l'axe a gagné la guerre) mais après cela j'ai l'impression que l'auteur n'avait plus d'inspirations et il ne fait que broder. Certaines considérations sont intéressantes et font réfléchir, mais elles sont noyées par son style pesant.De plus le fait de changer sans cesse de personnages dans la narration rend la situation confuse et ennuyeuse, l'intrigue n'avançant qu'à 60 pages de la fin après un long calvaire dans la lecture.
Il me reste substance mort à lire en croisant les doigts pour avoir une meilleure impression.





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