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La Nouvelle-Crobuzon (1) - Perdido street station (t1)

( New Crobuzon (1) - Perdido street station )
Très bien

couverture
Illustration : illustrateur


MEILLEUR LIVRE DE SCIENCE-FICTION
Position actuelle : 98
Voter pour ce livre
Nombre de votes : 446
Auteur :China MIÉVILLE
Année de création : 2000
Sous-genre : Science-Fiction
Edition :
2006Pocket( n° 5922 )
200120012005
 
Quatrième de couverture :

Nouvelle-Crobuzon: une métropole tentaculaire et exubérante, au cœur d'un monde insensé. Humains et hybrides mécaniques y côtoient les créatures les plus exotiques à l'ombre des cheminées d'usine et des fonderies. Depuis plus de mille ans, le Parlement et son impitoyable milice règnent sur une population de travailleurs et d'artistes, d'espions, de magiciens, de dealers et de prostituées.

Mais soudain un étranger, un homme-oiseau, arrive en ville avec une bourse pleine d'or et un rêve inaccessible: retrouver ses ailes. Isaac Dan der Grimnebulin, savant fou et génial, accepte de l'aider. Mais ses recherches vont le conduire à libérer une abomination sur la ville tout entière...


 

Note moyenne donnée par les internautes :  ( 3 votes )

Moyen marc  le 02/01/2014 > 
J'ai eu du mal a noter ce roman car je trouve que Mieville a enormement de talent. Il est tecniquement ,au niveau de l'ecriture, bien au dessus de la moyenne des auteurs de SF mais le probleme pour moi c'est que l'histoire de ce livre m'a profodement ennuyé. Mélange de sf et de fantastique aucunement interressant , j'espere que cet auteur ce lancera un jour dans la vraie SF
 
Incontournable Feanor  le 23/02/2008 > Epoustouflant!
Voila le dernier roman que je viens de finir de lire.

On peut dire que j'aurais pris mon temps pour le faire, je l'avais commencer au mois de Novembre et nous voila déjà fin Février. Certes, j'avais eu un peu de mal a rentrer dans l'histoire, mais ceci n'a rien a voir avec la qualité même de l'oeuvre. Disons plutôt que c'est assez difficile de passer après la saga complète des Cantos d'Hypérion (monument grandiose de la SF) et que franchement, j'aurais eu du mal avec n'importe quel livre. Dur de quitter un univers si prenant que celui de Dan Simmons mais bon, avec du temps et de la volonté, j'y suis parvenu.

Et Perdido Street Station vaut vraiment le détour.

Je dois avouer que je ne connaissais pas du tout ce roman et encore moins son auteur, China Miéville. Mais, que, après coup, je pense que je vais me plonger dans les autres oeuvres de ce jeune auteur Britannique.

Pour ce qui est du roman a proprement parler, il se compose en deux tomes d'environ 500 pages chacun, ce qui est plutôt respectable. La première partie est assez dense a mon avis et il faut s'accrocher mais c'est assez logique, l'auteur met en place l'intrigue petit a petit et décrit dans les moindres détails cette ville extraordinaire qu'est Nouvelle-Crobuzon. Au point que l'on finit par y croire et l'on s'imagine déambulant dans les rues sinueuses et sales de cette cité état, croisant ses habitants, humains, recrées, femmes-scarabés, garudas etc... D'ailleurs, les diverses races sont plutôt bien décrites et malgré leur étrangeté, elles en deviennent presque crédibles.

Mais, vers la fin du premier volume, les évènements se bouleversent et la, il devient très difficile de lâcher prise. Les enchaînements dans l'intrigue sont nombreux et plutôt bien ficelés et l'on craint vraiment pour les personnages principaux (difficile de dire que ce sont vraiment des héros dans le sens premier du terme même si leur comportement l'est assurément) qui font face a une menace qui, a première vue ne semble pas spectaculaire si on la compare a celles que l'on a l'habitude de voir dans ce genre de romans mais qui n'en est pas moins redoutable.

Pour finir, et sans dévoiler l'intrigue, j'ai particulièrement aimé la fin. Que les amateurs de "happy-end" passent leur chemins. Perdido Street Station est une oeuvre triste et dans un sens fort réaliste. Quelque soit les agissements de nos "héros" dans la vie de la cité, cela ne bouleversera pas Nouvelle-Crobuzon outre mesure. Il y a une mélancolie dans cette oeuvre, un pessimisme assez fort: les puissants seront toujours la et la misère perdurera.

Un peu comme dans le monde réel...

En tout cas, China Miéville signe avec Perdido Street Station une oeuvre majeure dans le monde de la SF/Fantasy moderne, un peu inclassable tant elle emprunte a divers courants mais tout bonnement indispensable.

Et une petite motion particulière pour Yagharek le Garuda.

A lire.
 
Très bien   le 30/03/2007 > MIEVILLE, un créateur de monde
Une cité incroyable, des humains, des mutants et des robots dans un fouilli urbain inimaginable, sur un rythme soutenu sans un moment de répit. C'est un peu confus par moments et j'ai du m'accrocher les cinquantes premières pages. C'est avec énormément de plaisir que je me suis imprégné de l'univers de la "new corbuzon". L'intrigue est très originale, les personnages attachants, c'est pour moi un roman majeur pour qui aime la nouvelle sf.
 




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