Livres de poche de Science-Fiction, Fantasy, Horreur et Fantastique
News, Parutions, Bibliographies, éditeurs, Top
Science-Fiction
Fantasy
Horreur
Fantastique
Liste des auteurs
RECHERCHE PAR TITRE    

Hypérion (1) - Les Cantos d'Hypérion (t1)

( Hyperion (1) - Hyperion )
Incontournable

couverture
Illustration : illustrateur


MEILLEUR LIVRE DE SCIENCE-FICTION
Position actuelle : 2
Voter pour ce livre
Nombre de votes : 2032
Auteur :Dan SIMMONS
Année de création : 1989
Sous-genre : Space Opera
Edition :
2007Pocket( n° 5578 )
19901990
 
Quatrième de couverture :

Quand les sept pèlerins se posent à Hypérion, le port spatial offre un grand spectacle de fin du monde. Des millions de personnes s'entassent derrière les grilles : les habitants de la planète sont sûrs que le gritche va venir les prendre et ils veulent fuir. Mais l'Hégémonie ne veut rien savoir : une guerre s'annonce et les routes du ciel doivent être dégagées. Et tout ce que le gouvernement a trouvé, c'est d'envoyer les sept pèlerins. La présidente le leur a dit d'emblée : "Il est essentiel que les secrets des Tombeaux du Temps soient percés. C'est notre dernière chance." Mais les pèlerins n'y comprennent rien : c'est tout simple, ils ne se connaissent même pas entre eux !

Heureusement, le voyage leur permettra de se rapprocher. Chacun raconte son histoire, et l'on s'aperçoit vite que nul n'a été pris au hasard. Celui qui a fait la sélection, au fils des confidences, paraît bien avoir fait preuve de lucidité... diabolique. Et d'une cruauté... raffinée !



Annotations diverses :

Dan Simmons a fait en 1982 des débuts très remarqués. Fasciné par la transcendance du mal et l'horreur de la souffrance, il est souvent présenté comme un spécialiste de la terreur. C'est pourtant la SF qui lui a inspiré son chef-d'oeuvre, Les Cantos d'Hypérion (1989-1990), un grand cycle cosmogonique habité par les ombres de Keats et de Dante. Rien de moins.



Critique du TOME 1 et du TOME 2 :

Hypérion est la première partie d'une série en deux volets, les Cantos d'Hypérion. Il faut savoir qu'Hypérion et sa suite, La Chute d'Hypérion, ne forme en fait qu'un seul et gigantesque ouvrage.

Hypérion présente l'univers de l'Hégémonie et l'histoire de la planète à travers le récit des pélerins. La Chute d'Hypérion est consacré à la confrontation directe des pélerins avec le gritche et aux événements liés à l'invasion des extros.

Même si ce roman ne constitue donc en fait qu'une vaste introduction à l'histoire centrale des Cantos d'Hypérion, il n'en reste pas moins qu'il s'agit là d'un chef- d'oeuvre absolu de la science-fiction.

Rarement, un ouvrage de SF consacré à la description d'un vaste empire galactique, n'a atteint de telles dimensions épiques, tragiques, nostalgiques, poétiques. Certains n'hésitent même pas à comparer l'oeuvre de Dan Simmons avec celle de Dante.

D. Simmons parvient à transcender les genres de la science-fiction, son ouvrage relève tout à la fois du space opéra, du cyberpunk, de l'héroïc fantasy, de la fable métaphysique et même du fantastique, sans pourtant donner l'impression d'être en présence d'un pachtwork de styles et d'influences. Au contraire, il parvient à unir le tout pour créer un univers plus que convaincant même s’il ne faut d'ailleurs pas s'attendre ici à découvrir quelque chose de neuf en matière de SF. C'est ainsi, par exemple, que l'histoire du soldat fait penser à certains moments à La Guerre Eternelle de Joe Haldeman, le récit de la détective nous plonge dans un univers cyberpunk à la William Gibsons (dont D. Simmons rend d'ailleurs hommage à un détour du récit).

Le talent de D. Simmons réside surtout dans le fait qu'il est parvenu à synthétiser de manière spectaculaire tous les genres de la SF, pour les mettre au service de son histoire, une histoire emplie de bruits et de fureurs, de drames, de passions, de merveilleux et aussi d'horreurs. A travers ce que nous compte les pèlerins, c'est simplement l'éternelle comédie humaine qui ne cesse de se jouer. Simmons a suffisamment de talent (ainsi d'ailleurs que son traducteur pour la traduction française) pour changer de style d'écriture à chaque récit des pèlerins, afin que ce dernier corresponde véritablement à chaque personnalité en présence.

On frémit lorsqu'on découvre la conclusion de l'histoire du prêtre, on se retrouve plongé au coeur d'une bataille spatiale spectaculaire à la lecture de l'histoire du soldat. Quant à l'histoire du poète, elle nous fait découvrir les affres de la création artistique qui conduisent parfois à une forme de damnation. De son côté, l'histoire du lettré nous attendrit à travers le destin de sa fille qui a subi la malédiction d'Hypérion. Le récit de la détective nous plonge au coeur de la problématique des intelligences artificielles et de leur recherche de l'Intelligence Ultime. Enfin, celle du consul, nous fait découvrir une merveilleuse histoire d'amour sur une planète paradisiaque qui peu à peu est détruite par le "tourisme" et la pollution.

Tous ces récits sont dominés par les ombres mystérieuses des Tombeaux du Temps et du gritche, sur fond des conflits entre l'Hégémonie, le Technocentre des Intelligences Artificielles et les Essaims des Extros. Une oeuvre absolument sublime, à découvrir et à redécouvrir en toute priorité.

Jeremy BLAMPAIN




Plus d'infos :

 

Note moyenne donnée par les internautes :  ( 27 votes )

Pas terrible ! lili  le 16/03/2014 > 
Cycle que personnellement j'ai trouvé plutot mediocre, je n'avais pas particuliairement envie de donner mon avie car pas grande chose a en dire. Sauf que.... Cela fait 3 ans environ que je viens sur ce site pour lire des commentaires et me faire une idée sur les futurs romans a me procurer, de temps en temps je glisse un petit com sur les romans que j'ai appreciés. Donc j'ai pu constater que un roman qui "marche bien" gagne a peu pres entre 150 et 200 votes par an. et là miracle hyperion passe en une demi journée de 10e a 2e avec 150 voix en plus. Evidemment c impossible donc malheureusement on peu dire ARNAQUE . Je ne sais pas d'ou ca viens (le modo fan du cycle sans doute^^) mais je tien a signaler aux lecteurs qui n'auraient pas lu ce titre que ce classement est totalement faux. En essayant d'etre objective je pense que qualitativement hyperion ce serait sans doute pas dans les 50 premier au classement. Dommage pour ce site que j'apprecie ou l'on peu donner son avi et voter pour les livres que l'on aime.
 
Pas terrible ! Jéjé 18  le 28/07/2013 > Une si longue histoire...
Avant d'avoir pris connaissance d'hyperion (1 et 2) j'avais deja lu du même auteur ilium. Je l'avais sympas. Alors je me suis engagé à lire les précédents romans. Résultats: je n'ai pas du tout accroché. Le début paraissait prometteur. Durant la lecture l'histoire prit un tout autre chemin. Chacun des passagers présents racontent son passé. Au fil des récits on comprend sur quel critère ils ont été réuni. L'idée est bonne. A un détail près: c'est très long. Les histoires sont trés lents et celà pénible au bout d'un moment. Je suis navré pour ceux qui pense que ces deux tomes sont des chefs d'oeuvres, personnellement ce n'est pas le cas.
 
Moyen nono  le 25/03/2013 > 
Les gouts et les couleurs^^. c'est la 1ere foi il me semble que je tombe dans l'incomprehension totale avec mes compagnons de lecteurs de SF. Absolument rien dans ce cycle n'a d'inderet, de passionnant, d'intelligent, d'exaltant, de divertissant, voir meme de qualité au niveau de l'exercice d'ecriture. Si je m'interesse a la SF c'est pour trouver un de ces points. 2 etoiles car ce 1er tome reste amusant a lire mais ayant consommé l'ensemble du cycle j'ai hésité entre 1 et 2 (l'indigence et la pitié^^) et je penche pour le moyen....
 
Incontournable   le 25/04/2012 > Un chef d'oeuvre, tout simplement
Force est de constater que, l’on peut aimer ou détester le sieur Dan Simmons mais il y a au moins une chose sur laquelle tout le monde, ou presque, est d’accord, c’est la place qu’occupe Les Cantos d’Hypérion dans son œuvre : tout simplement la première. Après, on peut aimer ou non, mais si l’Histoire de la littérature fantastique ne devait retenir qu’un seul titre parmi les nombreux écrits par Simmons, cela serait celui-ci ; qui, au demeurant, est un cycle en quatre volumes : Les Cantos d’Hypérion, qui se décomposent entre Hypérion (qui nous préoccupe aujourd’hui) et La chute d’Hypérion, puis, par la suite, s’est vu affublé d’une suite, pas forcément apprécier par tout le monde, Endymion et L’éveil d’Endymion. Œuvre colossale et archi-connue depuis sa parution il y a un peu plus de vingt ans, Les Cantos d’Hypérion, moult fois récompensés, ont très longtemps trôné tout en haut des divers classements SF parmi les amateurs du genre et connu un succès important. Bien évidemment, c’était une autre époque déjà, cela se passait avant l’adaptation au cinéma du Seigneur des Anneaux, qui entraina un regain d’intérêt pour la Fantasy, reléguant la SF au second plan, et depuis, ça ne s’est pas arrangé, la mode étant aux petites histoires de vampires pour adolescentes, alors, forcément, un titre comme Les Cantos d’Hypérion, s’il n’est pas complétement oublié, n’a plus, depuis longtemps, les faveurs d’un public plus jeune et possédant d’autres centres d’intérêts et d’autres œuvres cultes.


Et si une telle chose peut, au regard de l’immense qualité de cette œuvre, paraitre comme fortement dommageable – car bon, que voulez-vous, quand on aime à ce point une œuvre, on souhaiterait que le plus grand nombre la découvre – et si l’on peut pester indéfiniment contre ses effets de mode parfois stupides, rien ne dit que, dans l’avenir, Les Cantos d’Hypérion ne retrouvent la place qu’ils méritent, c’est-à-dire, l’une des toutes premières – personnellement, pour ce qui est de la SF pur et dur, je ne vois que Fondation qui puisse véritablement rivaliser avec ce classique de Dan Simmons. Mais dans le fond, tout cela importe peu, et il est temps, véritablement, de s’intéresser au premier volume de cette œuvre, je veux bien entendu parler d’Hypérion.


Même si les éditions Pocket ont toujours eu la curieuse habitude de séparer chaque volume du cycle en deux (hum, cela serait pour des raisons financières ? Les petits canaillous !), que l’on ne se trompe pas, Hypérion I et Hypérion II, tels qu’ils sont présentés, ne forment en fait qu’un seul volume, le premier donc du cycle, Hypérion. Ceci étant dit, car j’aime bien aller au fond des choses et expliquer ce genre de détails insignifiants pour le commun des mortels qui s’en moquent comme de leur première chemise, dans ce premier volume des Cantos d’Hypérion, Dan Simmons nous entraine très loin dans le futur (ce qui, accessoirement, est toujours une bonne chose, cela évite de passer pour un con quand l’action se déroule 20 ans après la parution du roman et, qu’entre temps, le lecteur ait dépasser cette date, le contenu apparaissant, la plus part du temps, ringard), en une époque où l’humanité, forcée de quitter la Terre, à créer un véritable Empire Galactique et à coloniser une multitudes de mondes. Certes, tout cela n’a pas l’air franchement original mais la grande force de Simmons, justement, c’est d’utiliser tous les poncifs du genre, de les assembler dans un délicieux mélange et de les sublimer de façon plus que réussie. Mais cette domination humaine est bien plus fragile qu’il n’y parait puisque, d’un côté, il y a les Extros, descendants de terriens ayant, au fil des siècles, appris à évoluer dans l’espace, et véritable Némésis de la civilisation humaine, et, de l’autre, les Intelligences Artificielles (ou IA pour les intimes), qui, de leur étrange et mystérieux Technocentre, « conseillent » et « guident » les humains qui, en fait, leur doivent tout, ou presque. Et c’est sur la lointaine planète Hypérion, un monde étrange aux confins du Retz et où les premiers colons ont découvert des édifices monumentaux et inexplicables qui viennent du futur, allant à l’envers du temps, que va se dérouler le récit : en effet, ceux-ci vont bientôt s’ouvrir et cela semble intéresser à la fois les Extros, prêts a envahir Hypérion, mais aussi les IA, dont certains d’entre eux ne semblent pas vraiment porter l’humanité dans leurs cœurs, du coup, le seul moyen trouvé par les dirigeants humains est d’envoyer… sept hommes et femmes, sept pèlerins, participer au pèlerinage gritchèque, un curieux culte qui loue les louanges d’une étrange créature métallique, le Gritche, tueur implacable et insaisissable qui vit sur Hypérion. Tout cela semble insensé ? En fait, et comme on le verra par la suite, pas vraiment puisque tout, en fait, est lié, mais le postulat de base est posé, et franchement, il est excellent.


La première fois que j’ai lu Hypérion, j’ai été frappé par la structure de celui-ci et je dois avouer que je m’attendais à tout sauf à cela : en effet, dans ce premier volume, si Dan Simmons nous narre bien entendu le cheminement des sept pèlerins jusqu’aux Tombeaux du Temps, la quasi majeure du texte est consacrée aux récits de ceux-ci ; ainsi, sur environ six cent pages, le lecteur va découvrir le passé du Père Hoyt et de son cruciforme de résurrection (l’un de mes passages préférés), la quête d’une femme énigmatique, par le plus grand soldat du Retz, Fedmahn Kassad, l’œuvre inachevée, les fameux Cantos, du souvent détestable et tout le temps torché, poète, Martin Silenus, le terrible drame personnel de Sol Weintraub et de sa fille qui rajeunie au lieu de vieillir et qui n’en a plus que pour quelques jours (avant de ???), les mystères qui entourent la Voix de l’Arbre authentique, Het Masteen le templier, l’histoire d’amour entre une femme détective, la pétillante Brawne Lamia, et un cyborg du Technocentre, constitué des souvenirs d’un poète anglais, John Keats (personnage réel qui, pour la petite histoire, écrivit une œuvre intitulé… Hypérion) ainsi que le mystérieux passé du Consul, dont la planète fut, autrefois, annexée par l’Hégémonie avec tout le mal que cela entraina pour les locaux. Et du coup, si le lecteur s’attendait à un habituel et finalement banal récit de SF comme tant d’autres, à la place, il en a six (car un pèlerin ne racontera pas le sien), tous aussi passionnants les uns que les autres, variés, formidables miroirs des multiples genres de la Science-Fiction et qui, chacun à leur manière, apportent une pierre à l’édifice final : celui de la compréhension de la place de ces pèlerins sur Hypérion. Alors, chaque lecteur aura ses préférences suivant les récits, et, pour moi, ceux du prêtre et de Sol Weintraub furent ceux qui me captivèrent le plus ; mais attention, les autres sont tout aussi bons et apportent chacun une pierre importante a la qualité de l’ensemble.





Bien évidemment, je reconnais que cette façon de faire, ce choix narratif, finalement assez étonnant pour ne pas dire osé, a plus en étonner, voir surprendre plus d’un ; d’ailleurs, probablement que ce fut l’une des raisons qui firent que certains n’ont jamais accroché a Hypérion : entre cet assemblage de récits hétéroclites, la complexité de l’ensemble mais aussi, ne le nions pas, le fait qu’il ne se passe pas grand-chose (l’intrigue ne décollera vraiment que dans la suite, La chute d’Hypérion), je conçois qu’il n’est pas évidant d’accrocher a Hypérion. Mais si c’est le cas, alors là, quel bonheur : entre des récits captivants, des personnages hauts en couleur auquel l’on s’attache très vite, un ton intimiste d’où ressort une certaine tristesse mais aussi, ne l’oublions pas, un univers futuriste d’une crédibilité étonnante après coup avec l’infosphère – Internet, en 1989, était à mille lieux de ce qu’il est aujourd’hui, hors, Simmons nous en donne une version acceptable et améliorée de ce qu’il pourrait devenir – des voyages spatiaux et un déficit de temps d’une logique implacable et une dépendance humaine envers les machines plausible, on ne peut que constater, lorsque l’on arrive à la dernière page du roman, que Dan Simmons nous a pondu là un sacré chef d’œuvre, l’un de ses livres rares qui ne sortent qu’une fois, ou presque, par décennie. Mais bien entendu, aussi excellent qu’est Hypérion, celui-ci n’est que le premier volume d’un cycle et je reviendrais donc dessus, du coup, je vous donne donc rendez-vous, bientôt je l’espère, pour voir si la suite est à la hauteur et, quelque chose me dit (mon petit doigt) que cela sera le cas !
 
Incontournable Hervé C.  le 02/12/2011 > Incontournable
Fascination totale pour cette série. Bravo Simmons, quelle imagination! Je comprend que le côté fantastique new âge ne plaise pas au dévot d'Assimov. A découvrir absolument, car si vous accrochez se sera une révélation.
 
Incontournable Jérôme B.  le 21/11/2011 > 9/10
Les cantos d'Hypérion (1 et 2) sont, en quelques sortes, une grosse introduction à La Chute d'Hypérion. Mais quelle intro!

Celle-ci nous dévoile un univers riche et des personnages parfois attachants, parfois intrigants et parfois intelligents. Les quelques histoires permettent au lecteur de, graduellement, comprendre l'univers, les systèmes politiques et sociaux.

La premier récit (Le prêtre) est littéralement fascinant. Et que dire du récit de Sol (t2) qui m'a réellement bouleversé.

Je ne peux que conseiller le Cycle Hypérion qui, selon moi, fera désormais office de religion littéraire.
 
Moyen cronos  le 11/10/2011 > 
Ce 1er roman de la serie n'est pas vraiment desagreable a lire, mais sans grand interet dans le monde de la SF. (a mon humble avis). Et ca se gate franchement avec les suites.
 
Pas terrible ! jéjé  le 11/10/2011 > 
Je pense que le principal probleme du cycle d'hyperion c'est malheureusement : Simons. Il m'est apparu en commencant le livre que l'histoire avais un enorme potentiel, mais apres mettre "taper" tout le cycle et celui d'endymion (oui je suis sans doute maso^^) tout devient clair et sans aucun interet,plat ennuyeux et j'en passe . Enfin comparer cet auteur avec asimov dick etc est un veritable blaspheme^^
 
Incontournable Vince  le 30/01/2011 > Un classique
Le premier tome du cycle d'Hypérion est le meilleur, et également un des meilleurs roman de SF que j'ai pu lire. Roman ? On pourrait en douter, puisque ce premier tome s'articule autour de six nouvelles qui nous présentent cet univers fascinant sous des points de vu très variés, les nouvelles etant très différentes les une des autres.

Le tout est d'une formidable inventivité et d'une intelligence remarquable, et tout le cycles est a lire, même si ce premier tome reste au dessus du lot. Mais Hypérion est un cycle dont on se souviendra longtemps en tant que lecteur de science fiction.
 
Incontournable JMB  le 10/01/2011 > Chef-d'oeuvre
La forme que fait "recueil de nouvelles" est original. On entre dans la vie et les émotions des personnages, qui leur donne une grande crédibilité. La "déco" est baroque et fait d'ombres et de lumières. L'univers est complexe et sert une intrigue très bien ficelée. La plupart des grands thèmes de la S-F y sont traités. Si vous ne deviez lire qu'un seul livre, ce serait celui-ci. Une histoire qui vous va droit au coeur.
 
Incontournable jeremie  le 21/02/2010 > incontournable
En effet ce n'est pas du Herbert , du Asimov ou autre, mais c'est tout simplement du Simmons, bref un incontournable de la SF au meme titre que les autres auteurs precedemment cités et j'en oubli tellement, tout ceci a condition evidemment de lire tout le cycle car en effet toutes ces pieces de puzzle ne s'assemblent qu'a la fin , alors certes au debut en effet ca peut paraitre compliqué a suivre mais l'ensemble est vraiment bien construit. Un classement c'est comme ca faut bien un premier et un dernier, mais que herbert ou simmons ou dick ou tout autre soit premier ou 10eme, ce n'est pas tres important, ce qui compte c'est que cela plaise et que cela nous immerge dans l'univers crée.
Ce livre a donc pour moi toutes les caracteristique d'un incontourable de la SF.
Pour l'instant a part Dune et ce cycle la je n'ai pas trouvé de serie m'immergeant autant dans un univers meme si j'ai adoré quantité de livres de SF.
Merci
jeremie
 
Incontournable marie  le 20/11/2009 > 
je l ai decouvert par hasard et j en suis devenue accro(je les ai lus 3 fois).C est que du bonheur
 
Bien katia  le 03/05/2009 > 
Je fait un commentaire pour l'ensemble d'Hypérion. Le premier tome (Hypérion 1) est déstabilisant, mais non inintéressant. Les personnages sont finement d'écrit et leur psychologie aussi. peut être un peu lourd pour un début mais il faut s'accrocher car les autres tomes valent le détour. pour ma part, j'ai franchement préféré les deux tomes de "la chute d'Hypérion" avec beaucoup de révélations. Je vais me plonger avec délice dans la suite avec "Endymion".
 
Pas terrible ! jipi  le 08/09/2008 > ben non, pas du tout
impossible d'accrocher, j'ai abandonné le livre au bout de 150 pages. Je ne comprends pas l'engouement pour cet ouvrage qui est mal défini, peu abordable et d'un scénario douteux.
 
Très bien Popol Wul  le 16/07/2008 > 
«Les Cantos d’Hypérion» est une synthèse de presque cinquante ans de littérature SF. Certes, Simmons n’invente pas grand-chose dans ce cycle qui jongle avec les genres (space opera, speculative fiction, cyberpunk, fantasy…) et surtout, les références (Asimov, Dick, Herbert, Matheson…) qui sont autant d’exercices de style dans les différents portraits du premier volet qui plante les principaux éléments de l’intrigue. Celle-ci commence réellement dans le deuxième volet, «La Chute d’Hypérion». Résultat : un monde très riche, un maelstrom d’histoires originales et un long rebondissement final inattendu qui amène à la relecture de l’ensemble. On peut effectivement tiquer sur le premier volume qui n’est vraiment qu’une longue introduction au tome suivant (véritable cœur de la saga) mais on passe à côté d’un grand roman SF si on s’arrête à «Hypérion» et on risque de ne rien comprendre si on attaque directement «La Chute d’Hypérion».
 
Incontournable   le 10/09/2007 > Un chef d'oeuvre parfait
Oh non, quel malheur. Je me réfugie ici dans l'espoir de trouver quelques phrases supplémentaires à ce chef d'oeuvre de la littérature SF.

Je viens de finir la dernière page, et je rêve déjà de reprendre la première. C'est un supplice de terminer ce livre, de quitter cet univers époustouflant, magique, infinie et me faisant rêver. Aucun mot ne pourra traduire l'émoi que ce roman m'a procuré. Seul Martin Silenus, avec son cher sens de la description, y arrivera. Mais je viens de le quitter en tournant la dernière page.

Je ne peux que conseiller ce cycle, qui doit etre lu dans son intégralité, c'est à dire les volumes "Hypérion" et "Endymion".

C'est un rêve qui s'achève avec mes yeux, mais qui continu dans mon rêve.
 
Incontournable Nikopapa  le 29/10/2006 > Un renouveau rafraîchissant
Incontestablement, un cycle intéressant. Les idées sont originales, le style très fouillé et les références culturelles ne manquent pas. Une série de romans captivante dont on a du mal à émerger, même si les deux derniers tomes d'Endymion sont un peu plus lourds. A lire absolument!
 
Incontournable Canards  le 31/05/2006 > Sublime
Magnifique, génialissime, culte, excellent... j'arrive pas à trouver le meilleur adjectif qui s'applique à ce splendide livre (tiens, encore un adjectif...). Peut-être s'appliquent-ils tous en même temps ? Pour moi, le meilleur livre de science-fiction que j'aie jamais lu (et pourtant, même si je suis pas un barbare dévoreur de bouquin, j'en lis, disons, 12 de SF par an). Scénario très bien construit, même s'il y a quelques passages un peu bizarre (je ne comprends toujours pas le passage sur l'... heu, je vais peut-être faire un spoiler là... bref, le passage dans la Chute d'Hyperion qui dure enivron une cinquantaine de pages), univers très complet, même si je trouve que les références à la Terre sont un peu trop nombreuses (Gladstone qui a des traits de Lincoln et Churchill... un peu gros, en 700 ans il n'y a pas eu d'hommes politiques comme eux ??), et à part la rébellion de Glennon-Eight et la Grande Erreur de '08, il n'y a pas beaucoup d'événements postérieurs à notre époque très détaillés. Enfin bon, je m'étais dit que je ne m'aventurerais pas dans un commentaire trop loin, donc je vais conclure en disant ceci : Hyperion et la Chute d'Hyperion (donc les Cantos d'Hyperion en général) : incontournables. Après, pour Les Voyages d'Endymion, c'est un petit complément, mais bien moins culte que les Cantos.
 
Incontournable Eldrick  le 15/03/2006 > Le cycle 5 étoiles
Certes ce cycle est peu évident à aborder, le fait d'avoir à lire 6 nouvelles complètement différentes au début de l'histoire est très destabilisant, mais permet de donner toute leurs profondeurs aux personnages. Mais que ceux qui croient que l'auteur ne sait pas comment son histoire tourne sachent qu'il se trompent lourdement.
Cette histoire vous prends le cerveau, vous le retourne pendant tout le récit et vous le remet dans une position que vous ne soupsonniez même pas! Le seul livre qui m'avait offert un tel choc/plaisir est 1984.
Dan Simmons maitrise son univers de bout en bout à la perfection, jusqu'à se demander si il n'a pas tout écrit d'une traite.
Je rejoins kristophe, quel regret de refermé la dernière page, et de se dire qu'on ne lira peut-être plus rien d'aussi bon dans le genre.
INCOUTOURNABLE !!!!
 
Incontournable abyss  le 31/01/2006 > une référence
Bien que le déroulement de l'action soit lent au début (l'auteur pose tranquilement son univers et ses perso principaux avec leur mystère) la suite n'en est que meilleur le scénario atteint des sommet !La psychologie des personnage est fouillés tout les éléments de l'histoire se croisent puis s'entrecroisent pour nous révéler finalement les réponses aux mystères.Tout simplement phénoménal
 
Incontournable   le 25/11/2005 > l un des livres majeur du XXème siècle
Hypérion et tout le cycle imprègne le lecteur de rêves, de mythe et de poésie au travers une science fiction nouvelle et transcendante. Dan Simmons écrit ce qu'il n'a jamais vu et nous non plus, c'est un autre voyage. E X T R A O R DI N N A I R E. Tout à fait comparable à Dick etconsort, mais inutile car chacun évolue dans des univers différents.
Dan Simmons avec K.Dick n'est pas seuleument un écrivain, c'est aussi un artiste. Et l'un des seul à figurer autant chez les critiques SF que les critique d'art... Bref Quel regret lorsque que j'ai refermé la dernière page ! car je savais que jamais je ne pourrais plus ressentir cela, oh combien j'envie le lecteur qui vient de tourner la première page d'hypérion...
 
Incontournable Gilles  le 13/09/2005 > Il faut lire les 4 tomes composant le cycle !
Pour répondre à max :

Si tu ne veux pas les acheter parce que tu n'as pas aimé le premier, tu peux aller dans une bibliothèque pour lire les 4 tomes composant 'les cantos d'hypérion' et, si finalement ça te plaît, enchainer sur les 4 tomes d'endymion.

Je te rassure, j'ai eut du mal à suivre au début, mais, une fois dans le tome 2, plus possible de décrocher.

Avant d'avoir lu les cantos d'hypérion mon cycle préféré était celui de Dune de Franck Herbert. Mais, depuis que j'ai lu Hypérion, c'est Hypérion qui est devenu mon cycle préféré.

Au début, Dune a été coupé en 2 tomes pour l'édition française, critiquer Hypérion sans avoir lu les 4 tomes, c'est comme si tu critquais Dune en ayant lu que le tome 1 (la moitié)

Je ne rajouterais rien sur K. Dick, rien à faire je n'accroche pas du tout à son style.
 
Moyen max  le 11/09/2005 > vous avez raison, je développe
Je n'ai que peu de choses à répondre au fait que je n'ai pas tout lu... C'est vrai.D'ailleurs, d'une manière général je ne suis pas non plus une montagne de culture en SF et je fais donc cette critique en toute humilité.
Cependant, cette page est consacré au premier volet, et c'est bien de celui-là dont je parlais.
Ensuite, j'avoue être, moi aussi, moins "fan" de Dick que d'Herbert ou Asimov. Donc, si vous voulez, je repose ma question : Comment compare-t-on Simmons à Herbert ou Asimov(pour ne citer qu'eux et comparer des genres similaires)?

J'anticipe un peu sur la critique : Je compare effectivement sur un seul ouvrage, ce qui est hautement critiquable... Pourtant, n'êtes vous pas d'accord avec moi qu'une oeuvre, même si elle fait parti d'un tout plus grand, doit contenir sa fin en soi?

Voila, je vai finir par m'inquiéter sur moi-même parce que d'habitude je suis plutot un lecteur normal mais là je ne comprend pas comment simmons se retrouve devant des auteurs monstrueux tel que ceux que je cite. La différence de qualité est énorme (et à des périodes d'écritures bien antérieures en plus).. Eclairez ma lanterne s'il vous plait! qu'est ce qui vous à tant plu dans ce premier tome? (ne me demandez pas de lire les autres, lire le premier en entier m'a déjà été très difficile. Enfin peut etre qu'un jour je le ferai quand même,puisque ca a l'air si génial. sans rire.) Mais en revanche,répondez moi s'il vous plait... Vraiment.
 
Incontournable   le 18/08/2005 > une oeuvre extraordianaire
J'ai toujours un peu de mal à commencer un livre de Dan Simmons, mais une fois immergé dans l'univers d'"Hypérion", c'est du pur plaisir. On passe du space opéra au cyber punk en un claquement de doigt et surtout de manière très digèste. On ne se perd jamais dans l'histoire, et je n'ai pas eu besoin de relire un quelconque passage pour ne pas être largué (ce qui change quand même de quelques un des livres de K Dick...).

Je trouve "Endymion" et "l'éveil d'endymion"
encore plus parfait, les manoeuvres manichéennes du techno-centre et de l'église
sont jouissives. Même avec beaucoup de volonté il est impossible de laisser ces livres de coté.
 
Incontournable Gilles  le 04/08/2005 > Pour comprendre Hypérion il faut tout lire
"Hypérion est la première partie d'une série en deux volets, les Cantos d'Hypérion. Il faut savoir qu'Hypérion et sa suite, La Chute d'Hypérion, ne forme en fait qu'un seul et gigantesque ouvrage." => Si vous ne lisez pas les 4 tomes de l'histoire d'hypérion, cela ne ressemble effectivement à rien.

Quant à comparer Philippe 'KK' Dick à Asimov et Herbert... Je dis non !

Il n'y a que les français pour placer dick sur un piédestal, dans son pays il est juste considéré comme un auteur de SF normal. Il a quand même écrit beaucoup de livres 'alimentaires' dont le niveau est vraiment bas.
 
Moyen max  le 23/05/2005 > Excusez moi, mais non!
Je vais tout d'abord aller droit au but, je n'ai pas du tout aimé ce livre... Tentons d'expliquer : Contrairement a ce qui est dit plus haut, j'ai précisément eu l'impression d'avoir à faire à un patchwork de genre mal dégrossi.
Ou plutot, Ce qui m'a choqué en premier, c'est l extrême kitcherie des descriptions et des personnages, on est a chaque fois dans la carricature, dans le trop contrasté et finalement dans l'exces en général, un peu comme un gateau trop sucré...
Ensuite, c'est l'absence trop évidente de rationnalisme qui m a bloqué, rien ne s explique, tout est mystère, si bien qu'à la fin on perd le nord. J'ai fini par avoir l'impression que tout cela ne tenait pas la route, que l'auteur n'avait finalement lui-meme pas vraiment idée de comment tout cela fonctionnait. Il n'y pas de hiérarchie ou de repère dans son univers, on ne sait plus ou est l'important, le message, et ou est l effet de style...
De plus, mais c'est plus personnel, j'ai trouvé le scénario loin d'être sufisamment accrocheur, (sauf pour l histoire du prêtre, mais elle utilise une si vieille ficelle de la SF que c'est à partir de là que j'ai commencé à me méfier...)
Enfin, mais cela reprend ce que je viens de dire, le tout manque singulièrement de finesse, tout est trop pointé du doigt et crié. En fait, ma critique pourrait un peu se résumer a ceci : Tout est trop!
A ma grande stupeur, je me suis aperçu que ce roman est à la première place dans le classement SF, et j'aimerai qu'on m'explique comment on peu comparer ça a du Dick, du Asimov ou du Herbert. Franchement, ce n'est pas la meme cour quand même...
 
Incontournable BILL  le 06/05/2004 > Vous savez...
LISEZ-CE CHEF-D'OEUVRE ABSOLU
(tout le cycle comprenant Hyperion et Endymion)
 




Accueil | Collections | Auteurs | Science-Fiction | Fantasy | Fantastique | Horreur
| Admin | Infos | Info légales
©2004-2024 PocheSF.com